SiBooba débarque ou termine le concert avec Ali en guest "pas le temps pour les regrets" je saute des gradins. J'vous fais confiance pour me rattraper hein. #StadeDeFrance #booba J'vous fais confiance pour me rattraper hein.
AboutSample "Zahrat el madaen" Fairuz Pas le temps pour les regrets ? J'aurais du mal Ă le croire si je l'entendais d'une autre bouche que celle des Lunatic. Toute une philosophie dĂ©veloppĂ©e par les deux comparses sur ce morceau qui a des airs apocalyptiques. C'est aussi le seul tĂ©moignage vidĂ©o laissĂ© par le groupe le seul clip, quoi ! us a question about this song2. Pas lâtemps pour les regrets
Letemps des regrets pour Yannick Jadot Fanette BON. 10/04/2022. Guerre en Ukraine : au moins 242 enfants ont été tués et 440 autres blessés depuis le début du conflit, selon la justice
Le Monde & Vous Le Monde des lecteurs Aujourdâhui la centrale nuclĂ©aire de Fessenheim est bien morte. Et il est trop tard pour le regretter », constate Alain Desgranges, relevant que certains responsables politiques actuels se rĂ©jouissaient de cette fermeture en 2020, alors mĂȘme que la crise Ă©nergĂ©tique contraint aujourdâhui la France Ă redĂ©marrer une centrale Ă©lectrique au charbon, bien plus Ă©mettrice de CO2. PubliĂ© le 25 aoĂ»t 2022 Ă 18h27 Temps de Lecture 2 min. Le redĂ©marrage de la centrale Ă©lectrique au charbon de Saint-Avold Moselle ne peut que remettre en mĂ©moire la faute gravissime quâa constituĂ© lâarrĂȘt prĂ©maturĂ© de la centrale nuclĂ©aire de Fessenheim Haut-Rhin, que rien ne justifiait si ce nâest une promesse Ă©lectorale dâun autre temps. Tant pis, le climat attendra ! Car il faut savoir que la centrale de Saint-Avold, dont le redĂ©marrage permettra de limiter la casse ce prochain hiver avec ses 600 mĂ©gawatts MW de puissance installĂ©e, contribuera aussi au rĂ©chauffement climatique avec des Ă©missions de 1 000 grammes de CO2 pour chaque kilowattheure kWh produit. A comparer avec la centrale de Fessenheim, arrĂȘtĂ©e en 2020 pour des raisons politiciennes, qui disposait de 1 800 MW de puissance et nâĂ©mettait que 4 g de CO2 par kWh produit. Lire aussi Article rĂ©servĂ© Ă nos abonnĂ©s ConfrontĂ© Ă un contexte Ă©nergĂ©tique incertain, le gouvernement français mise sur le charbon Elle apportait donc trois fois plus de puissance et Ă©mettait 250 fois moins de CO2 par kWh que la centrale de Saint-Avold. Fessenheim Ă©tait en parfait Ă©tat de marche, reconnue par lâAutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire ASN pour son excellent niveau de sĂ»retĂ©, et nâĂ©tait pas atteinte par ce phĂ©nomĂšne de corrosion qui affecte certains rĂ©acteurs plus rĂ©cents, obligeant Ă des rĂ©parations. Le pire dans cette histoire lamentable fĂ»t la glorification tirĂ©e de cet Ă©vĂ©nement par certaines sommitĂ©s politiques qui crurent bon de signer le 21 fĂ©vrier 2020, dans Le Monde, un manifeste intitulĂ© La fermeture de la centrale de Fessenheim marque une Ă©tape historique ». On pouvait notamment y lire La mise Ă lâarrĂȘt de la centrale de Fessenheim incarne lâĂ©cologie de responsabilitĂ© que nous portons. [...] Tenir nos promesses, nous le faisons ce 22 fĂ©vrier en arrĂȘtant â comme sây Ă©tait engagĂ© le candidat Emmanuel Macron â le premier rĂ©acteur de la centrale nuclĂ©aire de Fessenheim, suivi du second rĂ©acteur le 30 juin. Câest un Ă©vĂ©nement historique. » Parmi les signataires de cette tribune du Monde, totalement dĂ©connectĂ©e des rĂ©alitĂ©s physiques et dĂ©lĂ©tĂšre pour le climat et la sĂ©curitĂ© dâalimentation du pays, on trouvait notamment Ălisabeth Borne, ministre de la transition Ă©cologique et solidaire, actuellement premiĂšre ministre, Pascal Canfin, prĂ©sident de la commission Environnement du Parlement europĂ©en, toujours en poste Ă Bruxelles et pourfendeur attitrĂ© du nuclĂ©aire, ou Emmanuelle Wargon, secrĂ©taire dâĂtat auprĂšs de la ministre de la transition Ă©cologique et solidaire, battue aux derniĂšres Ă©lections lĂ©gislatives et qui vient, malgrĂ© les rĂ©ticences parlementaires 43 voix pour, 48 voix contre, dâĂȘtre nommĂ©e Ă la prĂ©sidence de la Commission de rĂ©gulation de lâĂ©nergie CRE. Deux annĂ©es plus tard, confrontĂ©s aux consĂ©quences de la pire crise de lâĂ©nergie que le monde ait connue, ces arguments, brandis comme un trophĂ©e, apparaissent totalement incongrus voire indĂ©cents. Un comble dâhypocrisie ! Ce monument dâirresponsabilitĂ© nâaura donc pas empĂȘchĂ© ces diffĂ©rents protagonistes de poursuivre leur brillante carriĂšre, toute honte bue et non avouĂ©e, renvoyant Ă EDF la charge de cette dĂ©cision. On aurait pu espĂ©rer un sursaut de ces dirigeants politiques, sâemployant Ă reconnaĂźtre lâurgence Ă lancer la fabrication des six rĂ©acteurs annoncĂ©e par Emmanuel Macron le 10 fĂ©vrier Ă Belfort. HĂ©las, le nuclĂ©aire attendra, lui aussi, le gouvernement ayant dĂ©cidĂ© dâune loi sur lâaccĂ©lĂ©ration des seules Ă©nergies renouvelables, oubliant au passage lâĂ©nergie nuclĂ©aire dont on connaĂźt le temps nĂ©cessaire pour instruire les premiĂšres Ă©tapes conduisant Ă la promulgation dâun dĂ©cret dâautorisation de crĂ©ation. Pourtant, la crise que subit lâEurope, Ă©garĂ©e dans une politique Ă©nergĂ©tique promue par la Commission europĂ©enne sous lâinfluence dominante des pays antinuclĂ©aires et dâune idĂ©ologie verte ignorant les lois de la physique, est la preuve Ă©vidente de cette urgence. Aujourdâhui la centrale de Fessenheim est bien morte. Et il est trop tard pour le regretter. Alain Desgranges, Le Bouscat Gironde Le Monde Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. 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3 Exprimez le regret : â vous ne pouvez pas garder le chien de la voisine pendant les vacances. â vous ne voulez pas prĂȘter le dernier CD de Stomy Ă votre grand frĂšre. 4. Improvisez Ă deux une situation au cours de laquelle sera prononcĂ©e une des phrases suivantes, au choix : â Si je pouvais sĂ©cher ce cours !
En visite pour la premiĂšre fois en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo, le roi Philippe a dĂ©noncĂ© la violence du rĂ©gime colonial mis en place par ses ancĂȘtres. Peu importe si, dans son discours, il est question de âregretsâ et pas dââexcusesâ, estime ce journal belge, qui souligne les nombreux gestes accomplis, grĂące auxquels âun avenir commun [âŠ] redevient possibleâ. PubliĂ© le 09 juin 2022 Ă 14h25 Lecture 1 min. Ă sa une, ce 9 juin, âLe Soirâ salue le discours du roi Philippe, en visite en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo. Le Soir âLe rĂ©gime colonial Ă©tait basĂ© sur lâexploitation et la domination. Ce rĂ©gime Ă©tait celui dâune relation inĂ©gale, en soi injustifiable, marquĂ©e par le paternalisme, les discriminations et le racisme. Il a donnĂ© lieu Ă des exactions et des humiliations.â Les paroles du roi des Belges sont si claires que Le Soir en fait son titre de une ce 9 juin. La veille, Philippe, qui conduit la premiĂšre visite royale en douze ans en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo, sâest exprimĂ© devant le Palais du peuple et a rĂ©itĂ©rĂ© ses âplus profonds regretsâ pour la pĂ©riode de la colonisation. Une formule dĂ©jĂ employĂ©e dans une lettre au peuple congolais Ă lâoccasion des 60 ans de lâindĂ©pendance, en 2020, et quâil a cette fois Ă©noncĂ©e de vive voix Ă Kinshasa. Il nâa toujours pas Ă©tĂ© question dâexcuses formelles, comme lâattendaient nombre de Congolais, mais cette omission Ă©tait prĂ©visible, selon les mĂ©dias belges, qui ont rappelĂ© quâune commission parlementaire se penche actuellement sur la pĂ©riode coloniale et quâil ne revenait pas au roi, dont le rĂŽle est essentiellement protocolaire, dâanticiper ses conclusions. Mais pour Le Soir, lâessentiel nâest pas lĂ , sâagissant dââun passĂ© dâautant plus lointain que la plupart des Congolais ont moins de 20 ansâ. Ce qui compte, en revanche, ce sont les gestes accomplis, grĂące auxquels âun avenir commun [âŠ] redevient possibleâ. Rattraper le temps perdu Le roi des Belges, qui a atterri le 8 juin pour un voyage dâune semaine, a notamment dĂ©corĂ© le dernier des combattants congolais qui participĂšrent Ă lâeffort de guerre de la Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale, rapporte le journal francophone. Il a aussi remis âen grande pompeâ un masque kakungu, premiĂšre piĂšce des trĂšs nombreuses Ćuvres que la Belgique souhaite restituer. Dans son discours, enfin, Philippe a Ă©voquĂ© le conflit qui dĂ©chire lâest du Congo, oĂč Kinshasa accuse le Rwanda voisin de soutenir les rebelles, et a dĂ©signĂ© âla prĂ©servation de lâintĂ©gritĂ© territoriale du Congoâ comme âune prĂ©occupation majeure que nous partageonsâ. Bref, pour Colette Braeckman, la spĂ©cialiste de la rĂ©gion, qui signe lâĂ©dito du jour, on ne peut que saluer âun engagement volontariste en matiĂšre de coopĂ©ration, de restitution des biens culturels et de fermes propos concernant le respect des frontiĂšresâ. Ses critiques, Le Soir les destine donc moins au choix des mots du souverain quâau retard avec lequel cette sĂ©quence survient. Mais enfin, âil nâest jamais trop tard pour rattraper le temps perduâ. Source de lâarticle Le Soir BruxellesLancĂ© en 1887, Le Soir est, avec La Libre Belgique, lâun des deux quotidiens de rĂ©fĂ©rence en Belgique francophone. Riche en supplĂ©ments et pionnier sur le web, il a nĂ©anmoins vu ses ventes sâĂ©roder fortement au fil des annĂ©es. Le quotidien gĂ©nĂ©raliste se positionne comme politiquement neutre â mĂȘme sâil est le dĂ©fenseur naturel des francophones Ă©tablis dans la pĂ©riphĂ©rie bruxelloise flamande. Le Soir est Ă©ditĂ© par le groupe Rossel qui, fondĂ© par Ămile Rossel, appartient toujours Ă ses hĂ©ritiers, la famille Hurbain. Rossel dĂ©tient plusieurs titres rĂ©gionaux en Wallonie rĂ©unis sous la banniĂšre de Sudpresse ainsi quâune participation majoritaire dans les titres du groupe La Voix du Nord, dans le nord de la France. Depuis juillet 1996, on trouve sur le site du Soir lâĂ©dition du jour ainsi quâune partie substantielle des archives du journal. TrĂšs rĂ©actif sur lâactualitĂ©, le site dispose dâun important espace abonnĂ©s. Lire la suite Nos services
YannickCahuzac â Dans le temps additionnel. AprĂšs dix-sept saisons, passĂ© sur les terrains, le milieu dĂ©fensif Yannick Cahuzac a mis un point final Ă sa carriĂšre en mai dernier. Joueur pour le moins dĂ©terminĂ©, homme discret et pudique, celui qui ne se destinait pas au monde professionnel est aujourdâhui un exemple de longĂ©vitĂ© et
Miossec nous livre un dĂ©chirant "Je m'en Vais"Je m'en Vais l'un des plus beaux titres de Miossec. Extrait de son album "1964" paru en 2004. C'est l'album de la quarantaine. Pour le contexte, c'est pas la quarantaine qui vous laisse seul chez vous comme un reclus qui aurait interdiction de cĂŽtoyer le monde. Non c'est la quarantaine qui invite au bilan. Celui des 40 ans ou le mi-parcours de l'ĂȘtre humain. Et en l'occurrence des quatre dĂ©cennies de vie de Miossec. Miossec, le torturĂ©, jamais content de lui. Celui qui de tout temps a pensĂ© que son travail mĂ©lodique Ă©tait mauvais. En tout cas, pas Ă la hauteur de ses contemporains. Lui qui a commencĂ© dans les annĂ©es 80 avec un groupe local brestois Printemps Noir dans lequel il Ă©tait guitariste. Et puis il se met finalement Ă chanter avec les guitaristes Guillaume Jouan & Bruno Leroux eux faisaient partie d'un autre groupe Brestois, Les Locataires. Ensemble ils publient un premier album "Boire" en 1995. Un disque qui frappe par ses textes crus, dĂ©sabusĂ©s, aux rimes et aux pieds approximatifs, et par sa musique dĂ©pouillĂ©e. Un album qui sera considĂ©rĂ© comme l'un des projets novateurs et fondateurs de la nouvelle vague de la chanson française » avec les disques de Dominique A. Dans les annĂ©es qui suivent, Miossec publiera "Baiser", "A prendre" et "BrĂ»le". Pour ces quatre albums, il est invitĂ© Ă rĂ©-imaginer son Ćuvre avec L'Orchestre Lyrique de RĂ©gion Avignon Provence. Une commande qui doit donner lieu Ă une sĂ©rie de concerts. Mais Ă la place de reprises, Miossec prĂ©fĂšre une nouvelle crĂ©ation et "1964" voit le jour. Pour l'ouverture de l'album, il compose Je m'en Vais, inspirĂ© par la scĂšne finale du filme "Le Mari de la coiffeuse" rĂ©alisĂ© par Patrice Leconte. Les textes de Miossec seront ainsi amplifiĂ©s et portĂ©s par 45 musiciens, et pour certains, arrangĂ©s par Joseph Racaille. Dans cette aventure, il a aussi fait appel aux Valentins, aka Jean-Louis PiĂ©rot et Edith Fambuena, le duo qui aura participĂ© Ă la beautĂ© de "Fantaisie Militaire" d'Alain Bashung. Plus tard Miossec dira qu'il a l'impression d'ĂȘtre un miraculĂ©, que d'avoir pu continuer Ă faire son mĂ©tier malgrĂ© tout tient du miracle. Qu'il n'a pas fini en loser et pourtant c'est comme s'il avait cherchĂ© ça toute sa vie, cherchĂ© la dĂ©faite quand tout se passait trop bien. C'est au tour de BigFlo & Oli de souffler le vent des regrets avec "Dommage"Dommage avec deux M et deux frĂšres. Florian pour Bigflo et Olivio pour Oli. On les Ă©coutait en 2017 dans un extrait de leur deuxiĂšme album "La vraie Vie". Deux ans aprĂšs "La Cour des grands" qui les avait lancĂ©s jusqu'Ă ce qu'ils se fassent une place dans le rap français du haut de leur 22 et 19 ans. A l'Ă©poque Akhenaton avait dit d'eux La premiĂšre fois que je les ai vus, leur maman les attendait dans les coulisses et ça m'a bien fait rire. Puis quand je les ai entendus balancer leur texte, j'ai pris une Ă©norme claque. Ils sont clairement passĂ©s par l'Ă©cole du micro d'argent. » Pour ce deuxiĂšme projet, loin des jupes de leur mĂšre, BigFlo & Oli ont invitĂ© le rappeur amĂ©ricain Busta Rhymes pour sa premiĂšre collaboration avec des artistes français, Joey Starr et puis pour ce titre, Dommage, ils se sont adjoints le talent de Stromae