Maisdans un communiquĂ© qui ne rentre pas dans les dĂ©tails, CD Projekt a annoncĂ© qu'un accord avait Ă©tĂ© trouvĂ© ce mardi 23 dĂ©cembre, et que le lien entre l'auteur et l'Ă©diteur ressortait mĂȘme "renforcĂ©" de cette histoire. Il n'en fallait pas plus pour relancer l'idĂ©e de The Witcher IV, un nouveau jeu, malgrĂ© les dĂ©clarations des dĂ©veloppeurs que les aventures

Il reste moins d'un mois avant le lancement de The Witcher 3 Wild Hunt. Afin de patienter, voici une nouvelle vidéo de gameplay de ce jeu de rÎle en monde ouvert, affichant une définition 1080p et tournant à 60 images par seconde. En sus, de nouvelles images in-game sont révélées. AprÚs deux volets de qualité, la série The Witcher prépare son retour avec un The Witcher 3 Wild Hunt clairement ambitieux. En effet, le titre de CD Projekt RED promet une réalisation graphique de trÚs haut vol, ainsi qu'une liberté d'action particuliÚrement grisante car la carte du monde s'avÚre bien plus grande que celle de The Elder Scrolls V Skyrim. Afin de découvrir une partie du jeu à explorer, voici une nouvelle vidéo de gameplay fournie par le site Gamespot, affichant quelques combats montés et à pied dans une définition 1080p et tournant à 60 images par seconde. En complément, le studio de développement a mis en ligne de nouvelles image du jeu de rÎle, mettant en avant les somptueux décors qu'il sera possible d'arpenter. Rappelons que The Witcher 3 Wild Hunt sera disponible le 19 mai 2015 sur PC, PlayStation 4 et Xbox One. Cette page peut contenir des liens affiliés. Si vous achetez un produit depuis ces liens, le site marchand nous reversera une commission sans que cela n'impacte en rien le montant de votre achat. En savoir plus.

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Je pense qu’en tant que joueurs, nous avons tous un titre que l’on chĂ©rit, qui a su nous accrocher dĂšs les premiĂšres minutes et qui ne nous a jamais quittĂ©. Un jeu que l’on prend plaisir Ă  refaire encore et encore, nostalgique de la premiĂšre fois. Qu’il s’agisse de Final Fantasy 7, de Baldur’s Gate ou de tout autre titre gĂ©nĂ©ralement un RPG, c’est marrant ça
, on est souvent prĂȘt Ă  le dĂ©fendre corps et Ăąme contre les hordes de haters ou de sceptiques. Pour ma part, il s’agit de The Witcher, et c’est avec un plaisir non dissimulĂ© que je vais essayer de vous dĂ©livrer un test sur ce jeu qui, s’il n’est pas mĂ©connu, reste bien trop souvent boudĂ©, voire rabaissĂ© Ă  cĂŽtĂ© de son illustre petit frĂšre. Avec la licence The Witcher, CD Projekt RED a su se hisser au rang d’incontournable du jeu-vidĂ©o, Ă  un point tel que leur prochain titre, Cyberpunk 2077, n’a eu de cesse de faire monter la hype et est d’ores et dĂ©jĂ  considĂ©rĂ© comme extraordinaire alors qu’il n’est mĂȘme pas sorti ! Mais si le succĂšs de The Witcher 3 est indĂ©niable, j’ai l’impression que seule une petite partie de ses joueurs ont touchĂ© au second opus paru le 17 avril 2011 sur PC, puis le 17 avril 2012 sur Xbox 360 et sur PC avec une Ă©dition Enhanced, et que seule une infime partie a jouĂ© au tout premier opus, Ă©galement tout premier jeu entiĂšrement dĂ©veloppĂ© par CD Projekt RED, jusque-lĂ  habituĂ© Ă  localiser des jeux en polonais et Ă  dĂ©mocratiser le mĂ©dia dans le pays. Car il ne faut pas l’oublier, CD Projekt RED, ainsi que la licence dont The Witcher est adaptĂ©, sont polonais, et c’est quelque chose d’assez rare pour ĂȘtre soulignĂ©. Aujourd’hui, je profite donc d’avoir une tribune, aussi modeste soit-elle, pour enfin dire tout le bien que je pense de ce premier The Witcher. Alors autant ĂȘtre honnĂȘte tout de suite mĂȘme si je reconnais des dĂ©fauts au jeu et que je vais malgrĂ© tout essayer d’ĂȘtre le plus impartial possible, il est Ă©vident que ce test ne sera pas “objectif’”. De plus, le jeu Ă©tant sorti maintenant depuis plus de 12 ans, je ne parlerai que de la version Enhanced. Je vais Ă©galement essayer de faire au plus court, mais il y a tellement de choses Ă  dire sur le jeu, et j’ai moi-mĂȘme tellement de choses Ă  en dire, qu’il me sera difficile de me priver, alors autant me faire plaisir. J’espĂšre par-lĂ  mĂȘme, que vous apprĂ©cierez de lire ce texte autant que j’en ai pris pour l’écrire. Ça vous rappelle quelque chose, non ?! Cela Ă©tant dit, commençons ! The Witcher est donc l’adaptation par un studio de dĂ©veloppement Polonais, d’une licence de littĂ©rature polonaise, parue sur PC et Mac uniquement, mais on y reviendra. Et Ă  cela, il me faut prĂ©ciser deux choses trĂšs importantes en premier lieu, il est toujours important de rappeler que les dĂ©veloppeurs de CD Projekt RED ainsi que l’auteur Andrzej Sapkowski parce qu’il faudra bien le nommer un jour viennent du mĂȘme pays, chose ĂŽ combien importante dans le cas d’une adaptation, car elle permet, de par le fait que les cultures et les rĂ©fĂ©rences soient les mĂȘmes, de plus facilement comprendre thĂ©matiques, rĂ©fĂ©rences et imagerie, si l’adaptation venait d’ailleurs, comme nous avons pu le voir avec l’adaptation Netflix de la licence, que je n’irai pas jusqu’à qualifier de ratĂ©e, mais qui reste nĂ©anmoins mĂ©diocre. Et enfin, second point, il est Ă©galement toujours important de rappeler, et on ne le prĂ©cisera jamais assez, que les jeux de CD Projekt RED ne sont pas une adaptation stricto sensu des livres de Sapkowski, mais d’une suite en bonne et due forme. On parle donc plutĂŽt d’une adaptation de personnages et d’univers que d’histoire et de trame narrative. Et ce “dĂ©tail” est en rĂ©alitĂ© le premier coup de gĂ©nie du studio la saga du Sorceleur Ă©tant un monument de la littĂ©rature polonaise considĂ©rĂ©e avec autant de respect par les Polonais que les Britanniques pour Tolkien ou nous autres Français pour Flaubert ou Hugo par exemple, il aurait Ă©tĂ© assez casse-gueule de s’attaquer Ă  une adaptation d’une telle histoire. C’est donc tout logiquement qu’ils ont dĂ©cidĂ© de crĂ©er une suite Ă  une histoire pourtant conclue par la mort du personnage de Geralt, expliquĂ©e par une pirouette scĂ©naristique n’arrivant qu’au second opus de la trilogie, et permettant audit Geralt une amnĂ©sie bien commode et connue de notre mĂ©dia qu’est le jeu-vidĂ©o. Mais si c’est gĂ©nĂ©ralement un gimmick frĂ©quent pour prĂ©senter l’univers et les personnages, l’amnĂ©sie de Geralt est ici bien plus pratique que cela elle permet en effet de non seulement “expliquer” l’existence de cette suite, mais Ă©galement de permettre bien Ă©videmment aux joueurs non familiers avec l’univers du Sorceleur de connaĂźtre les personnages et l’univers comme citĂ© prĂ©cĂ©demment et Ă  ceux dĂ©jĂ  familiers, de