qui a co-composĂ© la chanson. Et pour le clin dâĆil, dans son album, le duo a lancĂ© une pique Ă Orelsan qui a refusĂ© une collaboration Ă cause d'un emploi du temps chargĂ©. Sur la scĂšne rap BigFlo & Oli sont plutĂŽt dĂ©criĂ©s et clivants. Souvent Ă©tiquetĂ©s comme des rappeurs grand public, ou rappeurs pour enfants. Eux-mĂȘme d'ailleurs dĂ©crivent leur univers comme "accessible, familial, simple et un peu ringard". Leur objectif Ă©tait de partir Ă la conquĂȘte d'un auditoire qui n'aimait pas le rap, en cassant les codes avec des textes simples et sans vulgaritĂ©. Alors forcĂ©ment ça peut coincer et assez essentiellement auprĂšs des rappeurs de leur gĂ©nĂ©ration qui pour beaucoup, notamment RomĂ©o Elvis ou Lomepal ont refusĂ© de travailler avec eux, prĂ©textant qu'ils ne faisaient pas partie de la mĂȘme team. BiglFlo & Oli qui, Ă l'inverse, ont reçu le soutien des anciens, IAM, NTM, MC Solaar. Ils ne mettent, certes, pas tout le monde d'accord mais en 2017, ils ont reçu le NRJ Music Award du meilleur groupe de l'annĂ©e et en 2018, La Victoire de la Musique de la meilleure chanson originale de l'annĂ©e pour Dommage. Aussi, pas de regret. Helen Shapiro avoue volontiers "J'ai tant de Remords"Voyage en 1962 sous la voix de la britannique Helen Shapiro. J'ai tant de Remords paru sur un 45T sur lequel elle avait traduit Ă cĂŽtĂ© du titre français I Apologize. Helen Shapiro a commencĂ© toute jeune, Ă l'Ăąge de dix ans dans un groupe scolaire qui s'appelait Susie and the Hoola Hoops. Dans ce groupe il y avait, comme elle, un tout jeune guitariste de treize ans, Mark Feld. Qui plus tard se fera appeler Mark Bolan et sera Ă la tĂȘte de T-Rex. Helen Shapiro, elle, jouait aussi du banjo, et chantait occasionnellement dans le groupe de skiffle de son frĂšre. Le skiffle c'est un genre de musique folklorique qui a pour particularitĂ© dâutiliser des accessoires du quotidien, des accessoires domestiques en guise d'instruments. Paquet de lessive, planche Ă laver, boĂźte Ă thĂ©, peignes qui frottent, en plus d'une base guitare, banjo, mandoline et piano. Helen Shapiro avait dĂ©jĂ ce timbre grave alors qu'elle n'Ă©tait mĂȘme pas encore adolescente ce qui lui a valu le surnom de Foghorn », corne de brume. Et puis vint ce jour oĂč elle tape dans lâĆil et dans l'oreille de Columbia Records qui la signe. On est en 1961, elle a quatorze ans et trĂšs trĂšs vite elle se place en tĂȘte des charts britanniques avec deux chansons Walkin' back to hapiness et You don't know. A seize ans, en 1963, elle est Ă©lue Meilleure chanteuse britannique si bien qu'elle est propulsĂ©e en tĂȘte d'affiche d'une tournĂ©e qui traverse l'Angleterre, en premiĂšre partie d'un jeune groupe de Liverpool Les Beatles. Ils reprendront d'ailleurs avec elle le titre Look who it is. Et puis au cours de leur tournĂ©e John Lennon et Paul McCartney ont Ă©crit une chanson pour elle Misery. Mais sans qu'elle le sache, le producteur d'Helen Shapiro, Norrie Paramor refuse qu'elle l'enregistre. Elle dira bien des annĂ©es plus tard que cela a Ă©tĂ© refusĂ© en son nom avant mĂȘme qu'elle entende la chanson et qu'elle n'a jamais pu donner son opinion. En terme de regret, celui-ci est plutĂŽt cinglant. "SĂ©parĂ©s si nous Ă©tions jamais" chante La FĂ©line SĂ©parĂ©s si nous Ă©tions jamais. On Ă©coutait La FĂ©line derriĂšre laquelle se cache AgnĂšs Gayraud. Elle est Normalienne, agrĂ©gĂ©e de philosophie, diplĂŽmĂ©e d'un doctorat en Histoire de la philosophie. Elle a fait ses classes Ă KhĂągne et HypokhĂągne. Elle est Ă©galement journaliste et auteure. Et puis en parallĂšle, au cas oĂč elle aurait le temps de s'ennuyer, elle est guitariste, auteure, compositrice et interprĂšte Ă la tĂȘte de la FĂ©line. Un projet musical qui tire son nom du film d'horreur de Jacques Tourneur sorti en 1942. Ici pourtant rien d'horrifique. On l'Ă©coutait en 2017 dans un extrait de son deuxiĂšme album "Triomphe" dans lequel elle s'est amusĂ©e Ă façonner toutes sortes d'atmosphĂšres, tribales, orientales, Ă©lectroniques, organiques. Tout au long de l'album, La FĂ©line invoque le dieu d'ivresse et de pulsions Dionysos, mais aussi Apollon, Miyazaki, elle interroge la place de l'homme dans le monde, imagine un Tokyo oĂč la nature aurait repris ses droits. Elle aime explorer la frontiĂšre entre rĂ©el et irrĂ©el, crĂ©er des univers Ă©tranges, oĂč les paysages sont flous et la musique, complexe, voire tordue. Stephan Eicher assume tout, mais vraiment tout dans "Ni Remords, ni regrets"On est dans le thĂšme ! Ni remords, ni regrets Stephan Eicher en 1993 et l'album de tous les succĂšs "Carcassonne". C'est justement un projet qu'il a conçu, imaginĂ© et enregistrĂ© lĂ -bas pendant toute l'annĂ©e 1992. InstallĂ© dans un vieil hĂŽtel de la ville, Stephan Eicher chante des textes de Philippe Djian, celui avec lequel il partage le mĂȘme amour des mots depuis 1989 et My Place, rencontre fructueuse rĂ©itĂ©rĂ©e en 1991 avec "Engelberg". C'est une affaire qui roule, aujourd'hui encore Philippe Djian est toujours le parolier de Stephan Eicher. Dans "Carcassone" il chante sur l'errance, l'amour, le temps qui passe, source de nostalgie comme de libĂ©ration. On y retrouve toujours son cĂŽtĂ© cosmopolite et polyglotte avec sept chansons en français, quatre en anglais et une en suisse allemand. Stephan Eicher Ă cette Ă©poque avait dĂ©jĂ connu le succĂšs avec Combien de temps, DĂ©jeuner en paix et Pas d'ami comme toi. Il continue encore d'enfoncer le clou du triomphe avec Manteau de gloire, Des hauts, des bas et Ni remords ni regrets. "Si j'aurais su" s'amuse Pierre Vassiliu, tel le p'tit Gibus dans "La Guerre des boutons"Les parfaites grammaire et syntaxe de Pierre Vassiliu dans Si j'aurais su, un titre sorti en 1963 sur son 45T "Alice". Il avait dĂ©jĂ commencĂ© dans les annĂ©es 50, poussĂ© par Darry Cowl, Roger Pierre et Jean-Marc Thibault Ă qui il donnait alors des leçons d'Ă©quitation, son premier mĂ©tier, pour subvenir Ă ses besoins et rencontrer ainsi des cĂ©lĂ©britĂ©s. Et puis pendant vingt neuf mois, il sert en tant que photographe des armĂ©es au cours de la guerre d'AlgĂ©rie. Une pĂ©riode pendant laquelle il passe d'ailleurs en conseil de guerre pour avoir diffusĂ©, grĂące Ă un camion de l'armĂ©e Ă©quipĂ© de haut-parleurs, sa chanson J'ai l'honneur, au texte antimilitariste. De retour en France, il Ă©crit Armand son premier 45T avec son frĂšre Michel. ĂditĂ© en 1962, ses ventes atteignent les 150 000 exemplaires en pleine vague yĂ©yĂ©. Le chanteur se produit en premiĂšre partie des Beatles Ă l'Olympia, puis de vedettes françaises comme Claude François, Sylvie Vartan qu'il accompagne en tournĂ©e. Le succĂšs sera son alliĂ© jusqu'Ă la fin des annĂ©es 70 oĂč il Ă©crira et composera pour le cinĂ©ma et prĂȘtera mĂȘme sa voix Ă Adam de la Halle, le coq narrateur de "Robin des Bois" de Disney avant de partir en 1984 s'installer au SĂ©nĂ©gal pour commencer une seconde vie. Programmation musicale Miossec - Je m'en Vais Felixita - Les Maisons du Sud Biflo & Oli - Dommage Barbagallo - Regarde Helen Shapiro - J'ai tant de remords Magenta - Monogramme La FĂ©line - SĂ©parĂ©s si nous Ă©tions jamais La Femme - Le Sang de mon prochain Stephan Eicher - Ni Remords ni regrets Laura Cahen - Les Coquelicots Pierre Vassiliu - Si j'aurais su Clara Luciani - Le Reste
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\nparole pas le temps pour les regrets
Pasle temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes NĂ© pour amener ma part de progrĂšs #LeRapActu
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LES FORUMS CHRĂTIENS LES SAINTS DU JOUR. AuteurMessageami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4989Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney Lun 3 AoĂ» - 2210 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney PrĂȘtre Il naquit en 1786 Ă Dardilly, prĂšs de Lyon. Vers l'Ăąge de dix-huit ans, Jean-Baptiste apprit Ă lire pour devenir prĂȘtre. GrĂące au curĂ© d'Ecully, l'AbbĂ© Balley, il put combler les lacunes qui lui permirent de terminer ses prĂȘtre le 13 aoĂ»t 1815, il fut chargĂ© de la paroisse d'Ars sur Formans. DĂšs lors il devint le CurĂ© d'Ars. Infatigable prĂ©dicateur et confesseur, sa rĂ©putation se propagea et l'on venait de partout pour l'entendre et bĂ©nĂ©ficier de ses conseils en confession. En 1830 dĂ©jĂ , la paroisse comptait plus de cent mille pĂ©lĂ©rins. Nombreuses conversions et guĂ©risons des Ăąmes se produisirent durant son ministĂšre. Il vĂ©cut dans un ascĂ©tisme rigoureux et lutta frĂ©quemment contre les assauts du malin. Il mourut le 4 aoĂ»t 1859. Il est le saint protecteur des curĂ©s et son prĂ©nom Jean vient de l'hĂ©breu " Dieu a fait MisĂ©ricorde ou don de Dieu". Un extrait de sermon de Saint Jean-Marie Vianney sur le jugement dernier,Ce n'est plus, mes frĂšres 1, un Dieu revĂȘtu de nos infirmitĂ©s, cachĂ© dans l'obscuritĂ© d'une pauvre Ă©table, couchĂ© dans une creche, rassasiĂ© d'opprobres, accablĂ© sous le pesant fardeau de sa croix ; c'est un Dieu revĂȘtu de tout l'Ă©clat de sa puissance et de sa majestĂ©, qui fait annoncer sa venue par les prodiges les plus effrayants, c'est-Ă -dire, par l'Ă©clipse du soleil, de la lune, par la chute des Ă©toiles, et par un entier bouleversement de la nature. Ce n'est plus un Sauveur qui vient avec la douceur d'un agneau, pour ĂȘtre jugĂ© des hommes et les racheter c'est un Juge justement irritĂ©, qui juge les hommes dans toute la rigueur de sa justice. Ce n'est plus un Pasteur charitable qui vient chercher ses brebis Ă©garĂ©es, et les pardonner c'est un Dieu vengeur qui vient sĂ©parer pour jamais les pĂ©cheurs des justes, accabler les mĂ©chants de sa plus terrible vengeance, et ensevelir les justes dans un torrent de douceurs. Moment terrible, moment Ă©pouvantable, quand arriveras-tu ? moment malheureux, hĂ©las ! peut-ĂȘtre que, dans quelques matins, nous entendrons les avant-coureurs de ce Juge si redoutable au pĂ©cheur. O vous, pĂ©cheurs, sortez du tombeau de vos pĂ©chĂ©s, venez au tribunal de Dieu, venez vous instruire de la maniĂšre dont le pĂ©cheur sera traitĂ©. L'impie, dans ce monde, semble vouloir mĂ©connaĂźtre la puissance de Dieu, en voyant les pĂ©cheurs sans punition ; il va mĂȘme jusqu'Ă dire Non, non, il n'y a ni Dieu ni enfer ; ou bien Dieu ne fait pas attention Ă ce qui se passe sur la terre. Mais attendons le jugement, et, en ce grand jour, Dieu manifestera sa puissance et montrera Ă toutes les nations qu'il a tout vu et tout diffĂ©rence, M. F., de ces merveilles qu'il opĂ©ra en crĂ©ant le monde ! Que les eaux, dit le Seigneur, arrosent, fertilisent la terre ; et, dĂšs l'instant mĂȘme, les eaux couvrirent la terre et lui donnĂšrent la fĂ©conditĂ©. Mais, quand il viendra pour dĂ©truire le monde, il commandera Ă la mer de franchir ses bornes avec une impĂ©tuositĂ© Ă©pouvantable qui engloutira tout l'univers dans sa fureur. Lorsque Dieu crĂ©a le ciel, il ordonna aux Ă©toiles de s'attacher au firmament. A sa voix, le soleil eclaira le jour, et la lune prĂ©sida Ă la nuit. Mais dans ce dernier jour, le soleil s'obscurcira, et la lune et les Ă©toiles ne donneront plus de lumiĂšre. Tous ces astres merveilleux tomberont avec un fracard diffĂ©rence, M. F. ! Dieu en crĂ©ant le monde employa six jours ; mais pour le dĂ©truire, un clin d'oeil suffira. Pour crĂ©er l'univers et tout ce qu'il renferme, Dieu n'appela aucun spectateur de tant de merveilles ; mais pour le dĂ©truire, tous les peuples seront en prĂ©sence, toutes les nations confesseront qu'il y a un Dieu et qu'il est puissant. Venez, rieurs impies, venez, incrĂ©dules raffinĂ©s, venez apprendre ou reconnaĂźtre s'il y a un Dieu, s'il a vu toutes vos actions, et s'il est tout-puissant ! O mon Dieu ! que le pĂ©cheur changera de langage dans ce moment ! que de regrets ! oh ! que de repentir d'avoir laissĂ© un temps si prĂ©cieux ! Mais ce n'est plus temps, tout est fini pour le pĂ©cheur, tout est dĂ©sespĂ©rĂ© ! Oh ! que ce moment sera terrible ! Saint Luc nous dit que les hommes sĂ©cheront de frayeur sur la plante de leurs pieds, en pensant aux malheurs qui leur sont prĂ©parĂ©s. HĂ©las ! M. F., l'on peut bien sĂ©cher de crainte et mourir de frayeur, dans l'attente d'un malheur infiniment moins grand que n'est celui dont le pĂ©cheur est menacĂ©, et qui, trĂšs certainement, lui arrivera, s'il continue Ă vivre dans le ce moment, M. F., que je me dispose Ă vous parler du jugement, oĂč nous paraĂźtrons tous pour rendre compte de tout le bien et le mal que nous aurons fait, pour y recevoir notre sentence dĂ©finitive pour le ciel ou pour l'enfer si dĂ©jĂ un ange venait vous annoncer de la part de Dieu que dans vingt-quatre heures, tout l'univers sera rĂ©duit en feu par une pluie de feu et de soufre, que vous commenciez Ă entendre les tonnerres gronder, les fureurs des tempĂȘtes renverser vos maisons, les Ă©clairs tellement multipliĂ©s que l'univers ne fĂ»t plus qu'un globe de feu, et que l'enfer vomĂźt dĂ©jĂ tous ses rĂ©prouvĂ©s dont les cris et les hurlements se font entendre vers les coins du monde ; que le seul moyen d'Ă©viter tous ces malheurs fĂ»t de quitter le pĂ©chĂ© et de faire pĂ©nitence ; pourriez-vous, M. F., entendre tous ces hommes sans verser des torrent de larmes et crier misĂ©ricorde. Ne vous verrait-on pas vous jeter au pied des autels pour demander misĂ©ricorde ? O aveuglement, ĂŽ malheur incomprĂ©hensible de l'homme pĂ©cheur les maux que vous annonce votre pasteur sont encore infiniment plus Ă©pouvantables et dignes d'arracher vos larmes, de dĂ©chirer vos ! ces vĂ©ritĂ©s si terribles vont ĂȘtre autant de sentences qui vont prononcer votre condamnation Ă©ternelle. Mais le plus grand de tous les malheurs est que vous y soyez insensibles, et, que vous continuiez Ă vivre dans le pĂ©chĂ©, et que vous ne reconnaissiez votre folie que dans le moment oĂč vous n'avez plus de remĂšdes. Encore un moment et ce pĂ©cheur, qui vivait tranquille dans le pĂ©chĂ©, sera jugĂ© et condamnĂ© ; encore un instant, et il emportera ses regrets dans l'Ă©ternitĂ©. Oui, M. F., nous serons jugĂ©s, rien de si certain ; oui, nous serons jugĂ©s sans misĂ©ricorde ; oui, nous regretterons Ă©ternellement d'avoir pĂ©chĂ©1. - Nous lisons dans l'Ăcriture sainte, M. F., que toutes les fois que Dieu veut envoyer quelque flĂ©au au monde ou Ă son Ăglise, il a toujours fait prĂ©cĂ©der quelque signe pour commencer Ă jeter la terreur dans les coeurs et pour les porter Ă flĂ©chir sa justice. Voulant faire pĂ©rir l'univers par un dĂ©luge, l'arche de NoĂ©, qui resta cent ans pour se bĂątir, fut un signe pour porter les hommes Ă la pĂ©nitence, sans quoi ils devaient tous PĂ©rir. L'historien JosĂšphe nous dit qu'avant la destruction de la ville de JĂ©rusalem, il parut pendant longtemps une comĂšte en forme de coutelas, qui jetait la consternation dans le monde. Chacun se disait HĂ©las ? que veut dire ce signe ? peut-Ă©tre que c'est quelque grand malheur que Dieu va nous envoyer. La lune demeura huit nuits sans donner de lumiĂšre ; les gens semlaient dĂ©jĂ ne plus pouvoir vivre. Tout Ă coup, il parut un homme inconnu, qui, pendant trois ans, ne faisait autre chose que crier par les rues de JĂ©rusalem, le jour et la nuit Malheur Ă JĂ©rusalem ! Malheur Ă JĂ©rusalem !... On le prend, on le bat de verges pour l'empĂšcher de crier, rien ne l'arrĂȘte. Au bout de trois ans il s'Ă©crie Ah ! malheur Ă JĂ©rusalem ; ah ! malheur a moi. Une pierre lancĂ©e par une machine lui tombe dessus, et l'Ă©crase Ă l'instant mĂȘme. Alors, tous les maux dont cet inconnu avait menacĂ© JĂ©rusalem lui tombĂšrent. La famine fut si grande, que les mĂšres allaient jusqu'Ă Ă©gorger leurs enfants pour s'en servir de nourriture. Les habitants, sans savoir pourquoi, s'Ă©gorgeaient les uns les autres ; la ville fut prise et comme anĂ©antie ; les rues et les places Ă©taient toutes couvertes de cadavres ; le sang coulait comme des riviĂšres ; le peu de ceux qui sauvĂšrent leur vie fut vendu comme des comme le jour du jugement, sera le jour le plus terrible et le plus effrayant qui ait jamais Ă©tĂ©, il sera prĂ©cedĂ© de signes si effrayants qu'ils jetteront la terreur jusqu'au fond des abĂźmes. Notre-Seigneur nous dit que, dans ce moment malheureux pour le pĂ©cheur, le soleil ne donnera plus de lumiĂšre, et que la lune sera semblable Ă une masse de sang, et que les Ă©toiles tomberont du ciel. L'air sera tellement rempli d'Ă©clairs qu'il sera tout en feu, et l'on entendra les tonnerres dont le bruit sera si grand que les hommes sĂšcheront de frayeur sur la plante de leurs pieds. Les vents seront si impĂ©tueux que rien ne pourra leur rĂ©sister. Les arbres et les maisons seront entraĂźnĂ©s dans les chaos de la mer ; la mer elle-mĂȘme sera tellement agitĂ©e par les tempĂȘtes que ses flots s'Ă©lĂšveront jusqu'Ă quatre coudĂ©es au-dessus des plus bautes montagnes, et descendront si bas que l'on verra les horreurs des enfers ; toutes les crĂ©atures, mĂȘme inanimĂ©es, sembleront vouloir s'anĂ©antir pour Ă©viter la prĂ©sence de leur CrĂ©ateur en voyant combien les crimes des hommes ont souillĂ© et dĂ©figurĂ© la terre. Les eaux des mers et des fleuves bouillonneront comme des huiles dans les brasiers ; les arbres et les plantes vomiront des torrents de sang; les tremblements de terre seront si grands que l'on verra la terre s'ouvrir de toutes parts la plupart des arbres et des bĂȘtes seront abĂźmĂ©s, les hommes qui resteront seront comme des insensĂ©s ; les rochers, les montagnes s'Ă©crouleront avec une fureur Ă©pouvantable. AprĂšs toutes ces horreurs, le feu sera allumĂ© aux quatre coins du monde, mais un feu si violent qu'il brĂ»lera les pierres, les rochers et la terre, comme un brin de paille qui est jetĂ© dans une fournaise. Tout l'univers sera rĂ©duit en cendres ; il faut que cette terre qui a Ă©tĂ© souillĂ©e par tant de crimes soit purifiĂ©e par le feu qui sera allumĂ© par la colĂšre du Seigneur, d'un Dieu justement irritĂ©.AprĂšs, M. F., que cette terre couverte de tant de crimes sera purifiĂ©e, Dieu enverra ses anges qui sonneront de la trompette aux quatre coins du monde, qui diront Ă tous les morts Levez-vous, morts, sortez de vos tombeaux, venez et paraissez au jugement. Alors tous les morts, bons et mauvais, justes et pĂ©cheurs reprendront les mĂȘme formes qu'ils avaient autrefois, la mer vomira tous les cadavres qui sont renfermĂ©s dans ses chaos, la terre rejettera tous les corps ensevelis depuis tant de siĂšcles dans son sein. AprĂšs cette rĂ©volution, toutes les Ăąmes des saints descendront du ciel toutes rayonnantes de gloire, chaque Ăąme s'approchera de son corps en lui donnant mille et mille bĂ©nĂ©dictions. Venez, lui dira-elle, venez le compagnon de mes souffrances ; si vous avez travaillĂ© Ă plaire Ă Dieu ; si vous avez fait consister votre bonheur dans les souffrances et les combats, oh ! que de biens nous sont rĂ©servĂ©s. Il y a dĂ©jĂ plus de mille ans que je jouis de ce bonheur ; oh ! quelle joie pour moi de venir vous annoncer tant de biens qui nous sont prĂ©parĂ©s pour l'Ă©ternitĂ©. Venez, bĂ©nis yeux, qui tant de fois vous ĂȘtes fermĂ©s Ă l'aspect des objets impurs, crainte de perdre la grĂące de votre Dieu, venez dans le ciel oĂč vous ne verrez que des beautĂ©s que l'on ne verrait jamais en ce monde. Venez, mes oreilles, qui avez eu en horreur des paroles et des discours impurs et calomniateurs ; venez, et vous entendrez dans le ciel cette musique cĂ©leste, qui vous jettera dans un ravissement continuel. Venez, mes pieds et mes mains qui, tant de fois, vous ĂȘtes employĂ©s Ă soulager les malheureux ; allons passer notre Ă©ternitĂ© dans ce beau ciel oĂč nous verrons notre aimable et charitable Sauveur qui nous a tant aimĂ©s. Ah! vous y verrez Celui qui, tant de fois, est venu reposer dans votre coeur. Ah! nous y verrons cette main encore teinte du sang de notre divin Sauveur, par laquelle il nous a mĂ©ritĂ© tant de joie. Enfin, le corps et l'Ăąme des saints se donneront mille et mille bĂ©nĂ©dictions, et cela pendant toute l' que tous les saints auront repris leurs corps tout rayonnants de gloire, tous lĂ , selon les bonnes oeuvres et les pĂ©nitences qu'ils auront faites, attendront avec plaisir le moment oĂč Dieu va dĂ©voiler Ă la face de tout l'univers toutes les larmes, toutes les pĂ©nitences, tout le bien qu'ils auront accompli pendant leur vie sans mĂȘme en laisser une seule, un seul, dĂ©jĂ tous heureux du bonheur de Dieu mĂȘme. Attendez, leur dira JĂ©sus-Christ lui-mĂȘme, attendez, je veux que tout l'univers voie combien vous avez travaillĂ© avec plaisir. Les pĂ©cheurs endurcis, les incrĂ©dules disaient que j'Ă©tais indiffĂ©rent Ă tout ce que vous faisiez pour moi ; mais je vais leur montrer aujourd'hui que j'ai vu et comptĂ© toutes les larmes que vous versiez dans le fond des dĂ©serts ; je vais leur montrer aujourd'hui que j'Ă©tais Ă cĂŽtĂ© de vous sur les Ă©chafauds. Venez tous, et paraissez devant ces pĂ©cheurs qui m'ont mĂ©prisĂ© et outragĂ©, qui ont osĂ© nier que j'existais, que je les voyais. Venez, mes enfants, venez mes bien-aimĂ©s et vous verrez combien j'ai Ă©tĂ© bon, combien mon amour a Ă©tĂ© grand pour M. F., un instant, ce nombre infini d'Ăąmes justes rentrant dans leurs corps qu'elles rendent semblables Ă de beaux soleils. Vous verrez tous ces martyrs, la palme Ă la main. Voyez-vous toutes ces vierges, la couronne de la virginitĂ© sur la tĂȘte. Voyez-vous tous ces apĂŽtres, tous ces prĂȘtres ; autant qu'ils ont sauvĂ© d'Ăąmes, autant de rayons de gloire dont ils sont embellis. M. F., tous diront, Ă Marie, cette MĂšre-vierge Allons rejoindre Celui qui est dans le ciel pour donner un nouvel Ă©clat Ă vos non, un moment de patience ; vous avez Ă©tĂ© mĂ©prisĂ©s, calomniĂ©s et persĂ©cutĂ©s des mĂ©chants, il est juste, avant d'entrer dans ce royaume Ă©ternel, que les pĂ©cheurs viennent vous faire amende terrible et effrayante rĂ©volution ? j'entends la mĂȘme trompette qui crie aux rĂ©prouvĂ©s de sortir des enfers. Venez, pĂ©cheurs, bourreaux et tyrans, dira Dieu qui voulait tous vous sauver, venez, paraissez au tribunal du Fils de l'Homme Ă celui dont vous avez si souvent osĂ© vous persuader qu'il ne vous voyait, ni ne vous entendait ! Venez et paraissez, car tout ce que vous avez jamais commis sera manifestĂ© en face de tout l'univers. Alors l'ange criera AbĂźmes des enfers, ouvrez vos portes ! vomissez tous ces rĂ©prouvĂ©s ! leur juge les appelle. Ah! terrible moment ! toutes ces malheureuses Ăąmes rĂ©prouvĂ©es, horribles comme des dĂ©mons, sortiront des abĂźmes, iront, comme des dĂ©sespĂ©rĂ©es, chercher leurs corps. Ah ! cruel moment ! dans l'instant oĂč l'Ăąme entrera dans son corps, ce corps Ă©prouvera toutes les rigueurs de l'enfer. Ah ! ce maudit corps, ces maudites Ăąmes se donneront mille et mille malĂ©dictions. Ah ! maudit corps, dira l'Ăąme Ă son corps qui a roulĂ© et traĂźnĂ© dans la fange de ses impuretĂ©s ; il y a dĂ©jĂ plus de mille ans que je souffre et que je brĂ»le dans les enfers. Venez, maudits yeux, qui tant de fois avez pris plaisir Ă faire des regards dĂ©shonnĂȘtes sur vous ou sur d'autres, venez en enfer pour y contempler les monstres les plus horribles. Venez, maudites oreilles, qui avez pris tant de plaisir Ă ces paroles, Ă ces discours impurs, venez Ă©ternellement entendre les cris, les hurlements et les rugissements des dĂ©mons. Venez, maudite langue et maudite bouche, qui tant de fois avez donnĂ© des baisers impurs et qui n'avez rien Ă©pargnĂ© pour contenter votre sensualitĂ© et votre gourmandise ; venez en enfer oĂč vous n'aurez que le fiel des dragons pour nourriture. Viens, maudit corps, que j'ai tant cherchĂ© Ă contenter; viens, tu seras Ă©tendu pendant l'Ă©ternitĂ© dans un Ă©tang de feu et de soufre, allumĂ© par la puissance et la colĂšre de Dieu ! Ah! qui pourra comprendre et nous raconter les malĂ©dictions que le corps et l'Ăąme vont se vomir pendant toute l' M. F., voilĂ tous les justes et les rĂ©prouvĂ©s qui ont repris leur ancienne forme, c'est Ă dire leurs corps tels que nous les voyons maintenant, qui attendent leur juge, mais un juge juste et sans compassion, pour punir ou rĂ©compenser, selon le bien et le mal que nous aurons fait. Le voilĂ qui arrive, assis sur un trĂŽne, Ă©clatant de gloire, environnĂ© de tous les anges, l'Ă©tendard de sa croix, qui marchera devant lui. Les damnĂ©s voyant leur juge ; ah! que dis-je ? voyant celui qu'ils n'ont vu que pour leur procurer le bonheur du paradis, et qui, malgrĂ© lui, se sont damnĂ©s Montagnes, s'Ă©crieront-ils, Ă©crasez-nous, arrachez-nous de la face de notre juge ; rochers, tombez-nous dessus ; ah ! de grĂące, prĂ©cipitez-nous dans les enfers ! Non, non, pĂ©cheur, avance, et viens rendre compte de toute ta vie. Avance, malheureux, qui as tant mĂ©prisĂ© un Dieu si bon. Ah ! mon juge, mon pĂšre, mon crĂ©ateur, oĂč sont mon pĂšre, ma mĂšre qui m'ont damnĂ© ? Ah ! je veux les voir ; ah ! je veux leur demander le ciel, qu'ils m'ont laissĂ© perdre. Mon pĂšre et ma mĂšre, c'est vous qui m'avez damnĂ© ; c'est vous qui ĂȘtes cause de mon malheur. Non, non, avance vers le tribunal de ton Dieu, tout est perdu pour toi. Ah ! mon juge, s'Ă©criera cette jeune fille, oĂč est ce libertin qui m'a ravi le ciel ? Non, non, avance ! il n'y a plus de secours... - tu es damnĂ©e ! plus d'espĂ©rance pour toi oui, tu es perdue ! oui, tout est perdu, puisque tu as perdu ton Ăąme et ton Dieu. Ah ! qui pourracomprendre le malheur d'un damnĂ© qui verra vis-Ă -vis de lui, c'est-Ă -dire du cĂŽtĂ© des saints, un pĂšre ou une mĂšre tout rayonnants de gloire et pour le ciel, et se voirsoi rĂ©servĂ© pour l'enfer ! Montagnes, diront ces rĂ©prouvĂ©s, arrachez-nous ; ah ! de grĂące, tombez-nous dessus ! Ah ! portes des abĂźmes, ouvrez-vous pour nous cacher ! Non, pĂ©cheur, tu as toujours mĂ©prisĂ© mes commandements mais c'est aujourd'hui que je veux te montrer que je suis ton maĂźtre. Parais devant moi avec tous tes crimes dont ta vie n'est qu'un tissu. Ah ! c'est alors, nous dit le prophĂšte ĂzĂ©chiel, que le Seigneur prendra cette grande feuille miraculeuse, oĂč sont Ă©crits et consignĂ©s tous les crimes des hommes. Combien de pĂ©chĂ©s qui n'ont jamais paru aux yeux de l'univers et qui vont paraĂźtre. Ah! tremblez, vous qui, peut-ĂȘtre depuis quinze ou vingt ans, avez accumulĂ© pĂ©chĂ©s sur pĂ©chĂ©s. Ah ! malheur Ă vous !Alors JĂ©sus-Christ, le livre des consciences Ă la main, appellera tous les pĂ©cheurs pour les convaincre de tous les pĂ©chĂ©s qu'ils auront commis pendant toute leur vie, d'un ton de tonnerre Ă©pouvantable. Venez, impudiques, leur dira-t-il, approchez et lisez jour par jour ; voilĂ toutes ces pensĂ©es qui ont sali votre imagination, tous ces dĂ©sirs honteux qui ont corrompu votre coeur ; lisez et comptez vos adultĂšres, voilĂ le lieu, le moment oĂč vous les avez commis, voilĂ la personne avec laquelle vous avez pĂ©chĂ©. Lisez toutes vos mollesses et vos lubricitĂ©s, lisez et comptez combien vous avez perdu d'Ăąmes qui m'avaient coĂ»tĂ© si cher. Il y avait plus de mille ans que votre corps Ă©tait pourri et votre Ăąme en enfer, que votre libertinage entraĂźnait encore des Ăąmes en enfer. Voyez-vous cette femme que vous avez perdue, voyez ce mari, ces enfants et ces voisins! tous demandent vengeance, tous vous accusent que vous les avez perdus et que sans vous ils seraient pour le ciel. Venez, filles mondaines, instruments de Satan, venez et lisez tous ces soins et ces temps que vous avez employĂ©s Ă vous parer ; comptez le nombre de mauvaises pensĂ©es et de mauvais dĂ©sirs que vous avez donnĂ©s Ă ceux qui vous ont vues. Voyez-vous