reconnaĂźtre ces mĂȘmes personnages, d’apprĂ©cier ou non leur apparence et d’introduire un genre d’ironie dramatique, un procĂ©dĂ© par lequel le spectateur, le lecteur ou ici le joueur en sait plus que le personnage de l’histoire qui lui est contĂ©e, ici Geralt. C’est par la phrase prononcĂ©e dans l’introduction par ce dernier qu’elle se rĂ©vĂšle pour la premiĂšre fois, quand il dit qu’il est certain que quelque chose le lie Ă  Triss mais qu’il ne se rappelle pas quoi. L’histoire est donc divisĂ©e en chapitres, cinq exactement, Ă  quoi viennent s’ajouter un prologue et un Ă©pilogue, le tout pour une durĂ©e de vie d’environ une quarantaine d’heures, plus une dizaine si vous prenez le temps de faire les quĂȘtes secondaires et d’explorer Ă  fond les environnements du jeu. Chaque chapitre a pour lui une petite histoire qui ne sera pas sans rappeler les nouvelles de Sapkowski avant qu’il ne dĂ©bute la saga Ă  proprement parler, qui aura un lien plus ou moins direct avec le fil rouge du jeu. Et ce fil rouge, faisons-en rapidement un petit rĂ©sumĂ© aprĂšs s’ĂȘtre retrouvĂ© Ă  Kaer Morhen sans mĂ©moire et blessĂ©, Geralt et les sorceleurs, Lambert, Eskel, Vesemir et LĂ©o, accompagnĂ©s de la magicienne Triss, se font attaquer par des mercenaires mystĂ©rieux en voulant Ă  leurs potions et leurs secrets. La suite de l’histoire se basera sur la poursuite de cette troupe de mercenaires, ce qui aboutira Ă  un grand voyage dans le royaume de Temeria ou TĂ©mĂ©rie, comme traduit dans les livres qui mettra en lumiĂšres complots et trahisons Ă  une Ă©chelle bien plus grande que le simple vol. Le troisiĂšme Ă©pisode de la trilogie fait beaucoup Ă©chos Ă  des scĂšnes des deux prĂ©cĂ©dents titres, comme ici par exemple Chaque chapitre sera l’occasion de dĂ©couvrir un panel de zones assez diversifiĂ©es et quasiment diffĂ©rentes Ă  chaque chapitre, seules certaines cartes revenant plusieurs fois, mais toujours avec de lĂ©gĂšres variations, comme de nouveaux monstres, ainsi que de nouveaux personnages souvent assez bien dĂ©finis. Car si le dialogue a une place prĂ©pondĂ©rante dans The Witcher 3, il en va Ă©galement de cet opus les personnages sont bien Ă©crits, bien dĂ©finis, et les dialogues sont bien souvent amusants ou graves, toujours dans le ton. Geralt est doublĂ© par Doug Cockle en anglais, qui reprendra le rĂŽle pour les seconds et troisiĂšme opus, tandis que la voix française est assurĂ©e par Patrick Baudrier, voix française entre autres de notre Jean-Claude Van Damme bien aimĂ©, mais qui ne reviendra pas pour cĂ©der sa place Ă  Daniel LobĂ©, qui restera Ă©galement dans le troisiĂšme Ă©pisode. Concernant ces doublages, l’anglais est de trĂšs bonne facture, de mĂȘme que pour le français, mĂȘme si en 2008 et l’état du jeu vidĂ©o en France Ă  l’époque, les rĂŽles ne sont pas autant pris au sĂ©rieux que dans la langue originale. De plus, la diversitĂ© d’accents est comme toujours assez prĂ©sente dans le doublage anglais, une chose qui, il faut l’admettre, est largement absente de nos doublages français, pour une raison qui m’échappe. La bande originale, elle, composĂ©e par PaweƂ BƂaszczak et Adam Skorupa est absolument divine. Utilisant des instruments qu’il est assez inhabituel d’entendre par chez nous, et en grande partie rĂ©utilisĂ©s dans l’OST du troisiĂšme opus il me semble, elle s’accorde parfaitement Ă  l’univers et Ă  l’ambiance qu’instaure le titre familiĂšre mais inhabituelle, classique mais atypique. C’est Ă©galement cette OST qui est Ă  l’origine du thĂšme principal de la franchise, mĂȘme s’il est moins souvent repris que dans le troisiĂšme opus. À noter que ce thĂšme devenu si renommĂ© est Ă©trangement absent du second Ă©pisode, sans doute parce qu’ils ne pensaient pas encore Ă  l’époque donner une identitĂ© sonore Ă  la licence. Le poker aux dĂ©s fait son apparition dans ce premier opus D’une qualitĂ© impeccable, cette OST fait partie de celles qui me suivent depuis des annĂ©es, de celles que je ne me lasse pas de réécouter, aux cĂŽtĂ©s de celles de Starbound et du premier opus de Xenoblade Chronicles. Mention spĂ©ciale aux titres River of Life, Lakeside et Ă  l’absolument incroyable Peaceful Moments. Tous les goĂ»ts restent Ă©videmment personnels, mais il faut reconnaĂźtre que les dĂ©veloppeurs ont tenu Ă  apporter une vĂ©ritable identitĂ© au titre jusqu’aux moindres dĂ©tails afin de dĂ©peindre avec le plus de respect et de profondeur possible, l’univers dĂ©jĂ  riche de Sapkowski. CĂŽtĂ© sound design, The Witcher est trĂšs correct, mais je ne peux pas dire qu’il soit transcendant les sons d’ambiance font le travail, mais beaucoup de bruitages font partie de ce genre de choses qui sont beaucoup entendues ailleurs. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’ils les ont trouvĂ©s dans une banque de son, mais presque. Les impacts des coups de poing par exemple sont trĂšs banals, et je suis certain que vous les aurez dĂ©jĂ  entendus dans une autre production. Mais le tout remplit bien son office, l’ensemble fonctionne bien et on se sent vraiment Ă  l’aise dans cet environnement sonore. Mais tout ce travail sur l’audio du jeu ne serait rien sans un enrobage graphique tout aussi cohĂ©rent. Et force est d’admettre que sur ce point, CD Projekt RED fait Ă©galement mouche. Sans oublier que le jeu date de 2008 et qu’il ne vaut donc absolument pas les standards actuels, il faut nĂ©anmoins admettre que le jeu a assez bien vieilli. Personnellement, je trouve qu’il a mieux vieilli sur ce point qu’Oblivion sorti Ă  la mĂȘme pĂ©riode, mais cela reste une question de goĂ»ts. MĂȘme si les textures sont parfois inĂ©gales, la tĂȘte d’un personnage peut ĂȘtre trĂšs dĂ©taillĂ©e alors que ses vĂȘtements sont laids et baveux, vous verrez le personnage de Kalkstein pour l’exemple, l’ensemble reste trĂšs agrĂ©able Ă  l’Ɠil. Les dialogues proposent plusieurs choix de rĂ©ponses, et offrent parfois d’autres options, comme la mĂ©ditation ou le commerce vous voyez Ă©galement ici l’exemple des textures baveuses que j’évoquais plus haut Les effets de lumiĂšres sont trĂšs corrects, et le jeu est bourrĂ© de dĂ©tails effets mĂ©tĂ©orologiques, petits animaux comme des pigeons s’envolant Ă  votre approche, chats errants sur les chemins, oies autour des maisons de paysans, singes ? gambadant dans les champs