toutes les Ăąmes qui crient que c'est vous qui les avez perdues. Venez, mĂ©disants, semeurs de faux rapports, venez et lisez, voilĂ oĂč sont marquĂ©es toutes vos mĂ©disances, vos railleries et vos noirceurs ; voilĂ tous les troubles que vous avez fait naĂźtre, toutes les pertes et tous les maux dont votre maudite langue a Ă©tĂ© la premiĂšre malheureux, entendre en enfer les cris et les hurlements Ă©pouvantables des dĂ©mons. Venez, maudits avares, lisez et comptez cet argent et ces biens pĂ©rissables auxquels vous avez attachĂ© votre coeur, au mĂ©pris de votre Dieu, et pour lesquels vous avez sacrifiĂ© votre Ăąme. Avez-vous oubliĂ© votre duretĂ© pour les pauvres ? Le voilĂ , lisez, et comptez-le. VoilĂ votre or et votre argent, demandez-leur maintenant du secours, dites-leur qu'ils vous tirent d'entre mes mains. Allez, maudits, crier famine dans les enfers. Venez, vindicatifs, lisez et, voyez tout ce que vous avez dit pour nuire Ă votre prochain, comptez toutes ces injustices, comptez toutes ces pensĂ©es de haine et de vengeance que vous avez nourries dans votre coeur ; allez, malheureux, en enfer. Vous avez Ă©tĂ© rebelles mes ministres vous ont mille fois dit que si vous n'aimiez pas votre prochain comme vous-mĂȘme, il n'y avait point de pardon pour vous. Retirez-vous de moi, maudits, allez aux enfers, oĂč vous serez la victime de ma colĂšre Ă©ternelle, oĂč vous appprendrez que la vengeance n'est que pour Dieu seul. Viens, viens, ivrogne, regarde, voilĂ jusqu'Ă un verre de vin, jusqu'Ă un morceau de pain que tu as arrachĂ© de la bouche de ta femme et de tes enfants; voilĂ tous tes excĂšs, les reconnais-tu ? sont-ce bien les tiens, ou ceux de ton voisin ? VoilĂ le nombre de nuits, de jours que tu as passĂ©s dans les cabarets, les dimanches et les fĂštes ; voilĂ , jusqu'Ă une seule, les paroles dĂ©shonnĂȘtes que tu as dites dans ton ivresse ; voilĂ tous les jurements, toutes les imprĂ©cations que tu as vomies ; voilĂ tous les scandales que tu as donnĂ©s Ă ta femme, Ă tes enfants et Ă tes voisins. Oui, j'ai tout Ă©crit et tout comptĂ©. Va, malheureux, t'enivrer dans les enfers du fiel de ma colĂšre. Venez, marchands, ouvriers, de quelque Ă©tat que vous soyez ; venez, rendez-moi compte jusqu'Ă une obole de tout ce que vous avez achetĂ© et vendu ; venez, examinons ensemble si vos mesures et vos comptes sont conformes aux miens. VoilĂ , marchands, le jour oĂč vous avez trompĂ© cet enfant. VoilĂ ce jour oĂč vous avez fait payer deux fois la mĂȘme chose. Venez, profanateurs des sacrements, voilĂ tous vos sacrilĂšges, toutes vos hypocrisies. Venez, pĂšres et mĂšres, rendez-moi compte de ces Ăąmes que je vous ai confiĂ©es ; rendez-moi compte de tout ce qu'on fait vos enfants, vos domestiques ; voilĂ toutes les fois que vous leur avez donnĂ© la permission pour aller dans des lieux et des compagnies oĂč ils ont pĂ©chĂ©. VoilĂ toutes les mauvaises pensĂ©es et les mauvais dĂ©sirs que votre fille a donnĂ©s ; voilĂ tous les embrassements et autres actions infĂąmes ; voilĂ toutes ces paroles impures que votre fils a prononcĂ©es. Mais, Seigneur diront les pĂšres et. mĂšres, je ne le lui ai pas commandĂ©. N'importe, leur dira leur juge, les pĂ©chĂ©s de tes enfants sont les tiens. OĂč sont les vertus que tu leur as fait pratiquer ? oĂč sont les bons exemples que tu leur as donnĂ©s ou les bonnes oeuvres que tu leur as fait faire ? HĂ©las ! que vont devenir ces pĂšres et mĂšres qui voient que leurs enfants, les uns s'en vont danser, les autres dans les jeux et les cabarets, et qui vivent tranquilles. O mon Dieu, quel aveuglement ! Oh ! que de crimes dont ils vont se voir accablĂ©s dans ces terribles moments ! Oh ! que de pĂ©chĂ©s cachĂ©s qui vont ĂȘtre manifestĂ©s Ă la face de tout l'univers ! Oh ! abĂźmes profonds des enfers, ouvrez-vous pour engloutir ces foules de preuves qui n'ont vĂ©cu que pour outrager Dieu et se me direz-vous, toutes les bonnes oeuvres que nous avons faites ne nous serviront donc de rien ? Ces jeĂ»nes, ces pĂ©nitences, ces aumĂŽnes, ces communions, ces confessions seront donc sans rĂ©compense ? Non, vous dira JĂ©sus-Christ, toutes vos priĂšres n'Ă©taient que routines, vos jeĂ»nes qu'hypocrisies, vos aumĂŽnes que vaine gloire ; votre travail n'avait point d'autre but que l'avarice et la cupiditĂ©, vos souffrances n'Ă©taient accompagnĂ©es que de plaintes et de murmures ; dans ce que vous faisiez, je n'Ă©tais pour rien. D'ailleurs je vous ai rĂ©compensĂ© par des biens temporels, j'ai bĂ©ni votre travail, j'ai donnĂ© la fertilitĂ© Ă vos champs, enrichi vos enfants ; le peu de bien que vous avez fait, je vous en ai donnĂ© toute la rĂ©compense que vous pouviez en attendre. Mais, nous dira-t-il, vos pĂ©chĂ©s vivent encore, ils vivront Ă©ternellement devant moi ; allez, maudits, au feu Ă©ternel prĂ©parĂ© pour tous ceux qui m'ont mĂ©prisĂ© pendant leur terrible, mais infiniment juste. Quoi de plus juste ! Un pĂ©cheur qui, toute sa vie, n'a fait que se rouler dans le crime, malgrĂ© les grĂąces que le bon Dieu lui prĂ©sentait sans cesse pour en sortir ! Voyez-vous ces impies qui se raillaient de leur pasteur, qui mĂ©prisaient la parole de la vie, qui tournaient en ridicule ce que leur pasteur leur disait ? Voyez-vous ces pĂ©cheurs qui se faisaient gloire de n'avoir point de religion, qui raillaient ceux qui la pratiquaient ? les voyez-vous ces mauvais chrĂ©tiens qui avaient si souvent Ă la bouche ces horribles blasphĂšmes, qui disaient qu'ils trouvaient encore le pain bien bon et qu'ils n'avaient pas besoin de la confession ? Voyez-vous ces incrĂ©dules qui nous disaient que, quand nous Ă©tions morts, tout Ă©tait fini ? Voyez-vous leur dĂ©sespoir, les entendez-vous avouer leur impiĂ©tĂ© ? les entendez-vous crier misĂ©ricorde ? Mais tout est fini, vous n'avez plus que l'enfer pour partage. Voyez-vous cet orgueilleux qui raillait et mĂ©prisait tout le monde ? le voyez-vous abĂźmĂ© dans son coeur, condamnĂ© pour une Ă©ternitĂ© sous les pieds des dĂ©mons ? Voyez-vous cet incrĂ©dule qui disait qu'il n'y a ni Dieu ni enfer ? Le voyez-vous avouer Ă la face de tout l'univers qu'il y a un Dieu qui le juge et un enfer oĂč il va ĂȘtre prĂ©cipitĂ© pour ne jamais en sortir ? Il est vrai que Dieu donnera la libertĂ© Ă tous les pĂ©cheurs de donner leurs raisons et leurs excuses pour se justifier, s'ils le peuvent. Mais, hĂ©las! que pourra dire un criminel qui ne voit que crime et qu'ingratitude ? HĂ©las ! tout ce que pourra dire un pĂ©cheur dans ce moment malheureux ne servira qu'Ă montrer davantage son impiĂ©tĂ© et son sans doute, M. F., ce qu'il y aura de plus effrayant dans ce terrible moment; ce sera quand nous verrons que Dieu n'a rien Ă©pargnĂ© pour nous sauver ; qu'il nous a fait part des mĂ©rites infinis de sa mort sur la croix; qu'il nous a fait naĂźtre dans le sein de son Ăglise ; qu'il nous a donnĂ© des pasteurs pour nous montrer et nous enseigner tout ce que nous devions faire pour ĂȘtre heureux. Il nous adonnĂ© les sacrements pour nous faire recouvrer son amitiĂ© toutes les fois que nous l'avions perdue, il n'a point mis de bornes au nombre des pĂ©chĂ©s qu'il voulait nous pardonner; si notre retour Ă©tait sincĂšre, nous sommes sĂ»rs de notre pardon. Il nous a attendu nombre d'annĂ©es quoique nous ne vivions que pour l'outrager; il ne voulait pas nous perdre ou plutĂŽt il voulait absolument nous sauver ; et nous n'avons pas voulu ! C'est nous-mĂȘmes qui le forçons par nos pĂ©chĂ©s de lui faire porter une sentence de rĂ©probation Ă©ternelle Allez, maudits enfants, allez trouver celui que vous avez imitĂ© pour moi, je ne vous reconnais pas, sinon pour vous Ă©craser de toutes les fureurs de ma colĂšre nous dit le Seigneur par un de ses prophĂštes, venez, hommes, femmes, riches et pauvres, pĂ©cheurs, qui que vous soyez, de quelque Ă©tat et condition que vous soyez, dites tous ensemble, dites vos raisons et moi je dirai les miennes. Entrons en jugement, pesons tout au poids du sanctuaire. Ah ! terrible moment pour un pĂ©cheur, qui, de quelque cĂŽtĂ© qu'il considĂšre sa vie, ne voit que pĂ©chĂ© et point de bien. Mon Dieu ! que va-t-il devenir! Dans ce monde, le pĂ©cheur a toujours quelque excuse a allĂ©guer Ă tous les pĂ©chĂ©s qu'il a commis ; il porte mĂȘme son orgueil jusqu'au tribunal de la pĂ©nitence, oĂč il ne devrait paraĂźtre que pour s'accuser lui-mĂȘme et se condamner. Les uns, c'est l'ignorance ; les autre, les tentations trop violentes ; enfin d'autres, les occasions et les mauvais exemples voilĂ , tous les jours, les raisons que donnent les pĂ©cheurs pour cacher la noirceur de leurs crimes. Venez, pĂ©cheurs orgueilleux, voyons si vos excuses seront bien reçues au jour du jugement, et expliquez-vous avec celui qui a le flambeau Ă la main, qui a tout vu, et tout comptĂ©, et tout pesĂ©. Vous ne saviez pas, dites-vous, que cela Ă©tait un pĂ©chĂ© ! Ah ! malheureux, vous dira JĂ©sus-Christ, si vous Ă©tiez nĂ© parmi les nations idolĂątres qui n'ont jamais entendu parler du vrai Dieu, vous pourriez encore un peu vous excuser sur votre ignorance ; mais, vous, chrĂ©tien, qui avez eu le bonheur de naĂźtre dans le sein de mon Ăglise, d'ĂȘtre Ă©levĂ© au centre de la lumiĂšre, vous Ă qui l'on parle de votre bonheur Ă©ternel ? DĂšs votre enfance, on vous apprenait tout ce qu'il fallait faire pour vous le procurer, vous que jamais l'on ne cessa d'instruire, d'exhorter et de reprendre, vous osez vous excuser sur votre ignorance. Ah ! malheureux, si vous viviez dans l'ignorance, c'Ă©tait bien parce que vous n'aviez pas voulu vous instruire ; c'Ă©tait bien parce que vous n'aviez pas voulu profiter des instructions ou que vous les aviez fuies. Allez, malheureux ? allez, vos excuses ne vous rendent encore que plus digne de malĂ©dictions ! Allez, maudit enfant, dans les enfers y brĂ»ler avec votre dira un autre, mes passions Ă©taient bien vives et ma faiblesse Ă©tait bien grande. Mais, leur dira le Seigneur, puisque Dieu Ă©tait si bon que de vous faire connaĂźtre vos faiblesses, et que vos pasteurs vous disaient qu'il fallait continuellement veiller sur vous-mĂȘme, vous mortifier, si vous vouliez les dompter pourquoi faisiez-vous donc tout le contraire ? pourquoi preniez-vous tant de soins de contenter votre corps et vos plaisirs ? Dieu vous faisait connaitre votre faiblesse et vous tombiez Ă chaque instant ? Pourquoi n'aviez-vous donc pas recours Ă Dieu pour lui demander sa grĂące ? pourquoi n'Ă©coutiez-vous pas vos pasteurs qui ne cessaient de vous exhorter Ă demander les grĂąces et les forces dont vous aviez besoin pour vaincre le dĂ©mon ? Pourquoi avez-vous eu tant d'indiffĂ©rence et de mĂ©pris pour les sacrements, oĂč vous aviez tant de grĂąces, de force, pour faire le bien et Ă©viter le mal ? pourquoi avez-vous donc si souvent mĂ©prisĂ© la parole de Dieu qui vous aurait guidĂ© dans le chemin que vous deviez prendre pour aller Ă lui ? Ah ! pĂ©cheurs ingrats et aveugles, tous ces biens Ă©taient Ă votre disposition, vous pouviez vous en servir comme tant d'autres. Qu'avez-vous fait pour vous empĂȘcher de tomber dans le pĂ©chĂ© ? Et c'est que vous n'avez priĂ© que par routine ou habitude. Allez, malheureux ! Plus vous aviez connu votre faiblesse, plus vous deviez avoir recours Ă Dieu qui vous aurait soutenu et aidĂ© Ă opĂ©rer votre salut. Allez, maudit, vous n'en ĂȘtes que plus il y a tant d'occasions de pĂ©cher, dira encore un autre. Mon ami, je connais trois sortes d'occasions qui peuvent nous porter au pĂ©chĂ©. Tous les Ă©tats ont leurs dangers. Je dis qu'il y en a trois sortes celles oĂč nous sommes nĂ©cessairement exposĂ©s par les devoirs de notre Ă©tat, celles que nous rencontrons sans les chercher, et celles oĂč nous nous engageons sans nĂ©cessitĂ©. Si celles oĂč nous nous engageons sans nĂ©cessitĂ© ne nous serviront point d'excuses, ne cherchons pas Ă excuser un pĂ©chĂ© par un autre pĂ©chĂ©. Vous avez entendu chanter une mauvaise chanson, dites-vous ; vous avez entendu une mĂ©disance ou une calomnie, et pourquoi ĂȘtes-vous allĂ©s dans cette maison ou cette compagnie ? pourquoi frĂ©quentez-vous ces personnes sans religion ? Ne savez-vous pas que celui qui s'expose au danger est coupable et y pĂ©rira ? Celui qui tombe sans s'exposer se relĂšve aussitĂŽt et sa chute le rend encore plus vigilant et plus sage. Mais ne voyez-vous pas que Dieu, qui nous a promis son secours dans nos tentations, ne nous l'a pas promis lorsque nous avons la tĂ©mĂ©ritĂ© de nous exposer de nous-mĂȘme. Allez, malheureux vous avez cherchĂ© vous-mĂȘme Ă vous perdre ; vous mĂ©ritez l'enfer qui est rĂ©servĂ© aux pĂ©cheurs comme me direz-vous, l'on a continuellement de mauvais exemples devant les yeux. Vous avez de mauvais exemples, quelle frivole excuse ! Si vous en avez de mauvais, n'en avez-vous pas aussi de bons ? Pourquoi n'avez-vous pas plutĂŽt suivi les bons que les mauvais ? Lorsque vous voyiez aller cette jeune fille Ă l'Ă©glise, Ă la table sainte, pourquoi ne la suiviez-vous pas plutĂŽt que celle qui allait aux danses ? Lorsque ce jeune homme venait Ă l'Ă©glise pour y adorer JĂ©sus-Christ dans son tabernacle, pourquoi n'avez-vous pas plutĂŽt suivi ses traces que celles de celui qui allait au cabaret ? Dites plutĂŽt, pĂ©cheur, que vous aviez mieux aimĂ© suivre la voie large qui vous a conduit dans ce malheur oĂč vous vous trouvez, que dans le chemin que le Fils de Dieu Ă tracĂ© lui-mĂȘme. La vraie cause de vos chutes et de votre rĂ©probation ne vient donc ni des mauvais exemples, ni des occasions, ni de vos faiblesses, ni des grĂąces qui vous manquaient ; mais seulement des mauvaises dispositions de votre coeur que vous n'avez pas voulu rĂ©primer. Si vous avez fait le mal, c'est parce que vous l'avez bien voulu. Votre perte ne vient donc uniquement que de me direz-vous l'on nous avait