 Le studio a fait en sorte de faire vivre son monde en dehors des personnages, et c’est quelque chose qui reste tout de mĂȘme assez exemplaire compte tenu des moyens du studio Ă  l’époque. Concernant le moteur graphique, The Witcher tourne sous une version modifiĂ©e de l’Aurora Engine, moteur empruntĂ© Ă  BioWare et utilisĂ© pour des titres comme Neverwinter Nights ou Star Wars Knights of the Old Republic. Si vous voulez en savoir plus du pourquoi/comment de ce moteur, je vous invite Ă  lire l’ouvrage L’Ascencion de The Witcher de BenoĂźt Exserv » Reinier aux Ă©ditions Third, revenant sur l’histoire de CD Projekt RED je vous conseille d’ailleurs toute la bibliographie Third, tous leurs ouvrages sont particuliĂšrement excellents. Pour faire court, le moteur Aurora Ă©tait assez facile d’utilisation, mais assez limitĂ© en cela qu’il ne permettait pas vraiment de crĂ©er un monde Ă  partir de rien, mais seulement d’utiliser des Ă©lĂ©ments prĂ©fabriquĂ©s. Le studio a donc dĂ» largement modifier le moteur pour le plier Ă  ses envies, et ainsi crĂ©er leur monde selon leur dĂ©sir. Mais quelques traces des Ă©lĂ©ments de base sont parfois reconnaissables, Ă  l’image de certains piliers trouvables dans les souterrains qui pour le coup font vraiment trĂšs Neverwinter Nights. L’emprunt Ă  BioWare a permis au studio de pouvoir dĂ©velopper son jeu sans avoir Ă  crĂ©er un moteur Ă  partir de rien, procĂ©dĂ© trĂšs coĂ»teux en temps et en argent. Le jeu offre souvent de jolis effets de lumiĂšres ou de mĂ©tĂ©o Mais revenons-en Ă  notre sujet. Les graphismes du titre sont donc trĂšs jolis et ont plutĂŽt bien vieilli. Les animations, quoiqu’un peu rigides, sont malgrĂ© tout soignĂ©es et trĂšs correctes, mĂȘme si elles ne sont pas trĂšs diversifiĂ©es dans les phases de dialogue. Les cinĂ©matiques, en revanche, toutes rĂ©alisĂ©es directement avec le moteur du jeu, font la part belle Ă  de la mise en scĂšne un peu plus poussĂ©e, et mĂȘme si le rĂ©sultat est parfois un peu ridicule Ă  cause de l’ñge, les efforts employĂ©s forcent le respect. Je rappelle qu’il s’agit du premier jeu du studio CD Projekt RED. Mais, il y a nĂ©anmoins quelques points nĂ©gatifs. Le plus important est sans doute la recrudescence de clones. C’est quelque chose qu’on ne peut pas omettre. Le jeu comporte Ă©normĂ©ment de clones. En soi, ça pourrait ne pas reprĂ©senter un problĂšme, mais ça en devient un quand un personnage important de l’intrigue se retrouve avec la mĂȘme tĂȘte que des bandits qu’on a trucidĂ©s quinze minutes plus tĂŽt un grand coup dans l’immersion, et cela peut parfois mener Ă  des fausses pistes, en se demandant si on ne vient pas de tuer quelqu’un d’important sans qu’on l’ait remarquĂ© ! Un autre point nĂ©gatif serait le manque de personnalitĂ© de beaucoup de lieux, chose qui, si elle est comprĂ©hensible, ne pose pas vĂ©ritablement de problĂšme. Le jeu n’étant pas assez long pour que la rĂ©pĂ©titivitĂ© relative s’installe suffisamment pour devenir pesante. Mais c’est un fait tous les souterrains se ressemblent, toutes les cryptes Ă©galement. Les monstres, en revanche, sont une franche rĂ©ussite. Tant dans leur design que dans les animations, ces derniers ne manqueront pas de vous faire parfois sursauter. Les noyeurs sont inquiĂ©tants, les graveirs terrifiants, et on soulignera l’idĂ©e gĂ©niale de mettre un cadavre en dĂ©composition dans le corps des Ă©kinoppes et Ă©kinoppyres. En mettant de cĂŽtĂ© les simples changements de couleur pour dĂ©signer une version “supĂ©rieure” d’un monstre noyeux/noyadĂ©, Ă©kinoppe/ Ă©kinoppyre, le bestiaire est trĂšs diversifiĂ© et encore une fois, met en scĂšne des monstres qu’on n’a pas l’habitude de voir, du moins pour la plupart. La base de donnĂ©es est trĂšs complĂšte sur tous les aspects du jeu et de l’univers Franche rĂ©ussite sur ce point Ă©galement donc, si tant est qu’on puisse passer outre les clones, ce qui en soi ne pose pas de “graves” problĂšmes Ă  l’ensemble. Audio et graphismes savent instaurer une ambiance solide et mĂȘme si l’on ne crĂ©e pas notre personnage comme dans un RPG classique, il est facile de se glisser dans la peau de Geralt et de se prendre vĂ©ritablement pour un sorceleur errant dans les rues de Wyzima pour chercher du travail, ou dans les marais pour tuer des noyeurs et rapporter leur tĂȘte contre quelques deniers. Mais une ambiance rĂ©ussie et j’ose le dire fabuleuse, ne sert Ă  rien si elle n’est pas servie par un gameplay solide et rĂ©flĂ©chi. Oui, il est temps d’enfin aborder le gros morceau. The Witcher se prĂ©sente donc comme un classique jeu en 3D Ă  la troisiĂšme personne. MĂȘme s’il est possible de choisir entre trois modes de gameplay diffĂ©rents, Ă  savoir le mode 3Ăšme personne suscitĂ©, un mode isomĂ©trique jouable intĂ©gralement Ă  la souris et un autre mode un peu Ă  mi-chemin entre les deux, il faut tout de mĂȘme reconnaĂźtre que le premier sera celui choisi dans l’immense majoritĂ© des cas. Il est nĂ©anmoins bon de reconnaĂźtre que des efforts ont Ă©tĂ© faits, mĂȘme si le mode isomĂ©trique est sans doute une relique du moteur Aurora Engine et du gameplay des Neverwinter Nights. Comme je l’ai dit, le jeu se divise en chapitres, offrants eux-mĂȘmes plusieurs zones toujours diffĂ©rentes ou presque. Ce sera Ă  vous d’explorer ces lieux pour en dĂ©couvrir la carte et pour trouver les diffĂ©rents personnages donneurs de quĂȘtes, les objets Ă  ramasser, les plantes Ă  rĂ©colter ou les monstres Ă  tuer. MĂȘme si toutes les quĂȘtes sont scĂ©narisĂ©es pour Ă©viter de trop nous faire ressentir l’effet “FedEx”, elles offrent parfois des dĂ©nouements diffĂ©rents, que ça soit Ă  cause de vos choix relatifs Ă  la quĂȘte principale qui aura impactĂ© votre rĂ©putation auprĂšs de certains personnages, ou bien simplement parce que vous ne vous y ĂȘtes pas pris correctement et n’avez pas pris la menace posĂ©e par les enjeux au sĂ©rieux. Concernant la quĂȘte principale, en revanche, mĂȘme si l’on n’est pas au niveau du second opus de la trilogie qui, je le rappelle, proposait un chapitre 2 totalement diffĂ©rent selon les choix effectuĂ©s par le joueur, le jeu offre un systĂšme de choix et de consĂ©quences qui force le respect. MĂȘme si elle peut ĂȘtre schĂ©matisĂ©e par trois “voies” gĂ©nĂ©rales, Ă  savoir deux camps et le choix de la neutralitĂ© si cher au personnage de Geralt, l’évolution de la narration est trĂšs intĂ©ressant et offre en cela une rejouabilitĂ© intĂ©ressante, le sorceleur faisant lui-mĂȘme l’emphase sur certains moments clĂ©s en se demandant comment se serait passĂ©e l’histoire s’il avait agi diffĂ©remment. Pour mettre en scĂšne tout cet univers et toutes ces quĂȘtes, le jeu prĂ©sente deux phases distinctes celles de jour, oĂč les gens sortent et mĂšnent leur vie, et oĂč il n’est souvent pas possible de sortir son arme exceptĂ©e dans quelques zones sauvages », et celle de nuit, heures oĂč sortent les monstres et oĂč les personnages se baladant dans la nature risquent plus souvent de se faire hacher menu que de conter fleurette. Les cartes des zones doivent ĂȘtre explorĂ©es pour ĂȘtre totalement dĂ©voilĂ©es Le systĂšme de combat a beaucoup fait parler de lui lors de la sortie du titre, et beaucoup de gens continuent toujours de le considĂ©rer comme ratĂ©, nul ou ennuyeux. Avant de le dĂ©cortiquer plus en dĂ©tails, laissez-moi vous le prĂ©senter dans les zones oĂč il vous est autorisĂ© de dĂ©gainer vos armes, indiquĂ©es par un symbole de griffe sur la “pendule” informant de l’heure de la journĂ©e, vous aurez le choix entre sortir votre Ă©pĂ©e d’acier ou celle en argent, armes propres Ă  tout sorceleur qui se respecte, ou bien d’autres modĂšles rĂ©cupĂ©rables sur les ennemis ou dans les coffres. Anecdotiques, ces armes dites “secondaires”, ne se rĂ©vĂšlent jamais utiles, Ă  part peut-ĂȘtre la torche en de rares occasions. Pour se battre, il faudra cliquer sur l’ennemi en rythme afin d’enchaĂźner les combos et ainsi occasionner plus de dĂ©gĂąts. Pour ce faire, les armes de sorceleur se voient dotĂ©es de trois styles, Ă  savoir le style puissant, le rapide et celui de groupe. Chaque ennemi est ainsi vulnĂ©rable Ă  l’un des deux premiers styles, tandis que le troisiĂšme ne touchera pas les ennemis isolĂ©s, mais abattra des groupes entiers en quelques moulinets. Si cela peut sembler trĂšs simple sur le papier, voire simpliste, il faut savoir que connaĂźtre le style efficace contre certains monstres sera indispensable trĂšs rapidement, utiliser le mauvais se soldant par une esquive ou un blocage de l’adversaire. De mĂȘme, maĂźtriser le rythme du combat est plus que conseillĂ©, si vous ne voulez pas vous contenter de relancer le combo Ă  chaque coup et ainsi lutter Ă  tuer le moindre monstre. Si le systĂšme de combat peut donc se rĂ©sumer Ă  “cliquer en rythme”, c’est en rĂ©alitĂ© un peu plus complexe que cela par une succession de micro-choix, le jeu nous force Ă  constamment adapter notre style, Ă  nous placer correctement pour ne pas frapper le mauvais ennemi ou bien pour toucher un maximum de cibles dans le cas d’un groupe, ou bien tout simplement Ă  ne pas nous tromper d’arme, les combats mĂ©langeant monstres et humains survenant Ă  plusieurs reprises dans le jeu. Je peux vous assurer que dans les modes de difficultĂ© les plus Ă©levĂ©s, un simple clic de travers peut mener Ă  la catastrophe. Et il faut ajouter Ă  cela les signes, les potions, les bombes et les huiles, et le tout se rĂ©vĂšle au final trĂšs complet et bien plus complexe que le premier coup d’Ɠil pourrait le laisser croire. Si The Witcher ne permet pas de crĂ©er et personnaliser l’apparence de son personnage, il n’en est pas moins un RPG, avec toutes les mĂ©caniques que ce type de jeu implique. On gĂšre donc son Ă©quipement, on fait Ă©voluer son personnage et on gagne en expĂ©rience. Et quoi de mieux pour cela qu’un arbre de compĂ©tence ?! S’il est devenu quelque chose d’un peu trop commun dans le monde vidĂ©oludique d’aujourd’hui, se retrouvant partout avec plus ou moins de pertinence, il Ă©tait Ă  l’origine l’apanage des RPG pur souche, et Ă©tait particuliĂšrement soignĂ©. Et que dire de celui de The Witcher si ce n’est qu’il est proprement magnifique ? DivisĂ© en plusieurs catĂ©gories, une pour chaque style de combat ou par signe par exemple, il est magnifiquement illustrĂ© et clair. MĂȘme si dans l’absolu, beaucoup de cases se ressemblent, il faut tout de mĂȘme admettre qu’il en jette, et que son systĂšme de remplissage est particuliĂšrement plaisant. RPG old-school oblige, autant vous le dire tout de suite il ne vous sera pas possible de tout dĂ©bloquer. Il vous faudra faire des choix dans l’orientation de votre personnage. Chaque compĂ©tence se dĂ©bloque avec un talent, bronze, argent ou or, et certains sont indispensables si vous souhaitez dĂ©bloquer les paliers supĂ©rieurs. Il y en a pour tous les goĂ»ts, du bonus de dĂ©gĂąts en Ă©tat d’ébriĂ©tĂ© Ă  la possibilitĂ© de ramasser plus d’ingrĂ©dients sur les plantes qui permettront de concocter des potions. Vous devez admettre que l’arbre de compĂ©tence en jette sacrĂ©ment Et que serait un sorceleur sans ses potions ? C’est lĂ  qu’intervient l’aspect alchimie du titre, et laissez-moi vous le dire tout de suite c’est tout simplement le meilleur de la trilogie, qui en aura eu un diffĂ©rent Ă  chaque opus. Ici, bien qu’il soit possible de connaĂźtre les recettes de diffĂ©rentes potions et de les prĂ©parer “automatiquement” via une liste, il vous est tout Ă  fait possible de mĂ©langer les ingrĂ©dients au hasard afin de dĂ©couvrir de nouvelles recettes de potions, d’huiles pour armes ou de bombes. Lesdits ingrĂ©dients sont divisĂ©s en plusieurs types appelĂ©s substances. Au nombre de 6, elles permettent un large panel de possibilitĂ©s. Ajoutez Ă  cela 3 substances dites “additionnelles”, permettant de donner des effets supplĂ©mentaires Ă  vos prĂ©parations, et vous obtenez un systĂšme d’alchimie proposant au joueur un vĂ©ritable “jeu dans le jeu”, le laissant libre d’expĂ©rimenter tout ce qu’il veut et ainsi potentiellement dĂ©couvrir des recettes de potions ou de bombes trĂšs puissantes trĂšs tĂŽt dans la partie. Les ingrĂ©dients, eux, peuvent se rĂ©colter dans la nature via les plantes, les champignons ou les minĂ©raux, mais Ă©galement s’extraire directement sur les monstres Ă  condition que Geralt connaisse les matĂ©riaux en question. AmnĂ©sie oblige, il a tout oubliĂ©, des recettes les plus simples aux ingrĂ©dients les plus communs. Pour remĂ©dier Ă  cela, il lui faudra acquĂ©rir des connaissances en lisant des livres, trouvables ou achetables un peu partout dans le monde. Toutes ces connaissances se retrouvent ainsi listĂ©es dans une base de donnĂ©es encyclopĂ©dique dĂ©taillĂ©e et trĂšs claire, rendant accessible la moindre information Ă  tout moment. Plus que les ingrĂ©dients, cette base de donnĂ©es est vĂ©ritablement providentielle, et montre une fois de plus la maĂźtrise de CD Projekt RED pour l’univers de Sapkowki dĂšs le dĂ©but, il nous est possible de lire de petits paragraphes dĂ©veloppant l’univers ou les personnages. Oui, exactement comme dans les second et troisiĂšme opus, mais le fait que cette fonctionnalitĂ© soit prĂ©sente dĂšs le premier Ă©pisode montre Ă  quel point le studio avait confiance en ses capacitĂ©s et en sa licence, se permettant de dĂ©velopper dĂšs le dĂ©but son monde en y incluant parfois des Ă©lĂ©ments qui ne sont jamais vĂ©ritablement illustrĂ©s dans le jeu, comme la bataille de Sodden ou la Conjonction des SphĂšres par exemple. Le titre offre Ă©galement quelques Ă -cĂŽtĂ©s, reprĂ©sentĂ©s