toujours dit, que Dieu Ă©tait bon. Il est vrai qu'il est bon, mais il est jute ; sa bontĂ© et sa misĂ©ricorde sont passĂ©es pour vous il n'y a plus que sa justice et sa vengeance. HĂ©las ! M. F., nous qui avons tant de rĂ©pugnance pour nous confesser, si, cinq minutes avant ce grand jour, Dieu nous donnait des prĂȘtres pour confesser nos pĂ©chĂ©s, afin qu'il fussent effacĂ©s, hĂ©las ! avec quel empressement n'en profiterions-nous pas ? ce qui ne nous sera jamais accordĂ© en ce moment de dĂ©sespoir. Le roi Bogoris fut bien plus sage que nous. Ayant Ă©tĂ© instruit par un missionnaire de la religion catholique, mais retenu encore par les faux plaisirs du monde, par un effet de la providence de Dieu, un peintre chrĂ©tien Ă qui il avait donnĂ© commission de peindre dans son palais la chasse la plus terrible aux bĂȘtes farouche, lui peignit au contraire le jugement dernier, le monde tout en feu, JĂ©sus-Christ au milieu des tonnerres et des Ă©clairs, l'enfer dĂ©jĂ ouvert, pour engloutir les damnĂ©s, avec des figures si Ă©pouvantables que le roi resta immobile. Revenu Ă lui-mĂȘme, il se rappela de ce que ce missionnaire lui avait dit, pour Ă©viter les horreurs de ce moment-lĂ oĂč le pĂ©cheur ne peut avoir que le dĂ©sespoir pour partage, et renonçant de suite Ă tous ses plaisirs, il passa le reste de sa vie dans la pĂ©nitence et les ! M. F., si ce prince ne s'Ă©tait pas converti, il serait Ă©galement mort, il aurait quittĂ© tous ses biens et ses plaisirs, il est vrai, un peu tard ; mais, mourant, depuis bien des siĂšcles, ils auraient passĂ© Ă d'autres. Il serait en enfer qui brĂ»lerait pour jamais, tandis qu'il est dans le ciel pour une Ă©ternitĂ© et qu'il est content, en attendant ce grand jour, de voir que tous ses pĂ©chĂ©s lui sont pardonnĂ©s et qu'ils ne reparaĂźtront jamais, ni aux yeux de Dieu, ni aux yeux des fut cette pensĂ©e bien mĂ©ditĂ©e par saint JĂ©rĂŽme qui lui porta Ă tant de rigueurs sur son corps et Ă tant verser de larmes. Ah ! s'Ă©criait-il dans cette vaste solitude, il me semble que j'entends, Ă chaque instant, cette trompette qui doit rĂ©veiller tous les morts, m'appeler au tribunal de mon juge. Cette mĂȘme pensĂ©e faisait trembler un David sur son trĂŽne, un Augustin au milieu de ses plaisirs, malgrĂ© tout les efforts qu'il faisait pour Ă©touffer cette pensĂ©e, qu'un jour il serait jugĂ©. Il disait de temps en temps Ă son ami Alipe Ah ! cher ami, un jour viendra que nous paraĂźtrons tous devant le tribunal de Dieu pour y recevoir la rĂ©compense du bien ou le chĂątiment du mal que nous aurons fait, pendant notre vie ; quittons, mon cher ami, lui disait-il, la route du crime pour celle qu'ont suivie tous les saints. PrĂ©parons-nous Ă ce jour dĂšs l'heure Jean Climaque nous rapporte qu'un solitaire quitta son monastĂšre pour passer dans un autre pour y faire plus de pĂ©nitence. La premiĂšre nuit, il fut citĂ© au tribunal de Dieu qui lui montra qu'il Ă©tait redevable envers sa justice de cent livres d'or. HĂ©las ! Seigneur, s'Ă©cria-t-il, que vais-je faire pour les acquitter ? Il demeura trois ans dans ce monastĂšre, oĂč Dieu permit qu'il fĂ»t mĂ©prisĂ© et mal traitĂ© de tous les autres, au point qu'il semble que personne ne pouvait le souffrir. Notre Seigneur lui apparut une deuxiĂšme fois en lui disant qu'il n'avait encore acquittĂ© qu'un quart, de sa dette. Ah ! Seigneur, s'Ă©cria-t-il, que faut-il donc que je fasse pour me justifier ? Il contrefit le fou pendant treize ans, faisant tout ce qu'on voulait ; on le traitait durement., comme une bĂȘte de somme. Le bon Dieu lui apparut une troisiĂšme fois en lui disant qu'il en avait la moitiĂ©. Ah ! Seigneur, puisque je l'ai voulu, je dois souffrir pour pouvoir payer votre justice. Ah ! mon Dieu ! n'attendez pas que mes pĂ©chĂ©s soient punis aprĂšs le jugement. Saint Jean Climaque nous rapporte un trait qui fait frĂ©mir. Il y avait, nous dit-il, un solitaire qui, depuis quarante ans, pleurait ses pĂ©chĂ©s au fond d'un bois. La veille de sa mort, tout Ă coup, hors de lui-mĂȘme, ouvrant les yeux, regardant Ă droite et Ă gauche de son lit, comme s'il eĂ»t vu quelqu'un qui lui demandait compte de sa vie, il rĂ©pondait d'une voix tremblante Oui, j'ai commis ce pĂ©chĂ©, mais je l'ai confessĂ© et j'en ai fait pĂ©nitence pendant tant d'annĂ©es jusqu'Ă ce que le bon Dieu m'a pardonnĂ©. Tu as commis aussi ce pĂ©chĂ©, lui disait cette voix. Non, lui rĂ©pondit le solitaire, je ne l'ai pas commis. Avant de mourir on l'entendit crier Mon Dieu, mon Dieu, ĂŽtez, ĂŽtez, s'il vous plaĂźt, mes pĂ©chĂ©s de devant vos yeux, je ne peux plus y tenir. HĂ©las ! qu'allons-nous devenir, si le dĂ©mon reproche mĂȘme les pĂ©chĂ©s que nous n'avons pas commis, nous qui sommes tout couverts de pĂ©chĂ©s et qui n'avons point fait de pĂ©nitence ; hĂ©las! Ă quoi nous attendre pour ce terrible moment ? si les saints sont Ă peine rassurĂ©s, qu'allons-nous devenir ?Que devons-nous conclure de tout cela, M. F., ? Le voici C'est qu'il ne faut jamais perdre de vue que nous serons jugĂ©s un jour sans misĂ©ricorde, et que tous nos pĂ©chĂ©s paraĂźtront aux yeux de tous l'univers ; et, qu'aprĂšs ce jugement, si nous nous trouvons dans ces pĂ©chĂ©s, nous irons les pleurer dans les enfers sans pouvoir ni les effacer, ni les oublier. Oh ! que nous sommes aveugle, mes frĂšres, si nous ne profitons du peu de temps qui nous reste Ă vivre pour nous assurer le ciel. Si nous sommes pĂ©cheurs, nous avons l'espĂ©rance du pardon au lieu que si nous attendons alors, il n'y aura plus de ressources. Mon Dieu ! faites-rnoi la grĂące de ne jamais perdre le souvenir de ce moment terrible, surtout lorsque je serai tentĂ©, pour ne pas me laisser succomber ; afin qu'en ce jour nous entendions ces douces paroles sorties de la bouche du Sauveur Venez, les bĂ©nis de mon PĂšre, possĂ©der le royaume qui vous est prĂ©parĂ© depuis le commencement du monde. »1 Le Saint CurĂ© d'Ars n'Ă©crit jamais que les initiales de cette expresâsionM. F.. comnme on peut le voir dans le fac simile conservons dans la suite son abrĂ©vation. les litanies du Saint CurĂ© d'Ars, Oeuvres du Saint CurĂ© d'Ars DU 4 AOĂT JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney Page 1 sur 1 Sujets similaires» 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney» 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney» 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney» 4 aoĂ»t Saint Jean Marie Vianney» Saint CurĂ© d'ARS - Saint Jean-Marie de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Forum Catholique LE MONASTĂRE INTĂRIEUR. LES FORUMS CHRĂTIENS LES SAINTS DU vers
Lachoriste de Nâoubliez pas les paroles sâoffre un peu de bon temps. Ce jeudi 11 aoĂ»t, Magali Ripoll a postĂ© une photo dâelle sur Instagram qui nâa pas manquĂ© de faire rĂ©agir ses
ï»żPas Le Temps Pour Les Regrets Lunatic - Mauvais Oeil - Pas Le Temp Pour Les Regrets [Ali] Lunatic, Booba, Ali, 9. 2 I A la vie inch'Allah, GĂ©nĂ©ral Pas l'temps pour les regrets, Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes. NĂ© pour amener ma part de progrĂšs, Pour qu'Ă mon tour j'procrĂ©e De ceux pour qui le jour porte conseil, quand c'est la nuit qu'on agit, TraĂźne ma chair et mon ossature vers n'importe quelle latitude sous n'importe quel degrĂ© Le monde est vaste, Pour certains trop p'tit, sĂ©parĂ© en deux castes, Ceux qui rĂ©pandent l'amour et ceux qui dĂ©pendent de la haine, On y grandit en perdant l'innocence Que chacun d'nous posssĂšde Ă sa naissance. Combats nos faiblesses, fortifie mon mental, sanctifie mon Ăąme, mon essence Adam structure mon ADN. NĂ© non pas pour vivre seul Cause au nom de l'universel Puise mes instruments dans la flore pour ma faune Dans la rue pour mes gens aux instincts d'fauves Ă nous les fautes Quand les pulsions l'emportent sur la rĂ©flexion Te privent de contrĂŽle, primitive rĂ©action, PrĂ©viens les autres. Que veux-tu que j'dise quand s'enfoncent Les tĂȘtes de mon 92 enfance Trop s'plaisent Ă tiser Et vomir, Spliffent avant d'dormir Et dĂšs le matin remisent Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, Pas l'temps pour les regrets Refrain x3 Pas l'temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, NĂ© pour amener ma part de progrĂšs [Booba] On dit qu'la vie des jeunes de la rue est triste, Mais qui tu blĂąmes J'ai pas besoin d'tes larmes. OĂč est le drame ? Depuis l'CP les billes, j'sais qu'c'est niquĂ©. Donc j'fais mon billet Si j'dois t'briser pour briller Hors de portĂ©e, mort de rire sans remords Quand j'Ă©coute les menaces de mort des forces de l'ordre. T'Ă©coutes du r. a. p. Des mecs qu'en ont rien Ă pĂ©ter Ă tout niquer j'viens m'apprĂȘter, mettez Les femmes et les enfants Ă l'abri Y'a nos reufs prĂȘts Ă agir avec magie qu'attendent Ă la grille [Ali] Mauvais regards puis coups durs, HĂ©matomes et points d'suture, Brolic Ă la ceinture et plus lourd dans le coffre de la tire. Les cerveaux saturent Par manque d'amour et d'air pur. Tout comme nos chiens, on a besoin d'verdure. Mais on est des hommes Donc on endure RĂ©duit dans des zones, 92 Hauts d'Seine gĂ©ographie. Quand s'ouvrent les portes de l'enfer, que la nuit suffit pour couverture. Se dĂ©fient le vice et la vertu. Les erreurs pĂšsent sur les coeurs, Seul le repentir sincĂšre pour les mettre Ă l'Ă©cart. NĂ© pour amener ma part de progrĂšs. Pas l'temps pour les regrets. Refrain x3 [Booba] J'vis d'haine et d'eau fraĂźche D'illicite et d'pĂ©chĂ© Mon seul taff j'rappe sur SP12, MPC J'vois pas mes frĂšres agir Ă jeun sans l'biz, Incapables de survivre y s'lĂšvent le matin mais juste pour pisser Des soirĂ©es sans chĂšques et sans que-shnĂ©s C'est tellement naze que pour kiffer j'dois m'dĂ©foncer au whisky Du son pour lĂ©-rou Un putain d'flow d'banlieue Pour les Khos Beurs, nĂ©gros peace et les terroristes Ăclate allocations, insertions Sous pression comme nos consommations, DĂšs qu'on sort bĂ©dave comme si c'est permis La vie c'est Des griffes avec du vernis, string, 90C Suicide Ă la hilla Trop faya pour aller prier J'ai peur de crier quand j'vais griller 92 hardcore, depuis l'jardin d'Eden J'avale une bouteille, et j'm'endors avec du Wu-Tang. Refrain x4
Voicidonc les 5 plus grands regrets des mourants: 1 - J'aurais aimé avoir eu le courage de vivre la vie que je voulais vraiment, pas celle que les autres attendaient de moi. DÚs la naissance
Paroles de la chanson Pas l' temps pour les regrets par Lunatic [Ali] Lunatic, Booba Ali, 92i Ă la vie Inch'Allah, GĂ©nĂ©ral [Ali] Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pour qu'Ă mon tour je procrĂ©e De ceux pour qui le jour porte conseil, quand c'est la nuit qu'on agit, traĂźne Ma chair et mon ossature vers n'importe quelle latitude sous n'importe quel degrĂ© Le monde est vaste Pour certains trop petit, sĂ©parĂ© en deux castes Ceux qui rĂ©pandent l'amour et ceux qui dĂ©pendent de la haine On y grandit en perdant l'innocence que chacun de nous possĂšde Ă sa naissance Combats nos faiblesses, fortifie mon mental Sanctifie mon Ăąme, mon essence Adam structure mon ADN NĂ© non pas pour vivre seul, cause au nom de l'universel Puise mes instruments dans la flore pour ma faune Dans la rue pour mes gens aux instincts de fauves Ă nous les fautes Quand les pulsions l'emportent sur la rĂ©flexion Te privent de contrĂŽle, primitive rĂ©action, prĂ©viens les autres Que veux-tu que je dise quand s'enfoncent Les tĂȘtes de mon 92 enfance Trop se plaisent Ă tiser et vomir Spliffs avant de dormir et dĂšs le matin remise Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes Pas le temps pour les regrets [Booba & Ali] Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs [Booba] Lunatic ! On dit que la vie des jeunes de la rue est triste, mais qui tu blĂąmes? J'ai pas besoin de tes larmes, oĂč est le drame? Depuis le CP, les billes, je sais que c'est niquĂ© Donc je fais mon billet, si je dois te briser pour briller Hors de portĂ©e, mort de rire sans remords Quand j'Ă©coute les menaces de mort des forces de l'ordre T'Ă©coutes du Des mecs qu'en ont rien Ă pĂ©ter, Ă tout niquer je viens m'apprĂȘter Mettez les femmes et les enfants Ă l'abri Y'a nos reufs prĂȘts Ă agir avec magie qu'attendent Ă la grille [Ali] Mauvais regards puis coups durs, hĂ©matomes et points de suture Brolic Ă la ceinture et plus lourd dans le coffre de la tire Les cerveaux saturent par manque d'amour et d'air pur Tout comme nos chiens, on a besoin de verdure Mais on est des hommes donc on endure RĂ©sidents des zones 92 Hauts-de-Seine gĂ©ographie Quand s'ouvrent les portes de l'enfer, que la nuit suffit pour couverture Se dĂ©fient le vice et la vertu Les erreurs pĂšsent sur les cĆurs Seul le repentir sincĂšre pour les mettre Ă l'Ă©cart NĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets [Booba & Ali] Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs [Booba] Je vis de haine et d'eau fraĂźche, d'illicite et de pĂ©chĂ© Mon seul taf' je rappe sur SP-12, MPC Je vois pas mes frĂšres agir Ă jeun sans le biz Incapables de survivre ils se lĂšvent le matin mais juste pour pisser Des soirĂ©es sans chĂšques et sans ke-shnĂ© C'est tellement naze que pour kiffer je dois me dĂ©foncer au whisky Du son pour lĂ©-rou, un putain de flow de banlieue pour les khos Beurs, nĂ©gros, peace et les terroristes Eclate allocations, insertion Sous pression comme nos consommations DĂšs qu'on sort bĂ©dave comme si c'est permis La vie c'est des griffes avec du vernis, string, 90C Suicide Ă la hiya, trop faya pour aller prier J'ai peur de crier quand je vais griller 92 hardcore, depuis le jardin d'Eden J'avale une bouteille, et j'm'endors avec du Wu-Tang [Booba & Ali] Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs Pas le temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs [ Ali] Pour qu'Ă mon tour je procrĂ©e Lunatic...