par trois minis-jeux qui permettent de souffler un peu et de se reposer de l’histoire principale trĂšs premier degrĂ©. Le premier de ces trois mini-jeux est le combat Ă  mains nues vĂ©ritable pilier de la trilogie, Ă©tant le seul aspect du jeu ayant traversĂ© les trois titres, il permet de se battre aux poings contre des ennemis uniques contre des rĂ©compenses uniques. Malheureusement, force est de constater que le systĂšme de combat aux poings est vraiment simpliste, et qu’il est trĂšs difficile de perdre, d’autant que les contrĂŽles et les “combos” sont trĂšs approximatifs, voire inexistants. Le second mini-jeu est le poker aux dĂ©s. Beaucoup plus amusant, il permet de gagner de grosses sommes d’argent contre d’autres personnages uniques, tout en permettant de devenir, Ă  terme, une vĂ©ritable lĂ©gende du jeu, crainte de tous, mĂȘme d’un certain personnage important que je ne spoilerai pas ici. TrĂšs simple dans sa comprĂ©hension, il se joue en deux manches pendant lesquelles il faudra non seulement avoir des jets de dĂ©s chanceux, mais Ă©galement choisir stratĂ©giquement lesquels conserver lors du second lancer et lesquels rejouer pour essayer d’obtenir des combos full, suite, brelan, etc.. Le seul souci se prĂ©sentant rĂ©ellement ici est qu’aucun index des combinaisons n’est disponible, aussi il n’est pas forcĂ©ment Ă©vident pour le nĂ©ophyte de savoir non seulement quoi chercher Ă  obtenir, mais Ă©galement quelle combinaison a plus de valeur que l’autre. Et enfin, le dernier mini-jeu est sans doute celui qui a fait couler le plus d’encre, et qui est d’un goĂ»t plus
 douteux, dirons-nous. Vous ne serez pas sans savoir que Geralt aime les femmes, et vice-versa. Il sera ainsi possible de sĂ©duire plusieurs d’entre-elles, soit au cours de l’histoire, soit en cherchant un peu. La rĂ©compense d’une telle “recherche” est une carte Ă©rotique unique Ă  chaque femme sĂ©duite, encourageant le joueur Ă  littĂ©ralement “collectionner les femmes”. Un peu beauf, assez rabaissant, cet aspect du jeu a Ă©tĂ© censurĂ© dans plusieurs pays, ce qui a justifiĂ© la nĂ©cessitĂ© de CD Projekt RED de ressortir cette version enhanced qui, entre autres dĂ©tails techniques, offrait au monde entier la possibilitĂ© de voir ces cartes dans leur version d’origine. Notez que mĂȘme s’il est toujours possible pour Geralt d’avoir des rapports dans les deux autres titres de la trilogie, il n’a plus jamais Ă©tĂ© question d’une telle mĂ©canique, mĂȘme si les scĂšnes sont devenues en revanche bien plus explicites. L’alchimie est trĂšs ludique et trĂšs intuitive, et c’est souvent un plaisir de trouver des recettes “par hasard” Avant de conclure, je souhaitais revenir sur l’aspect chapitrĂ© du jeu. MĂ©thode ĂŽ combien prisĂ©e d’énormĂ©ment de jeux, je l’ai trouvĂ©e ici particuliĂšrement pertinente. Du fait de l’aspect massif de l’univers que CD Projekt RED essaie de reproduire et de nous prĂ©senter, diviser le jeu en chapitres permet de diluer les informations Ă  ingĂ©rer de façon trĂšs digeste et cohĂ©rente. Si l’introduction se passe Ă  Kaer Morhen, le berceau des sorceleurs de l’école du Loup, tout le reste du jeu se passera dans la rĂ©gion de Wyzima, la capitale de la Temeria. Mais plutĂŽt que de directement nous lĂącher en ville, avec tout ce que ça implique de lutte de classes, de races, de problĂšmes de peste, de religion, de monstres et de politique, le jeu nous laisse arriver petit Ă  petit dans la rĂ©gion d’abord les faubourgs dans le premier chapitre, puis le quartier du temple, pauvre et nĂ©gligĂ©, dans le second, et enfin le quartier des marchands, cƓur vibrant de la ville dans le troisiĂšme. Le fait que certaines zones restent explorables d’un chapitre Ă  l’autre nous rend vraiment l’endroit familier on apprend Ă  le connaĂźtre, Ă  l’apprĂ©hender, et on arrive mĂȘme Ă  cerner et comprendre les personnages bien mieux quand on connaĂźt le contexte dans lequel ils Ă©voluent. Mention spĂ©ciale au chapitre 4, bouffĂ©e d’oxygĂšne dans une grande histoire Ă©touffante, qui nous permet le temps de quelques heures, de s’échapper de la ville pour rĂ©gler des problĂšmes plus “simples”, revenant directement aux racines de ce qu’est un sorceleur, toute politique et camp mis Ă  part. Offrant des zones magnifiques et inoubliables, ce chapitre 4 est Ă  titre personnel, une expĂ©rience profondĂ©ment marquante, un moment de jeu vidĂ©o ayant contribuĂ© Ă  me forger une imagerie et des sentiments que j’ai eu beaucoup de mal Ă  retrouver depuis. L’ambiance de ce chapitre est tout bonnement unique, et on sent bien que CD Projekt RED a essayĂ© de la recrĂ©er dans un contexte quelque peu diffĂ©rent dans le DLC Blood and Wine du troisiĂšme opus douce-amĂšre, belle et mĂ©lancolique, avec une petite touche de fin de tout, que ça soit au niveau des personnages rencontrĂ©s ou bien pour le joueur, qui aura autant de mal Ă  quitter la rĂ©gion d’Eaux-Troubles que la trilogie de Geralt. En conclusion, que dire sinon que CD Projekt RED a su offrir avec son premier opus de The Witcher un jeu majeur qui, mĂȘme s’il n’a pas eu un succĂšs aussi colossal que son petit frĂšre, a nĂ©anmoins Ă©tĂ© fondateur, non seulement pour le studio qui aura su bĂątir une base trĂšs solide pour sa trilogie, mais Ă©galement pour le joueur qui se voit introduit Ă  un univers de dark-fantasy pas tout Ă  fait comme les autres. Un titre, qui est tout en finesse, avec une implication et une immersion rarement Ă©galĂ©es dans des titres imposant son protagoniste. Avec son gameplay original et finalement trĂšs peu repris, ses mĂ©caniques huilĂ©es et finement imbriquĂ©es les unes dans les autres, ses graphismes et ses animations tout Ă  fait corrects encore aujourd’hui, et sa cohĂ©rence de tous les instants, The Witcher est et restera, l’un des meilleurs RPG des annĂ©es 2000, et un titre Ă  jamais dans mon cƓur de fan. + TrĂšs beau, mĂȘme encore aujourd’hui.+ Un systĂšme de combat original au parti-pris assumĂ©, qu’on n’a trĂšs peu vu par ailleurs depuis.+ L’univers trĂšs bien adaptĂ© et pris avec un sĂ©rieux presque “vĂ©nĂ©rateur”, en plus d’ĂȘtre trĂšs vivant.+ Des choix impliquant de vraies consĂ©quences.+La bande originale.+ Le chapitre 4.+Les bases solides sur lesquelles une trilogie pilier du jeu-vidĂ©o, s’est bĂątie.– MĂȘme s’il reste assez beau, les graphismes ne plairont pas Ă  tout le monde, de mĂȘme que certaines animations un peu figĂ©es.– Les clones.– Les allers-retours qui peuvent devenirs pesants, d’autant que l’allure du personnage ne peut pas ĂȘtre modifiĂ©e.– De par sa radicalitĂ©, le systĂšme de combat peut ne pas plaire Ă  tout le monde.
Onpouvait sen douter, CD Projekt Red nous concocte un troisiĂšme RPG qui risque de marquer les aficionados. Avec son univers mature, ses personnages tout en reliefs et son esthĂ©tique Ă  tomber par terre, The Witcher 3 : Wild Hunt s’annonce comme un must-have pour les PCistes et les possesseurs de PS4 et Xbox One. Restent quelques zones d
regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Sentinelle est une quĂȘte du Chapitre II qui commence quand Kalkstein demande Ă  Geralt de discuter de la tour du mage avec Vaska. Elle lui dit ce qu'elle sait et lui donne une carte de tarot dont elle n'a plus besoin. Cette carte rĂ©vĂšle comment vaincre le golem qui dĂ©tient l'une des clĂ©s de la tour. Guide AprĂšs avoir commencĂ© la quĂȘte Tour mystĂ©rieuse », Geralt se heurte Ă  quelques accrocs. Notemment, il a besoin de dix sefirot pour entrer dans la tour et il ne peut en trouver que huit. Il paraĂźtrait que la neuviĂšme se trouve Ă  l'intĂ©rieur d'un golem de pierre dans la sĂ©pulture du golem dans les marais. Avec la carte de tarot que Vaska lui a donnĂ©e et les conseils de Kalkstein, le sorceleur apprend qu'il doit d'abord rĂ©veiller le golem et ensuite le vaincre pout obtenir cette sefira. Pour rĂ©veiller le golem il y a pas mal de va et vient, et c'est coĂ»teux. D'abord, Geralt doit se procurer un paratonnerre soit de Malcolm Stein qui charge 50 , ou de l'armurier de l'Ordre qui a besoin d'instructions et qui charge 70 . Lorsque le choix meilleur marchĂ© est clair le forgeron, tout dĂ©pend du choix d'alliance de Geralt pendant la quĂȘte UnitĂ©s de reconnaissances ». Ensuite, une fois que le paratonnerre est en main, il y a la question de la façon dont provoquer un orage. Les druides peut-ĂȘtre ? Mais oui ! 
pour quelques de plus. Une fois que toutes les prĂ©parations sont en place, il y a toujours le combat avec la sentinelle. Alors notre hĂ©ros part pour la sĂ©pulture du golem dans les marais. LĂ , il trouve la bĂȘte en question et met le paratonnerre en place. Le druide aura dĂ©jĂ  provoquĂ© l'orage, alors ça ne prendra pas longtemps pour que le premier coup de foudre rĂ©veille le monstre. Il ne semble pas trĂšs heureux de se faire rĂ©veiller. Ensuite, les courses commencent. Geralt doit activer chacun des trois poteaux pour chacune des trois "parties" du combat. Activer les deux premiers poteaux n'est pas compliquĂ©. C'est le troisiĂšme qui peut poser des problĂšmes. Geralt doit absolument rester en dehors du triangle encadrĂ© par les poteaux lorsqu'il active le troisiĂšme, autrement il se fait frapper par la foudre. Également, le golem doit ĂȘtre Ă  l'intĂ©rieur de la mĂȘme zone ou il n'est pas frappĂ©. Il faut que la foudre frappe le golem trois fois pour le tuer. Enfin, il peut ĂȘtre "dĂ©pecĂ©" et la sefira Neh'tza ainsi que son cƓur d'obsidienne peuvent ĂȘtre extraits. VoilĂ  ! Notes Voir aussi la traduction du guide Gamepressure » Il faut faire attention en activant les poteaux de pierre pour Ă©lectrocuter le golem. Il faut absolument rester en dehors du triangle ou vous serez frappĂ© par la foudre et en fonction de votre niveau, cela pourrait vous tuer instantanĂ©ment. Le golem se dĂ©place assez lentement, alors si vous ĂȘtes frappĂ© par la foudre et pas tuĂ©, courez en cercles jusqu'Ă  ce que votre niveau de vitalitĂ© revienne Ă  100% avant de continuer. Le golem ne "guĂ©rit" pas. La dixiĂšme sefira est fournie par le dĂ©tective, ne perdez pas votre temps Ă  la chercher. Vous pouvez vous battre contre le golem en utilisant des moyens ordinaires, vous n'ĂȘtes pas obligĂ© d'utiliser les poteaux magiques, mais cela rend le combat plus difficile mais pas impossible. Vous pouvez obtenir de l'aide si la quĂȘte UnitĂ©s de reconnaissances » a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© proposĂ©e, mais que vous n'avez pas encore choisi de l'accepter. Le camp de l'Ordre est tout prĂšs de la SĂ©pulture du golem. Vous pouvez attirer le golem vers le camp, et les chevaliers de l'Ordre vous aideront de bon cƓur. Notez aussi que les membres de l'Ordre qui meurent en attaquant le golem peuvent ĂȘtre fouillĂ©s pour trouver des orins ou de l'Ă©quipement. Ils seront probablement tous tuĂ©s. Vous pouvez Ă©galement attirer le golem vers le camp de la Scoia'tael, et vous servir du fait que le petit pont qui mĂšne au camp est trop Ă©troit pour le golem. Le golem ne peut pas se servir du pont, alors il reste plantĂ© lĂ  et vous pouvez le bombarder de boules de feu avec le signe d'Igni. Les poteaux deviennent actifs pour de bon aprĂšs cette quĂȘte mĂȘme quand il ne pleut pas, alors si vous avez des ennuis dans les marais, vous pouvez attirer la bĂȘte qui vous pourchasse vers les poteaux et bing ! ProblĂšme rĂ©solu. Il n'est pas strictement nĂ©cessaire de commencer avec le poteau portant l'Ă©tiquette 1 » C'est vrai ! Mais il faut commencer quelque part. Il faut tout simplement les toucher dans le sens des aiguilles d'une montre. Vous pouvez commencer avec n'importe quel. Attendez un orage naturel. ComplĂ©tez d'autres quĂȘtes, les orages se produisent assez souvent dans les marais, ou mĂ©ditez prĂšs du feu de camp Ă  intervalles courts. Vous pouvez Ă©galement sauvegarder et recharger votre partie, les chances sont bonnes qu'il pleuve aprĂšs avoir rechargĂ© la partie environ une fois sur quatre. Phases Une carte de tarot Vaska m'a racontĂ© l'histoire de la tour. Pour ouvrir sa porte, je dois consulter une carte de tarot qui montre comment vaincre le gardien de la tour, un golem. Je devrais en discuter avec Kalkstein. Le paratonnerre Pour rĂ©veiller le golem, il faut que je provoque la foudre et que je me procure un paratonnerre. Facile ! Je dois d'abord trouver un artisan l'orage ne me servira pas Ă  grand-chose sans le paratonnerre. Je dois trouver un artisan qui me fabriquera le paratonnerre. De l'argent pour le nain / l'armurier Le forgeron nain me demande 50 orins