Lunatic- Pas Le Temps Pour Les Regrets : Auteur Message; Samir Kenza de Diamant. Nombre de messages: 9834 Age: 30 Lieu: 94 Date d'inscription : 24/06/2008: Sujet: Lunatic - Pas Le Temps
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Voir le deal Forum Catholique LE MONASTĂRE INTĂRIEUR. LES FORUMS CHRĂTIENS PROPHĂTIES ET APPARITIONS AuteurMessageHerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2156 LES DEUX PAPES MARTYRS ET LEUR SUCCESSEUR - LE SAINT PONTIFE Extraits dâextases de Marie-Julie Jahenny + + + + + 1874-01-01 La survie miraculeuse du Pape Marie-Julie Jahenny portait sur la poitrine une inscription stigmatique Ă©crite par la Sainte Vierge DĂ©livrance du Saint-PĂšre, triomphe de la Sainte Ăglise. » + + + + + 1874-01-09 Notre Dame dit Priez pour le souverain Pontife ! MalgrĂ© la rage des mĂ©crĂ©ants, malgrĂ© tout, il triomphera. Ils n'auront jamais sa vie. Ce sera le Bon Dieu qui lui donnera une mort prĂ©cieuse. » Mon fils, sache bien que dans les jours de mon Rosaire, Je dĂ©ciderai le jour de ton triomphe, sache que Je te prĂ©viendrai et que tu sauras lâheure de ton triomphe. Je le ferai aussi connaĂźtre aux Ăąmes que Jâai choisies pour faire le bien et faire connaĂźtre mes rĂ©vĂ©lations. » + + + + + 1874-03-19 Priez, priez, priez encore, Je sauverai la France mais il faut quâelle pleure. Les larmes ne sont pas amĂšres car la foi nâest pas morte, elle nâest quâendormie et Je la rĂ©veillerai. Mais priez, mes enfants ! »+ + + + + 1874-03-25 La Vierge mâa beaucoup parlĂ© de la France et du saint Pontife et mâavait recommandĂ© trois priĂšres pour la France Ă rĂ©citer tous les jours, trois fois par jour un Magnificat, un Ave Maris Stella et un Stabat Mater. Il faudra se jeter Ă genoux, la supplier et jeter ses regards vers le Ciel. La Sainte Vierge la dĂ©livrera par un Roi qui la sauvera et la gouvernera longtemps, et Elle dit quâon ne lui demande pas assez ce Roi et quâon ne la supplie pas assez de nous lâaccorder. Elle le nomme Henri V et nous recommande de prier aussi beaucoup Saint-Michel. De son cĂŽtĂ©, le SacrĂ©-CĆur sâest plaint, Ă plusieurs reprises, que les Français ne lui demandaient pas le Roi. Je crois bon de prĂ©ciser - ainsi que je vous lâai dĂ©jĂ dit - que ce Roi ne sera certainement pas un des OrlĂ©ans puisquâils ne descendent pas par les mĂąles de la race des Rois de France qui seule est voulue par Dieu qui lâa instituĂ©e. Il a Ă©tĂ© prĂ©cisĂ© que ce grand Monarque descendrait du Roi et de la Reine martyrs ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2204 + + + + + 1874-07-25 Marie-Julie reçu, le 25 juillet 1874, une priĂšre litanique de la part de Notre Dame pour le Saint PĂšre. Cette priĂšre Ă Marie ImmaculĂ©e est empreinte de respect, de confiance et d'amour pour le souverain Pontife. DĂ©livrance, libĂ©ration, triomphe sont les termes dont elle use dans sa priĂšre Ă la Vierge Marie pour le Pape. + + + + + 1874-07-26 La Sainte Vierge Marie parla de nouveau Ă Marie-Julie des inscriptions qu'on lirait sur son CĆur "Marie immaculĂ©e, dĂ©livrance du Saint PĂšre, triomphe de la France et de l'Eglise". La Sainte Vierge trempa son doigt virginal dans le sang du SacrĂ©-CĆur de JĂ©sus et Ă©crivit ces paroles au-dessus du cĆur de chair de Marie-Julie ». + + + + + 1874-08-25 Marie-Julie Ă son confesseur, lâAbbĂ© David Vendredi dernier, JĂ©sus m'a fait voir une haie d'Ă©pines haute comme le plancher plafond au milieu de laquelle Ă©tait enfermĂ© le Pape. Notre Seigneur s'en approche. Il Ă©carte de la main les Ă©pines ; il se fraye un passage avec la main et tous deux se voient face Ă face. JĂ©sus dit au Saint-PĂšre ; Mon fils bien-aimĂ©, regarde maintenant oĂč je m'arrĂȘte. C'est moi qui viendrai au-devant de toi. Plus loin, JĂ©sus s'arrĂȘte encore - il y avait deux bouquets de fleurs - A mesure que j'avancerai, le triomphe approchera. Le Saint PĂšre aura de faux amis au jour de son triomphe. D'autres, moins amis auparavant, lui porteront ce jour-lĂ un vif intĂ©rĂȘt et un grand dĂ©vouement. Le triomphe du Souverain Pontife aura lieu de suite aprĂšs celui de la pour bientĂŽt le triomphe de cette pauvre France ! JĂ©sus nous sourit. Il se presse, lui aussi, MisĂ©ricorde ! Tirez de ses chaines le glorieux Pontife ! Le jour approche, je le vois. Confiance ! ... Je vois plus aujourd'hui que je n'ai vu pendant six mois ». JĂ©sus Je vais m'approcher du Saint-PĂšre. Tu regarderas bien la haie d'Ă©pines. Le Saint-PĂšre souffre pour nous car nous ne prions pas assez en France. Comme la France doit triompher la premiĂšre, le Pape souffre pour elle ». + + + + + 1874-09-29 Notre Dame annonce Au ciel, Saint Michel va cĂ©lĂ©brer avec le SacrĂ©-CĆur le triomphe du Saint-PĂšre et celui de lâEglise. Il va terrasser les ennemis de la France ». Notre Dame Vous ne serez sauvĂ©s que par la priĂšre et par les pĂ©nitences. Priez le SacrĂ©-CĆur de mon Fils ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2205 + + + + + 1874-12-06 LâAbbĂ© David relate cette importante rĂ©vĂ©lation Notre Seigneur, une main placĂ©e sur son CĆur et lâautre tendue vers le Saint Pontife, lui dit - Mon fils, souffre avec patience. BientĂŽt Je vais bĂ©nir tes chaĂźnes et te faire sortir de ces grandes Ă©preuves et des Ă©pines qui tâenvahissent car tu seras enveloppĂ© de lys le Roi et les princes des lys. Mon fils, câest assez longtemps vivre dans les chaĂźnes au milieu des calomnies et des persĂ©cutions, il est temps que Je brise ces chaĂźnes et que Je dĂ©truise le temple des impies qui tâentourent. Mon fils, voilĂ mon CĆur qui vient te sauver de la main des barbares et les confondre tous. Je viens te donner un trĂŽne plus glorieux oĂč tu rĂšgneras jusquâĂ ta mort ». Le Saint-PĂšre a parlĂ© et a dit au SacrĂ©-CĆur Je vous supplie, dites quelles priĂšres faut-il faire pour la France ? ».Notre Seigneur a rĂ©pondu Prie, seulement aprĂšs le triomphe, le SacrĂ©-CĆur et Marie ImmaculĂ©e rĂ©vĂšleront les priĂšres dâaction de grĂąces quâil faudra dire ! ». Marie-Julie dĂ©crit le triomphe du Saint PĂšre Elle dit au Saint PĂšre Mon Divin Fils te dĂ©livrera mais Il le fera par moi. Je le solliciterai chaque jour pour toi. Oui, mon fils faisant voir les lauriers du Saint PĂšre, voilĂ le drapeau du triomphe. Il nâest pas encore tout fleuri, mais il ne sâen manque guĂšre. Mon fils, console-toi, lâheure de ta dĂ©livrance est proche Et la Sainte Vierge ajouta - Mon Divin Fils te dĂ©livrera, mais par Moi. Mon fils, console-toi, lâheure de ta dĂ©livrance est proche. Sache que Je donnerai le triomphe Ă la France avant le tien. Le Saint-PĂšre souriait. La Sainte Vierge reprit Console-toi, mon fils, bientĂŽt la France va sortir de son cercueil ; toi aussi, tu es enseveli dans un tombeau, mais la France va ressusciter et aprĂšs ce sera ta rĂ©surrection. Prie pour les Français, les Français seuls te dĂ©livreront et quelques groupes dâĂ©trangers choisis avec eux ». + + + + + 1874-12-08 Ă Rome la tempĂȘte sera la plus noire. Lâorage de Rome sera encore pire que lâorage de France. Toute la colĂšre de lâimpie est Ă Rome. Toute la colĂšre de lâimpie est concentrĂ©e sur le Saint SiĂšge. Les chĂątiments commenceront par Paris ». + + + + + 1875-01-10 Saint Michel dit Mes bien-aimĂ©s fidĂšles, courage ! Encore un peu de temps, et vous verrez tout lâenfer se dĂ©chaĂźner pour tout renverser. Vous verrez des choses abominables, des violations Ă©pouvantables. La malice des hommes va encore grandir en fureur et en mĂ©chancetĂ©. La fille aĂźnĂ©e de lâĂglise sera divisĂ©e, partagĂ©e, dĂ©shonorĂ©e, souillĂ©e de crimes... Câest mon dernier mot⊠» + + + + + 1877-04-16 Toute la peine de JĂ©sus, câest que des PĂšres de lâĂglise trahiront le Divin Sauveur au milieu des chĂątiments ». + + + + + 1877-05-25 Saint Michel annonce La France est Ă la veille de son malheur et de son bonheur le malheur pour les pĂȘcheurs, le bonheur pour les justes ». Avant que la Paix refleurisse sur la terre, il faut quâune grande pĂ©nitence flĂ©chisse la colĂšre divine. Câest le Seigneur Lui-mĂȘme qui exerce Sa Justice. Il nâappartient quâĂ Lui de chĂątier, mais en chĂątiant, Il purifiera la terre et son peuple. Il nâĂ©pargnera rien. Il cultivera la terre pour y semer une nouvelle semence ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2206 + + + + + 1877-09-18 Au pied de la montagne, dans un rocher, je vois comme une prison solitaire et, lĂ , est enfermĂ© un vieillard Ă cheveux blancs dont les traits sont resplendissants. Il porte une croix sur la poitrine. Le Bon MaĂźtre sâavance, le vieillard se prosterne et JĂ©sus l'embrasse. Mon fils bien-aimĂ©, dit-il, martyr de la Sainte Eglise, prisonnier du SacrĂ©-CĆur, repose-toi sur Moi et Jâadoucirai ta peine. Lâauguste vieillard verse des larmes de bonheur. Mon fils bien-aimĂ©, reprend le Sauveur, sĂšche tes larmes. Depuis longtemps tu portes la croix, mais bientĂŽt, Je te rendrai tous tes droits ravis et ta libertĂ© ! Rien ne rompra le lien qui nous unit. Lâenfer a voulu te faire plier mais, je tâai soutenu et tu ne te courberas pas. La Sainte Vierge passe au cou de lâauguste vieillard une belle petite croix. Toute ma peine, dit-elle, câest de voir lâEglise submergĂ©e sous lâiniquitĂ© dans tous les pays. Elle souffre de plus en plus. Quand viendra la dĂ©livrance, entre toutes les nations, je distingue la France. Je lâaime et câest de la France que sa vie dĂ©pend ». La MĂšre ImmaculĂ©e vient prĂšs de la France coupable et lui dit par trois fois "France, donne-moi ton cĆur". Celle-ci demeure sourde."Te rappelles-tu, France ingrate et couverte de plaies hideuses, te rappelles-tu que tu avais promis Ă mon Divin Fils de lui donner ton cĆur ?" » + + + + + 1877-10-24 JĂ©sus annonce Ma victime, tu vois que lâheure fatale va gronder sur la France et au-delĂ . Le bien et le mal vont se combattre. Le mal, pendant un moment, sera vainqueur mais, bientĂŽt, cĂ©dera devant le bien. LâUnivers sera presque renversĂ©, car mon peuple est promis que les chĂątiments du ciel Ă©teindraient la race corrompue. Le moment va venir. Je fermerai la bouche des impies. Je les surprendrai par ma Justice. Je ne puis plus supporter le mal. Je suis comme dans une piscine oĂč lâeau me gagne ; je suis submergĂ©.â Câest vrai, Seigneur. Si, depuis Pontmain et lâapparition de Notre Dame dâEspĂ©rance, nos cris nâĂ©taient arrivĂ©s Ă vous, vous nous auriez dĂ©jĂ foudroyĂ©s.â Je me laisserai encore toucher, mais seulement aprĂšs la destruction que jâai promise. Ceux quâau milieu des cendres jâaurai Ă©pargnĂ©s seront la gloire de la France.â Oh ! Seigneur, je vois votre Justice sur la France.â Ce sera un moment terrible pour les ingrats et les mĂ©chants. Ce moment sera sans frayeur pour les vais ĂȘtre foulĂ© aux pieds ma prison dâamour sera violĂ©e, mais je nây serai plus. Mes ministres mâauront soustrait et emportĂ©, cachĂ© sur leur cĆur. Mon temple sera souillĂ© et plein dâhorreur, mais ce moment sera court. Mon sanctuaire vous sera fermĂ© ; mais je serai avec vous et ces jours seront France coupable verra le sang couler ; ma douleur sera amĂšre, mais je resterai insensible. La terre sera abreuvĂ©e du sang des martyrs et de celui des impies le premier criera misĂ©ricorde, le second vengeance » + + + + + 1877-11-29 La Sainte Vierge annonce Jâai priĂ© ; jâai pleurĂ© ; jâai souffert... Je suis descendue sur la terre pour les avertir. Jâai promis le salut si lâon faisait pĂ©nitence... Jâai annoncĂ© au clergĂ© de fatales perditions ; jâai fait entendre pour lui mes menaces, sâil faiblissait dans lâorage et la tempĂȘte. Jâai pleurĂ© sur la France. Jây ai tracĂ© le chemin de la Croix. Jâai ouvert des fontaines pour laver les malades. Jâai consolĂ© mon peuple, lui promettant de le sauvegarder. Tout cela nâa pas touchĂ© le coupable. Il est restĂ© dans le crime ; son chĂątiment est proche... » + + + + + 1877-12-08 Ă Rome la tempĂȘte sera la plus noire. Lâorage de Rome sera encore pire que lâorage de France. Toute la colĂšre de lâimpie est Ă Rome. Toute la colĂšre de lâimpie est concentrĂ©e sur le Saint SiĂšge. Les chĂątiments commenceront par Paris ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2206 + + + + + 1878-01-21 Mes enfants, ce qu'il y aura de plus douloureux dans le triste passage de la justice de mon Fils, ce sera de voir l'apostasie des chrĂ©tiens en prĂ©sence des impies-coureurs ; mais cette apostasie ne sera pas le fait de tous les chrĂ©tiens. - Je ne comprends pas ce mot. Mon Serviteur le comprendra. Les impies-coureurs sont dĂ©jĂ en pleine libertĂ©. Ils feront rĂ©gner leur pouvoir d'une maniĂšre qui fera frĂ©mir. Ces faux christs ne tarderont pas Ă parcourir les villes, les bourgades et les campagnes, toutes les contrĂ©es enfin... - Parlez, ma trĂšs sainte MĂšre, votre Serviteur Ă©coute. Mais n'allez pas trop vite afin que je saisisse bien vos paroles. - Mes enfants, voilĂ donc ces faux Christs. Laissez-moi vous en faire la peinture, mon Divin Fils le veut. Les impies-coureurs, enfants de Satan, porteront des croix vĂ©ritables qui auront Ă souffrir de la mĂ©chancetĂ© de ces cĆurs impies. Et, avec ces Croix, un instrument barbare, instrument de mort. Ils diront aux chrĂ©tiens VoilĂ la croix. Signez de votre sang que vous ĂȘtes de notre parti, reniez votre foi et votre baptĂȘme. Les Croix seront dĂ©posĂ©es Ă terre et celui qui refusera d'obĂ©ir sera presque sĂ»r de pĂ©rir. VoilĂ le plus grand des crimes. Ceci sera complotĂ© en secret. Je le dĂ©voile pour que vous ne soyez pas surpris. Si mes enfants sont fermes sur leur foi, dans leur rĂ©ponse, cette parole sera capable de rendre doux le cĆur de l'impie-coureur ». + + + + + 1878-03-09 JĂ©sus dĂ©crit le portrait de son vicaire ` Mes enfants, voilĂ donc mon nouveau reprĂ©sentant placĂ© Ă la tĂȘte de l'Univers. Il y aura beaucoup Ă souffrir. L'enfer va livrer une derniĂšre lutte Ă la terre ; et la terre va livrer une derniĂšre lutte Ă mon reprĂ©sentant. Sa charge sera bien lourde. Il faudra un homme fort comme une montagne et un esprit point ordinaire pour soutenir cette rĂ©volution et ce carnage. Ce cher et digne reprĂ©sentant sera entrĂ© dans une nouvelle alliance pour soutenir ma sainte Eglise au fort de l'orage. Les peines, les tortures, le mĂ©pris, il recevra tout ... jusqu'au crachatsOn ira jusqu'Ă le conduire Ă la pierre du premier Pontife. On lui dira Renie ta foi ! Laisse-nous la libertĂ© ! Mais sa Foi sera ferme et