pour le paratonnerre. Je dois lui apporter l'argent. Je dois apporter 50 orins au nain 500 XP ou L'armurier de l'Ordre me fabriquera un paratonnerre pour 70 orins. Je dois lui apporter l'argent. Je dois apporter 70 orins Ă  l'armurier 500 XP L'orage J'ai achetĂ© le paratonnerre au forgeron. Je dois maintenant trouver le moyen de provoquer un orage dans les marais. Je vais commencer par me rendre sur place. Je dois allez voir les druides dans les marais pour trouver le moyen d'y provoquer un orage. –50 ou J'ai achetĂ© le paratonnerre au forgeron. Je dois maintenant trouver le moyen de provoquer un orage dans les marais. Je vais commencer par me rendre sur place. Je dois allez voir les druides dans les marais pour trouver le moyen d'y provoquer un orage. –70 Druides Les druides peuvent commander aux forces de la nature, donc peut-ĂȘtre pourraient-ils invoquer un orage pour moi. Cela dit, je ne crois pas qu'ils le feront gratuitement. Je vais demander aux druides d'invoquer un orage. De l'argent pour les druides Les druides peuvent provoquer un orage pour moi, mais ils me rĂ©clament 500 orins en Ă©change. Je dois leur apporter l'argent ou attendre un orage naturel. Je dois payer les druides 500 orins pour l'orage. Astuce Vous pouvez Ă©pargner ce montant en placent le paratonnerre dans le golem lorsqu'il pleut, mĂȘme s'il ne pleut qu'un tout petit peu et la cinĂ©matique commencera. Le golem J'ai payĂ© les druides. J'espĂšre que l'orage vaudra le prix que j'ai payĂ©. Je dois maintenant trouver le golem, placer le paratonnerre dans sa main et attendre la foudre. Je dois placer le paratonnerre dans la main du golem.–500 RĂ©veiller le golem Le golem s'est rĂ©veillĂ©. Je dois le vaincre pour accĂ©der Ă  la tour et Ă  la sefira. Je dois vaincre le golem. La sefira J'ai terrassĂ© le golem. Je dois extraire la sefira. Je dois extraire la sefira du golem. 2000 XP La sefira J'ai trouvĂ© une nouvelle sefira cachĂ©e Ă  l'intĂ©rieur du golem. Ça n'a pas Ă©tĂ© de tout repos ! J'ai vaincu la sentinelle. Les dĂ©tails terminent ici. TurĂ©cupĂšres le croc sur son cadavre, mais il ne t'a pas expliquĂ© ce que c'Ă©tait. Si tu lui dis qu'il n'y a pas besoin de se battre, que tu fais seulement ton job, il se calme et te ranconte l'histoire. A partir de ce moment, tu sais ce qu'est cet objet. Il me semble qu'aprĂšs ça peut repartir en baston, mais tu as l'info. CD Projekt, studio polonais Ă  l’origine de l’adaptation de la saga littĂ©raire The Witcher en jeu vidĂ©o, a toujours mis un point d’honneur Ă  remanier et enrichir le contenu de ses titres. Car mĂȘme s’il n’a travaillĂ© que » sur cette sĂ©rie de jeux, force est de constater que l’attention qui leur Ă©tait portĂ©e a toujours Ă©tĂ© exemplaire. The Witcher 3 ne semble pas dĂ©roger Ă  la rĂšgle. DĂ©jĂ  corrigĂ© par de nombreux patchs et enrichi de 16 DLC gratuits, le premier gros DLC payant arrive. AppelĂ© Hearts of Stone et vendu au prix de 9,99€, celui-ci est davantage considĂ©rĂ© par le studio comme une extension plutĂŽt qu’un contenu supplĂ©mentaire similaire Ă  ce que d’autres studios ont pu nous habituer ces derniĂšres annĂ©es. Mais Hearts of Stone vaut-il vraiment la peine d’ĂȘtre jouĂ© ? L’homme au cƓur de pierre Pour commencer avec un premier point intĂ©ressant lorsque le DLC est installĂ©, celui-ci est directement visible dans le menu principal. Il est possible de reprendre son ancienne sauvegarde du moment que son personnage soit au moins au niveau 30. Sinon il est tout Ă  fait possible de commencer directement sur Hearts of Stone, comme s’il s’agissait d’un standalone. Dans ce cas, un personnage sera dĂ©jĂ  créé et dĂ©butera au niveau 32 avec de quoi pouvoir Ă©voluer plutĂŽt tranquillement points de compĂ©tence, Ă©quipements
. C’est un point plutĂŽt intĂ©ressant si l’on a pas le courage de monter son personnage ou mĂȘme si l’on dĂ©sire jouer sans pour autant reprendre son ancienne partie. Concernant l’histoire principale de cette extension, celle-ci commence lorsque Geralt tombe sur un contrat de chasse au monstre demandant l’élimination d’une crĂ©ature dangereuse dans les Ă©gouts d’Oxenfurt. D’ailleurs, mettons tout de suite au crĂ©dit de HoS qu’il a le mĂ©rite d’enfin tirer profit de la ville d’Oxenfurt qui Ă©tait Ă  peine exploitĂ©e dans la version originale. C’était sans doute l’un des points noirs les plus gĂȘnants concernant les quĂȘtes de The Witcher 3
 le problĂšme est maintenant rĂ©solu. Pour commencer votre quĂȘte, il est demandĂ© de rencontrer son commanditaire, un certain Olgierd Von Everec. À son sujet, bien qu’il ne s’agisse pas d’un personnage vĂ©ritablement bon », il est dotĂ© d’un charisme certain et d’un passĂ© pour le moins intriguant. Et comme souvent, on remarque que CD Projekt a vraiment soignĂ© le traitement de ce dernier qui n’est ni bon, ni fonciĂšrement mauvais. Et sans trop en dire, ce contrat vous amĂšnera par la suite Ă  rencontrer une amie de longue date Shani, l’une des romances possibles du premier volet The Witcher. Retrouver ce personnage est apprĂ©ciable autant pour les amateurs des prĂ©cĂ©dents Ă©pisodes que pour ceux ayant dĂ©butĂ© avec le troisiĂšme opus. Cette jeune femme mĂ©decin est restĂ©e fidĂšle Ă  elle-mĂȘme et reste en cohĂ©rence avec ce que l’on connaissait d’elle au dĂ©but de la sĂ©rie, un bon point donc. Sa prĂ©sence sera, comme vous vous en doutez probablement, l’opportunitĂ© de renouer le lien