constante. C'est moi qui vous donnerai ce pontife. Priez pour lui qui doit voir sous ses yeux une rĂ©volution acharnĂ©e ! Jusqu'Ă la mort, sa main tiendra la Croix et ne la lĂąchera pas. Priez, je vous en supplie, priez ! Car la Foi et la Religion vont ĂȘtre foulĂ©es sous les pieds de ces malfaiteurs ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2206 + + + + + 1878-03-19 Saint Joseph dit Mes enfants, vous devez fouler aux pieds les apprĂ©hensions. Vous ne devez plus trembler Ă lâapproche de la colĂšre du Seigneur. Vous devez rester dans votre calme et nâen plus sortir. Câest un privilĂšge accordĂ© aux enfants de la Bretagne. PrĂšs de mon Divin Fils, jâai plaidĂ© le triomphe de lâĂglise qui mâest chĂšre. Jâen suis aussi le protecteur. Jâai vu lâarbre de la foi soutenir trois luttes terribles, mais je nâen ai vu aucune feuille se flĂ©trir. Jâai plaidĂ© la cause de lâĂglise et jâai dit - Mon Fils, je dĂ©sirerais que vous lui donniez le triomphe, mais sans victimes, ni effusion de sang. Jâai compris quâil faudrait beaucoup de souffrances, beaucoup de tortures et de sang pour sauver lâĂglise profanĂ©e et souillĂ©e. Ensuite jâai plaidĂ© la paix et la tranquillitĂ© pour le Saint PĂšre. Mon Fils mâa rĂ©pondu - Le Saint PĂšre souffrira des tourments qui seront au-dessus de ses forces. Il sera jetĂ© et dĂ©jetĂ©, poussĂ© et repoussĂ©, comme la mer quand il contrevente. - Saint Joseph, je ne sais pas ce que vous voulez dire par ce mot contrevente. - Mon enfant, câest quand, dans les orages, les nuĂ©es sâentrechoquent, poussĂ©es par des vents contraires. Jâai demandĂ© le triomphe du Saint PĂšre et mon Fils a rĂ©pondu - Mon PĂšre, quand il y aura eu assez de victimes et de sang rĂ©pandu, câest lĂ quâest Ă©crite lâheure de son triomphe. " Vois, mon enfant, combien les maux seront grands. Personne ne les peut comprendre avant quâils ne soient venus. Avec tendresse et gĂ©nĂ©rositĂ©, jâai plaidĂ© pour les pauvres prĂȘtres de lâĂglise. Mon Fils a rĂ©pondu - Mon PĂšre, mes apĂŽtres zĂ©lĂ©s, mes prĂȘtres, auront une part de consolation ils souffriront cependant puisquâils sont les colonnes de lâĂglise. Mais malheur Ă celui qui sera montĂ© Ă lâautel avec une conscience voilĂ©e, malheur Ă celui dont une fibre du cĆur sera Ă droite et lâautre Ă gauche ! - Jâai plaidĂ© Ă propos de leur apostasie et mon Fils a rĂ©pondu - VoilĂ ce qui me fait le plus souffrir ! Voir apostasier ceux qui, dans le sacerdoce, se sont vouĂ©s Ă mon service ! Mon pĂšre, quand tous ces forfaits se seront rĂ©pandus dâun bout Ă lâautre du monde, la terre sera dans le plus grand scandale. - Jâai plaidĂ© pour cette malheureuse France et mon Fils a rĂ©pondu - Mon pĂšre, je vois la France dans une laideur Ă©pouvantable. Elle est si souillĂ©e quâaucune source ne pourrait la laver. - Mes enfants, mon Fils appelle la France le dĂ©luge de lâiniquitĂ©. MalgrĂ© ses malĂ©dictions, mon Fils accordera le don de protection Ă plusieurs familles qui se seront comportĂ©es charitablement dans la foi et la reconnaissance pour la grĂące divine. Elles seront protĂ©gĂ©es, mais elles devront fuir, comme moi lorsque jâai fui en Ăgypte. - Mais, Saint Joseph, nous nâavons point dâĂgypte, nous. - La Bretagne sera lâĂgypte. Jâai encore parlĂ© fortement en faveur des communautĂ©s religieuses et voici, mes enfants, la parole de mon Fils - Tous ces cloĂźtres, ces lieux de paix, auront Ă souffrir beaucoup et il en sortira un grand nombre de martyrs. Ceux qui tendent des piĂšges Ă mon Ăglise poursuivront les Ăąmes cloĂźtrĂ©es. - Mes enfants, ajoute Saint Joseph, des flĂ©aux de toutes sortes sont rĂ©servĂ©s Ă la terre. Des pestes et des calamitĂ©s arriveront avec ce temps. Pour indiquer la mortalitĂ©, par endroits, on devra placer le drap mortuaire sur lâĂglise ! Ce sera de la corruption et de lâiniquitĂ© que sortiront ces flĂ©aux. Je prĂ©viens, puisque mon Fils lâordonne. Mes enfants, dans ces annĂ©es prochaines, il se passera des phĂ©nomĂšnes extraordinaires. Il faut que vous soyez prĂ©venus pour que vous soyez sans frayeur. Mon Fils mâa dit - Mon pĂšre, je vous confie ces rĂ©vĂ©lations, faites-les connaĂźtre Ă mon peuple. - Il y aura dans le tonnerre quelque chose dâĂ©trange. Il y aura aussi des Ă©clairs sans tonnerre pendant des demi-jours, la terre en sera couverte. Ces signes extraordinaires ne pourront venir que de mon Fils. Mes enfants, ne craignez rien ces Ă©clairs ne vous feront aucun mal, mais ils en atteindront dâautres. Il faut que la puissance de mon Fils se manifeste dâune maniĂšre bruyante, puisque lâincrĂ©dulitĂ© est si grande ! » + + + + + 1878-05-13 Lors de l'extase du 13 mai 1878 Pie IX dit Ă Marie-Julie RĂ©parez vos armes, les meilleures sont la priĂšre et la confiance. Les ennemis de mon successeur pousseront la haine jusqu'Ă le forcer d'apostasier, mais sa foi sera inĂ©branlable. Il verra couler le sang des dĂ©fenseurs de l'Eglise comme des ruisseaux ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2207 + + + + + 1878-09-08 J'aimerais mieux aller en prison que de dire tout ce que je sais sur le prĂȘtre ; j'aimerais mieux ĂȘtre traĂźnĂ©e par le cou que de le rĂ©vĂ©ler il y a de quoi faire trembler le ciel, non pas la terre, mais le ciel, avec ses puissances et ses prodiges. Notre-Seigneur dit que la faiblesse du prĂȘtre est grande et, qu'Ă peine l'heure fatale aurait-elle sonnĂ©, qu'un grand nombre serait Ă la tĂȘte des impies pour dĂ©former son nom et le profaner. Mes enfants, dit la Sainte Vierge, je veux vous dire que vous marchez dans la lumiĂšre... Quand, dans ce lieu oĂč je me plais, vous commencez votre travail pour mon Divin Fils, la lumiĂšre descend sur vous, vous Ă©claire, vous guide et vous dirige. La lumiĂšre luit sur ce papier oĂč vous recueillez si bien les paroles de mon Fils. Mes enfants, que j'aime ce lieu oĂč vous habitez ! Que j'aime ce petit coin de France oĂč Dieu vous a fait naĂźtre ! VoilĂ un moment bien redoutable qui se prĂ©pare. Ne vous effrayez pas si je vous parle aussi ouvertement. Ce sera une heure bien amĂšre pour les hommes de cette terre sans foi, sans amour et sans religion. Ils vont subir le coup terrible qui leur est depuis longtemps rĂ©servĂ©. Ce coup est suspendu encore. Si vous entendez courir des bruits, des bruits de scandales affreux par leur laideur, si vous voyez venir jusqu'Ă vous des espĂšces de doctrines empoissonnĂ©es, ne soyez ni surpris ni troublĂ©s. Ce sera une grande perdition pour les Ăąmes peu solides. Laissons-les travailler Ă leur grĂ© une autre loi saura bien les arrĂȘter. Mes enfants, si vous saviez combien est petit le nombre de ceux qui soutiennent la foi ! Si vous saviez combien ce petit nombre sera contredit, raillĂ©, insultĂ©, tournĂ© en dĂ©rision ! J'ai, depuis longtemps, le dessein de m'adresser Ă une Ăąme. Le moment approche oĂč je serai forcĂ©e de parler Ă nouveau. Ce sera la derniĂšre fois que je ferai passer mes grands avertissements. Je n'ai pas encore choisi cette Ăąme. Cela se fera sans bruit, sans agitation, avec simplicitĂ©, comme toutes les Ćuvres de mon Fils et les miennes ». + + + + + 1879-07-10 Mon peuple semble rentrer dans lâincrĂ©dulité⊠La religion, chaque jour, sâaffaiblit. BientĂŽt elle sera dĂ©sertĂ©e presque par toute la terre, mais elle rĂ©gnera dans des Ăąmes isolĂ©es⊠». + + + + + 1878-09-29 Le Seigneur dit Mes enfants, je porte d'Eglise sur l'Ăpaule qui me fait souffrir. Je l'enlĂšve, avec ses murs et ses ornements. Je l'enlĂšve Ă la fureur de ses ennemis. Ce sera une fureur rouge, et mĂȘme d'un degrĂ© de plus. En emportant mon Saint Temple, j'emporte aussi l'Arbre de la Foi. Voici le moment oĂč tous les rouges vont se prĂ©cipiter sur ses restes. Je transporte un moment mon Temple et l'Arbre de la Foi dans les cieux, prĂšs de mon trĂŽne, en attendant que passe sur terre ma Justice ». Saint Michel dit En marchant sur la France, nous accomplirons notre devoir. Quand la paix y sera rĂ©tablie et le rĂšgne de Dieu commencĂ©, nous marcherons sur Rome, puisque la France doit se dĂ©voiler Ă la dĂ©fense du Saint SiĂšge. Le nouveau et Saint Pontife sera encore plus exposĂ© et bien plus menacĂ© que celui que Dieu aura cueilli, en transportant sur ses Ă©paules son Saint Temple. On attentera fortement Ă sa vie et sâil nâest pas martyr de la main des barbares, câest que Dieu fera pour lui un Ă©clatant miracle. Jamais, jamais tempĂȘte nâaura Ă©tĂ© aussi forte contre aucun autre Pontife. Il est dĂ©jĂ martyr avant de subir le martyre ; il souffre avant que lâheure nâait paru. Mais il offre sa personne et le sang de ses veines pour tous ses bourreaux et pour ceux qui attentent terriblement Ă sa vie. Que dâexils Ă souffrir ! Si le Martyr prisonnier fait appel par la voix de ses amis et dĂ©fenseurs, il sera dĂ©fendu, sous peine de mort, quâaucun de ce royaume ne vole Ă son appel... Le Seigneur va souffrir Lui-mĂȘme une seconde Passion... Mais cette seconde Passion - il nây en a quâune seule pour Lui - ce sera une Passion pour ceux qui Le remplacent et Le reprĂ©sentent. Pour les Ăąmes Il laisse faire ce qui a Ă©tĂ©, autrefois, fait pour Lui ; ce sera une Passion pour ceux qui commandent dâune digne autoritĂ©.., pour tous ceux qui viennent aprĂšs la Victime enchaĂźnĂ©e dans les chaĂźnes de Pierre, martyr pour la cause du Seigneur. Toutes les autoritĂ©s devront subir cette Passion sur leur siĂšge paternel... Ils devront prendre la fuite pour se dĂ©rober aux poursuites acharnĂ©es, poursuites fĂ©roces. LâĂglise doit voir son Chef sous la haine vengeresse... Le Temple de Dieu doit ĂȘtre dĂ©sert. Au commencement les ministres du Seigneur pourront, malgrĂ© les menaces, obĂ©ir aux lois de leur saint ministĂšre. Ce sera de force quâils seront traĂźnĂ©s hors du Temple. Puis lâordre viendra de senfuir rapidement. La vengeance de lâenfer fera monter aux autels les plus infĂąmes de tous les hommes. Ils prendront la place des vrais serviteurs du Seigneur. Tout sera contre la Foi et contre les lois saintes dans leurs cĂ©rĂ©monies. La loi obligera les parents Ă laisser pervertir leurs enfants... Ces sacrilĂšges dureront 44 jours... Beaucoup de chrĂ©tiens subiront le martyre. Ces forfaits seront suivis, de prĂšs, de la vengeance du Seigneur ». Saint Michel dit En marchant sur la France, nous accomplirons notre devoir. Quand la paix y sera rĂ©tablie et le rĂšgne de Dieu commencĂ©, nous marcherons sur Rome, puisque la France doit se dĂ©voiler Ă la dĂ©fense du Saint SiĂšge ». Notre Dame annonce Mes enfants, c'est moi qui viens finir avec vous cette journĂ©e... Je crains que vous ne soyez effrayĂ©s. Ne soyez pas tristes, ni chancelants dans votre foi, durant ces jours si proches qui me font verser des torrents de larmes sur la perte de tant d'Ăąmes. Je vous garderai dans ce coin de Bretagne oĂč mon nom est si bien redit. - C'est vrai, MĂšre chĂ©rie, souvent nous redisons votre nom. - C'est surtout quand ce sont des bouches innocentes de petits enfants qui le redisent que mon cĆur est tendre. - Nous avons perdu, nous, cette parole d'innocence, car nous avons pĂ©chĂ©. - Non... Vous m'aimez et je vous aime. Soyez prudents parce que les efforts de l'ennemi vont ĂȘtre terribles. Soyez bien fermes et rĂ©solus Ă vivre votre foi. - Oui, MĂšre chĂ©rie, nous le promettons, comme si nous faisions un testament... - C'est en dehors de toi... Vous aurez des piĂšges tendus et combats Ă soutenir. Soyez rĂ©servĂ©s. Les souffrances se changeront en joie, parce que vous aurez tout attendu avec une patience admirable. Je ne viens pas, mes enfants, autant que je le voudrais, mais je reviendrai ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2208 + + + + + 1879-07-10 Notre-Seigneur dit Mes enfants, quand je regarde sur terre vos demeures mortelles, mes yeux se mouillent de larmes. DĂ©sormais mon heure nâest plus loin. Ma misĂ©ricorde est si large, pour mes amis vĂ©ritables, que je ne peux vous en exprimer la grandeur ; mais aussi ma Justice est si effrayante que, si je vous en dĂ©veloppais une Ă©tincelle, je vous causerais une douleur inguĂ©rissable. Mes enfants, ne vous effrayez pas. DĂ©sormais je ne puis plus attendre. Plus je fais pour mon peuple, plus il mâoffense et me fait souffrir. Jamais il nây aura de paix, dâunion, de charitĂ© et de bonheur, tant que ma Justice ne sera pas venue sur la terre. Tout est mĂ©prisĂ© partout mon amour, ma bontĂ©, ma Croix, mon peuple semble rentrer dans lâincrĂ©dulitĂ©... Ce qui dĂ©chire mon Divin CĆur, câest la guerre que lâon dĂ©clare au saint temple dans lequel je fais ma rĂ©sidence pour consoler et fortifier les Ăąmes. Mes enfants, ce nâest pas seulement une guerre, câest un acharnement Ă©pouvantable. Lâesprit de la plupart des hommes est gĂątĂ©, corrompu jusquâĂ la derniĂšre Câest bien vrai, mon La religion, chaque jour, sâaffaiblit. BientĂŽt elle sera dĂ©sertĂ©e presque par toute la terre ; mais elle rĂ©gnera dans des Ăąmes isolĂ©es, poursuivies, frappĂ©es cruellement et sans dans de grands endroits de cette terre des morts, il nây aura plus de Sanctuaires. Les apĂŽtres auront pris la fuite. Les Ăąmes saintes pleureront sur les ruines et les abandons. La route qui sâouvre va conduire lĂ , en peu de temps... Voyez combien on mâinsulte et combien on mâ Câest bien vrai, mon Oh ! bientĂŽt, terre de ma crĂ©ation, oh ! bientĂŽt combien contiendras-tu de victimes sans vie ! BientĂŽt, terre de ma crĂ©ation, tu auras une parure frĂ©missante le sang des apĂŽtres et des ChrĂ©tiens restĂ©s dans la foi !Je vois la main de Notre-Seigneur levĂ©e et entourĂ©e dâun large Ă©clair foudroyant. Cet Ă©clair est si ardent quâil faut, chaque jour, nous y attendre et nous y continue " Jâai assez attendu ; jâai assez invitĂ© ; jâai assez suppliĂ©. Les ingrats ont eu leur triomphe ; il est temps que le juste entre dans la joie. Je nâai plus quâune parole, pour vous dire de nâĂȘtre point surpris, jusquâau jour oĂč je viendrai vous proclamer entrez maintenant dans la paix de la terre qui est venue pour vous du ciel... Nâattendez rien des hommes ici-bas - je ne dis rien de bien - mais attendez tout en mal. Ils nâont plus que cette force, que ce pouvoir. Les pĂ©cheurs de la terre nâont plus quâun dĂ©sir se repaĂźtre du mal, se nourrir de tous les sacrilĂšges. Lâodeur de leur haleine est infecte... ». + + + + + 1878-08-19 Visite du Saint GrĂ©goire le Grand, Pape et Docteur de l'Ăglise - Que la douce paix de Notre-Seigneur soit dans ton