 ou pas d’ailleurs. C’est une romance plutĂŽt sympathique et qui a le mĂ©rite d’avoir un contexte un peu plus lĂ©ger que celles de Triss ou Yennefer. Mais cette remarque est Ă©galement valable pour l’ensemble de l’histoire. MĂȘme si le danger est toujours palpable, on ressent un peu plus de lĂ©gĂšretĂ© dans l’enjeu de ce DLC, et ce n’est pas forcĂ©ment plus mal. L’aventure sera aussi et surtout le moment oĂč l’on retrouve un personnage que la majoritĂ© des joueurs auront sans doute oubliĂ© Gaunter de MeurĂ©, aussi connu comme le MaĂźtre Miroir. Si vous ne vous en souvenez pas, on le rencontre dans l’introduction lorsque l’on se trouve Ă  Blanchefleur. Celui-ci nous aide notamment en nous mettant sur la piste de Yennefer. Ce personnage se trouve ĂȘtre particuliĂšrement intĂ©ressant mais Ă©galement liĂ© Ă  Olgierd, et par la suite Ă  Geralt. Pour le reste, on regrettera que les autres personnages, mĂȘme s’ils sont parfois intĂ©ressants ont malheureusement tendance Ă  souffrir d’une trop faible visibilitĂ©. Ceci dit, il est difficile d’en tenir rigueur sachant que pour certains personnages, leur prĂ©sence n’est pas obligatoire dans le sens oĂč un autre personnage peut prendre sa place. Un contenu qui met du cƓur Ă  l’ouvrage La suite de l’aventure propose en outre des missions assez variĂ©es et qui se rĂ©soudront soit au fil de l’épĂ©e, au Gwynt ou par d’autres mĂ©thodes que nous n’exposeront pas pour Ă©viter de gĂącher tout plaisir de dĂ©couverte. Cette variĂ©tĂ© est encore une fois trĂšs apprĂ©ciable et permet de ne pas se lasser. La mise en scĂšne des missions est elle aussi trĂšs soignĂ©e et sait se montrer extrĂȘmement immersive. On attribuera une mention spĂ©ciale Ă  une certaine mission de cambriolage qui se trouve ĂȘtre un peu trop courte dans son exĂ©cution alors qu’au contraire, la prĂ©paration est beaucoup plus longue. Mais dans leur globalitĂ©, les missions sont plutĂŽt bien dosĂ©es et disposent d’une durĂ©e de vie plus que raisonnable. Car si les dĂ©veloppeurs nous ont promis une dizaine d’heures de jeu, non seulement le contrat est rempli, mais il est certain que si vous dĂ©sirez faire l’ensemble des quĂȘtes, cela vous prendra un peu plus de temps. Une bonne chose pour un contenu additionnel affichĂ© Ă  moins de 10€. L’un des points importants Ă  aborder dans cette extension, c’est aussi celui des combats de boss. Ces derniers sont, comme frĂ©quemment dans The Witcher 3 et les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, plutĂŽt mal Ă©quilibrĂ©s. Si dans certains cas vous tombez sur un combat assez simple, il est aussi possible de se retrouver confrontĂ© Ă  des boss plutĂŽt retors. Rien d’impossible cependant, rassurez-vous, mais cette irrĂ©gularitĂ© dans la difficultĂ© peut s’avĂ©rer un peu frustrante pour certains joueurs. Votre aventure vous amĂšnera aussi Ă  faire la rencontre du peuple d’Ophir, amenant son lot de nouveautĂ©s et d’exotisme dans le titre. Effectivement, lors d’une quĂȘte secondaire, un Ophiris expliquera qu’il est capable d’amĂ©liorer l’équipement en y insufflant des mots de pouvoir que l’on peut crĂ©er Ă  partir de glyphes et de runes. Les bonus confĂ©rĂ©s par cet enchanteur sont utiles et permettent d’obtenir des effets trĂšs intĂ©ressants comme la capacitĂ© de dĂ©vier les carreaux d’arbalĂšte. Un must have lorsque l’on combat des groupes d’hommes armĂ©s pendant que les arbalĂ©triers restent sournoisement en arriĂšre ! Ces atouts sont d’ailleurs soit spĂ©cifiques aux armes, soient aux amures. Mais ne vous y trompez pas, bĂ©nĂ©ficier de ces bonus ne sera pas une mince affaire car il faudra investir Ă©normĂ©ment d’argent pour le matĂ©riel du marchand. Une fois ceci fait, la crĂ©ation des mots en elle-mĂȘme n’est pas trĂšs chĂšre. Dans les aspects purement formels mais qui ont tout de mĂȘme leur intĂ©rĂȘt, on peut Ă©galement se rendre compte du fait que quelques changements ont Ă©tĂ© opĂ©rĂ©s. Par exemple, les icĂŽnes des runes et glyphes sont dĂ©sormais beaucoup plus simples Ă  distinguer, ce qui est trĂšs pratique pour s’y retrouver. Et toujours pour une meilleure clartĂ©, toutes les quĂȘtes liĂ©es Ă  l’extension sont colorĂ©es en bleu. Il est ainsi extrĂȘmement simple de s’organiser, particuliĂšrement lorsque l’on dispose encore d’un nombre consĂ©quent de quĂȘtes issues du jeu original. Pour conclure, ce DLC Hearts of Stone bĂ©nĂ©ficie d’un travail plutĂŽt soignĂ© montrant encore une fois la bonne volontĂ© du studio polonais. Pour une durĂ©e de vie supĂ©rieure Ă  10h, pour peu que l’on fasse toutes les quĂȘtes proposĂ©es, son prix de 9,99€ se justifie amplement et ne devrait souffrir d’aucune contestation. Une extension honnĂȘte qui a du cƓur.
LeblĂȘme est un montre rencontrĂ© par Geralt de Riv sur les Ăźles de Skellige durant les Ă©vĂšnements de The Witcher 3 : Wild Hunt. Cet entitĂ© fantomatique s'attache Ă  un ĂȘtre humain pour le punir d'un fait passĂ© dont il est le coupable. "Certains hommes ont de bonnes raisons d'avoir peur de leur ombre" -Svargmitt, druide d'An Skellig Les monstres s'en prennent le plus
Jette un sou au Sorceleur". Visiblement, il restait beaucoup de monnaie dans les poches de Netflix. Bien décidée à marcher dans les traces de Game of Thrones, et développer une série de medieval fantasy forte, la plateforme qui fait "TOUDOUM" a lancé fin 2019 The Witcher (ce qui se traduit par Sorceleur en VF). Basée sur les livres de l'écrivain polonais
Ilne reste plus qu'Ă  attendre la date de mise en ligne. We're working on the next patch and hoping to have it out as soon as possible. Should address all major reported issues.
GWENT: inscription Ă  la BETA, trailer et gameplay du jeu de carte de The Witcher 3. Le fameux jeu de cartes Gwent, tirĂ© de la saga The Witcher, va ĂȘtre adaptĂ© sur PC et XBOX One. On vous partage tout ce qu'il faut savoir pour vous inscrire Ă  la BETA du jeu, le nouveau trailer ainsi qu'un premier aperçu du gameplay du jeu Gwent.
Bienqu'il manque de combat et ne soit pas aussi bien accueilli que son successeur, The Witcher 2 peut ĂȘtre un excellent moyen de commencer la sĂ©rie. Bien que son successeur lui ait enlevĂ© la vedette, le Witcher 2 reste l'un des principaux jeux en monde ouvert du dĂ©but des annĂ©es 10. Cela peut ĂȘtre un excellent moyen pour les fans de The
oaFA.
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  • the witcher 3 il ne peut en rester qu un