Ăąme, et dans celle de tous les Serviteurs de Sa Croix ! Que l'Amour de Dieu vous embrase de ses ineffables douceurs ! Je suis Saint GrĂ©goire, Pape et Docteur de l' porte des vĂȘtements de gloire diffĂ©rents de tous les autres saints, ce que Marie-Julie du Crucifix attribue Ă une Gloire CĂ©leste particuliĂšrement sublime associĂ©e au rayonnement Glorieux de la Je viens, Ă l'entrĂ©e de la voie du Saint Noviciat, dire un mot de la part de Notre-Seigneur. Le Seigneur, dans sa tendresse et Sa MisĂ©ricorde nous a donnĂ© Ses grĂąces, Son amour et Ses bienfaits. Qu'avons-nous Ă faire Ă notre tour ? Levons nos yeux vers les Cieux et bĂ©nissons un si bon PĂšre ! La puissance du Seigneur Ă©clate sur la terre ; les richesses de Son Amour nous sont donnĂ©es, qu'avons-nous Ă faire ? A remercier gĂ©nĂ©reusement Notre-Seigneur, Ă Lui tĂ©moigner notre reconnaissance, pour toutes Ses que l'amour de JĂ©sus ? Ce n'est pas autre chose qu'une tendresse mĂȘlĂ©e de bontĂ©, qu'il nous donne Ă chaque instant pour fortifier nos Ăąmes et notre reçoit-Il ce Dieu d'amour pour tant d'amour qu'il nous donne ? Il reçoit de la plupart que des injures, que des profanations ! O aveugle de ce temps, quand donc la lumiĂšre frappera-t-elle ton Ćil pour te faire voir les Divins effets que Dieu opĂšre en tous lieux par Sa puissance infinie ? Tremblons, petit nombre d'amis de Dieu, sur le sort de tant d'Ăąmes infortunĂ©es qui ont rejetĂ© la lumiĂšre pour vivre dans l'idolĂątrie de l'esprit mauvais. Quand l'Ăglise du Seigneur aura Ă©tĂ© menacĂ©e et battue, quand l'heure de la lumiĂšre, de la grĂące, du triomphe promis, Ă©clatera sur la terre foulĂ©e par des pieds insolents, que diront-ils, que feront-ils, que penseront-ils ? Ils sont les premiers Ă lui jeter des pierres, et ce Temple reste debout, il leur rĂ©siste par la ? Parce que Dieu a arrĂȘtĂ© l'heure fixe, l'heure de la grĂące pour Son Saint Temple. Si les derniĂšres lumiĂšres et les derniĂšres grĂąces du Ciel n'ouvrent pas les yeux fermĂ©s d'une sociĂ©tĂ© pervertie, quel effroyable malheur !Tremblons, gĂ©missons et pleurons, car la dĂ©solation est Ă son comble. Notre-Seigneur adorable, dans Sa grande bontĂ© et dans Son amour si puissant et tout adorable, laisse agir en pleine libertĂ© la volontĂ© libre de tous Ses ennemis. Il ne leur retranche rien, II leur laisse un pouvoir tellement fort, que, par ce pouvoir mĂȘme, ils devraient pressentir que la Main du Seigneur si puissant leur rĂ©serve un coup effroyable. Mais ils ne pensent qu'Ă travailler, qu'Ă approfondir leur travail dans le mal. A force de creuser, ils arriveront au bout de cette profonde carriĂšre, et lĂ , qu'auront-ils Ă faire ? Ils n'auront plus rien ! Dieu aura parlĂ©, Dieu aura commandĂ©, Dieu aura mis fin Ă leur oĂč marchent un grand nombre d'enfants de Dieu ! Aujourd'hui Dieu fait et laisse faire des martyrs. Voici comment Dieu fait Lui-mĂȘme et laisse faire II fait souffrir Lui-mĂȘme et II ordonne qu'encore d'autres aprĂšs Lui fassent souffrir. Ce temps qui passe n'est autre qu'un temps de souffrance et de peine. Il faut que l'on satisfasse Ă Dieu par les souffrances et par les peines. Notre-Seigneur demande des Ăąmes pour partager Ses opprobres. Enfants de Dieu, la tempĂȘte gronde de toutes parts, le mal et l'iniquitĂ© vont bientĂŽt entrer en va se porter l'affreuse vengeance ? Vers le Temple de Dieu, vers ceux qui reprĂ©sentent Dieu sur la terre, vers ceux qui Le servent et qui sont, de toute leur volontĂ©, prĂȘts Ă Le servir et Ă souffrir pour Sa gloire. Aujourd'hui, le raisonnement de l'esprit du mal et l'esprit de l'homme s'accordent ensemble pour former une affreuse tempĂȘte, par leur volontĂ© et par leurs dĂ©sirs. Cette affreuse tempĂȘte sera terrible, parce que la Justice de Dieu se mĂȘlera Ă la volontĂ© impure et mauvaise des ce moment, que pense le grand Pontife vivant sur le TrĂŽne, qui soutient l'armĂ©e de Dieu ? Il pense Ă faire la volontĂ© de Dieu, il pense Ă soutenir la Foi et Ă soutenir son droit, tant qu'il sera en vie. Croiriez-vous, enfants de Dieu, qu'on attentera avec fureur et avec une noire vengeance Ă la vie de cet illustre Pontife ?Mais il est ferme et solide, sa Foi ne s'Ă©branlera pas. Lui aussi, souvent, il pense au martyre, il y pense comme vous, enfants de la Croix, qui pensez Ă faire la Sainte VolontĂ© de Dieu. Les rochers se frapperont les uns contre les autres les pierres la fureur de l'orage, qu'aurez-vous Ă faire ?Attendre, prier et faire ce que Dieu veut. Aimons Dieu de tout notre cĆur, servons Dieu fidĂšlement, servons-Le Ă travers les obscuritĂ©s qui se trouvent en nous, servons-Le malgrĂ© les tĂ©nĂšbres oĂč Dieu nous laisse et oĂč Il nous faut marcher, servons-Le quand mĂȘme. Quand mĂȘme la lumiĂšre de vos Ăąmes serait absolument Ă©teinte, ne perdez pas courage, traversez tous les pĂ©rils, affrontez les dangers et Dieu vous comblera de Ses grĂąces et de Ses consolations. Qui peut nous rendre heureux sur la terre, si ce n'est la paix de Dieu qui vit en nous, qui travaille en nous, qui prie en nous ? Sans cette Paix, l'homme devient comme un damnĂ©, il court et se prĂ©cipite dans le premier gouffre qu'il rencontre, parce que c'est le ravage que font en lui ses amours dĂ©rĂ©glĂ©s. VoilĂ pourtant ce qui se produit dans bien des conserver la paix, il n'y a qu'une chose Ă faire, c'est de dire ce que Dieu veut, c'est d'obĂ©ir Ă la VolontĂ© de Dieu, c'est de ne rien rechercher dans la crĂ©ature humaine. On trouve tout en Dieu, puisqu'il est le TrĂ©sor de Dieu, aimons Dieu, cherchons Dieu et fuyons cet amour du monde, puisque c'est par la Croix qu'on parvient au bonheur et Ă la nos croix, portons-les sans rougir, puisque c'est la Croix qui nous procurera un jour le bonheur de voir Dieu, de Le comprendre et de L'aimer. Portons la Croix. Il y a des croix partout ! Le bonheur d'aimer la Croix nous procure dĂšs cette vie, une dĂ©licieuse attente du bonheur de voir et de possĂ©der Dieu a-t-il plus aimĂ© que sa Croix ? Rien. Elle a Ă©tĂ© Son partage, elle a Ă©tĂ© Son TrĂŽne de douleur. Il L'a choisie parce qu'il a voulu que tous Ses enfants fussent hĂ©ritiers de Sa Croix, Son TrĂ©sor. VoilĂ pourquoi nous sommes appelĂ©s les enfants de la Croix, les hĂ©ritiers de pour l'Ăglise menacĂ©e par un complot, tramĂ© par la jalousie affreuse des esprits pervertis des bandes rĂ©unies pour la tempĂȘte sera terrible, mais l'Ăglise restera infaillible et ses murs ne seront point il y aura des martyrs... Prions pour l'Ăglise et demandons Ă Dieu le retour d'une famille Ă©garĂ©e, d'un peuple corrompu, d'une sociĂ©tĂ© dĂ©gradĂ©e. Tous sont nos frĂšres en Notre-Seigneur. Ce sont des Ăąmes rachetĂ©es au prix de Son souhaite la force et le courage aux victimes et aux amis de Dieu. AprĂšs avoir portĂ© la croix sur la terre, notre rendez-vous Ă©ternel se trouvera dans la Gloire. C'est lĂ que nous reverrons. + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2208 + + + + + 1878-09-XX Je ne trouverai aucune puissance capable d'ĂȘtre unie Ă mon Divin CĆur. Ne compte pas sur les hommes pour sauver cette France car le nombre des bons sera si faible, si petit, que leurs voix seront sans doute bonnes et leurs dĂ©sirs admirables pour la bonne cause, mais quand ils voudront parler, le grand nombre, plus fort, Ă©touffera leurs voix l'Ă©poque oĂč Je sauverai mon peuple, ce ne sera par aucune puissance des hommes, mon CĆur Divin seul sauvera ce royaume qui ne sera plus qu'un dĂ©sordre honteux oĂč l'impiĂ©tĂ© rĂ©gnera en plein Je Me plains aux Ăąmes de ma tendresse et ma plainte M'apporte un baume. Je Me plains et ma plainte M'apporte une rĂ©paration, une rĂ©paration qui adoucit le passage des crimes si traĂźtres qui M'ont tant dĂ©chirĂ©. ». + + + + + 1878-09-29 Saint-Michel dit Ă Marie-Julie Des scandales passeront sous vos yeux. Priez seulement et invoquez la MisĂ©ricorde Divine. Il faut vous attendre Ă tout. Le cĆur de l'Ăglise n'est plus qu'une plaie sanglante. Elle ne rĂ©clame que la conversion des malheureux le crime est portĂ© jusqu'au pied des Autels... Le Seigneur est offensĂ© par ceux qui devraient Le servir. Il y a une loi Ă laquelle on veut en venir. Les ministres de Dieu seront poursuivis. Ils seront dĂ©valisĂ©s, dĂ©pourvus de tout ce qui leur est absolument nĂ©cessaire. Viendra le temps oĂč on les forcera de se vĂȘtir comme lâhomme ordinaire pour Ă©chapper Ă lâinfernale cruautĂ© de leurs ennemis veulent que lâĂ©glise soit le théùtre de danses infernales. VoilĂ ce Ă quoi ils visent, et cela sera, trop malheureusement, surtout dans ces villes oĂč la Foi est dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e. Il y aura mĂȘme des prĂȘtres qui nâauront pas le courage de dĂ©fendre la religion. Câest pour Dieu, la peine la plus dĂ©chirante. Câest la cĂ©lĂ©bration des MystĂšres de la Sainte Religion qui fait enrager le plus ces ennemis. Ils offriront de lâargent Ă ceux qui quitteront lâĂglise. Le Seigneur voit tout le mal qui veut triompher, il voit Satan faire ses tentes sur la terre et rassembler ses amis pour achever le dernier effort de renversement. Jamais une Ă©poque ne fut si terrible, mais nâen soyez pas effrayĂ©s ! Je marcherai sur la ligne droite avec vous. Je marcherai de cette ligne de la France sur Rome avec mon Ă©pĂ©e flamboyante...Je viens exterminer les impies par ordre du au Christ et mort Ă lâĂglise ! voilĂ ce quâils chantent, les impies !Ce sont les justes qui prolongent lâexistence des malheureux. Sans leurs priĂšres, lâheure de Dieu ne serait plus le Saint Sacrifice de la Messe qui apaise la colĂšre irritĂ©e du Seigneur. » JĂ©sus dit Ă Marie-Julie L'Eglise sera privĂ©e de son chef suprĂȘme qui maintenant la gouverne. Les vestiges du Saint Pontife prĂ©sent doivent disparaĂźtre. L'empreinte de ses pieds au saint autel sera rĂ©duite en cendres par les flammes de l'enfer. Le chef de l'Eglise sera outrageusement outragĂ© ». On attentera fortement Ă sa vie et, s'il n'est pas martyr par la main des barbares, c'est que Dieu fera pour lui un Ă©clatant miracle. ... Jamais, jamais tempĂȘte n'aura Ă©tĂ© aussi forte contre aucun autre pontife. Il est dĂ©jĂ martyr avant de subir le martyre ; il souffre avant que l'heure n'ait sonnĂ©. Mais il offre sa personne et le sang de ses veines pour tous ses bourreaux et pour ceux qui attentent terriblement Ă sa vie. Que d'exils Ă souffrir ! » L'auguste Pontife doit lui aussi souffrir toutes sortes de tourments. Vos voix ne seront-elles pas suppliantes pour celui qui sera dans les fers, entourĂ© d'ennemis ? Ses fers seront bien plus pesants que ceux de l'auguste victime qui vient d'ĂȘtre moissonnĂ©e. Ils dĂ©sireront sa mort puisqu'ils veulent la ruine de l'Ăglise Catholique ». LâAuguste Vicaire nâattend plus quâun miracle, ainsi que tous ses enfants de la Foi. Sans ce Miracle, rien ne peut se faire, rien ne peut rentrer dans le jour de la paix profonde. " Saint Michel annonce ` Jamais, jamais tempĂȘte n'aura Ă©tĂ© aussi si forte contre un autre Pontife. II est dĂ©jĂ martyr avant de subir le martyre ; il souffre avant que l'heure n'ait paru. Mais il offre sa Personne et le sang de ses veines pour tous ses bourreaux, et pour ceux qui attentent terriblement Ă sa vie. Que d'exils Ă souffrir ! ». Le Seigneur voit tout le mal qui veut triompher, il voit Satan faire ses tentes sur la terre et rassembler ses amis pour achever le dernier effort de renversement. Jamais une Ă©poque ne fut si terrible, mais nâen soyez pas effrayĂ©s ! Je marcherai sur la ligne droite avec vous. Je marcherai de cette ligne de la France sur Rome avec mon Ă©pĂ©e flamboyante... Je viens exterminer les impies par ordre du Seigneur... Guerre au Christ et mort Ă lâĂglise ! voilĂ ce quâils chantent, les impies ! Ce sont les justes qui prolongent lâexistence des malheureux. Sans leurs priĂšres, lâheure de Dieu ne serait plus suspendue. Câest le Saint Sacrifice de la Messe qui apaise la colĂšre irritĂ©e du Seigneur ». En marchant sur la France, dit saint Michel, nous accomplirons notre devoir. Quand la paix y sera rĂ©tablie en France par l'arrivĂ©e du Roi et le rĂšgne de Dieu commencĂ©, nous marcherons sur Rome, puisque la France doit se dĂ©vouer Ă la dĂ©fense du Saint-SiĂšge » Amis de Dieu quand la paix sera rendue ici, vous ne serez pas quittes. Lâauguste Pontife doit, lui aussi, souffrir toutes sortes de tourments, votre foi ne lui prĂȘtera-t-elle pas alors votre secours ? Vos voix ne sâĂ©lĂšveront-elles pas, suppliantes ?Ses fers seront plus pesants que ceux de lâauguste victime qui vient dâĂȘtre moissonnĂ©es Pie IX. Les ennemis de la France dĂ©sireront aussi sa mort, puisquâils voudront aussi la ruine de lâEglise que lâexil rĂ©serve, câest lui qui marchera sur la ville Ăternelle Rome, avec les braves combattants qui lâauront assistĂ©. Lâauguste victime nâattendra plus quâun miracle. Sans ce miracle, rien ne pourra rentrer dans la paix profonde ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2209 + + + + + 1879-09-29 Marie-Julie, stigmatisĂ©e portait sur la poitrine une inscription stigmatique en croix de Saint AndrĂ© DĂ©livrance du Saint PĂšre. Triomphe de la Sainte Ăglise ». Saint Michel qui doit continuer sa mission en protĂ©geant lâEglise, aprĂšs le sang du Roi, lâadjure de dĂ©livrer le Pape, aux mains des sans-Dieu Amis de Dieu quand la paix sera rendue ici, vous ne serez pas quittes. Lâauguste Pontife doit, lui aussi, souffrir toutes sortes de tourments, votre foi ne lui prĂȘtera-t-elle pas alors votre secours ? Vos voix ne sâĂ©lĂšveront-elles pas, suppliantes ? Ses fers seront plus pesants que ceux de lâauguste victime qui vient dâĂȘtre moissonnĂ©es Pie IX. Les ennemis de la France dĂ©sireront aussi sa mort, puisquâils voudront aussi la ruine de lâEglise catholique. Celui que l'exil rĂ©serve Henri V de la Croix, c'est lui qui marchera sur la Ville Ăternelle, avec les braves combattants qui l'auront assistĂ©. L'Auguste victime le Pape, le lien de la foi serait encore en prison avant que l'annĂ©e ne soit Ă la moitiĂ© ». L'auguste Pontife doit lui aussi souffrir toutes sortes de tourments. Vos voix ne seront-elles pas suppliantes pour celui qui sera dans les fers, entourĂ© d'ennemis ? Ses fers seront bien plus pesants que ceux de l'auguste victime qui vient d'ĂȘtre moissonnĂ©e. Ils dĂ©sireront sa mort puisqu'ils veulent la ruine de l'Ăglise Catholique ». Attendez-vous Ă tout⊠sans frayeur, ni abattement, ni dĂ©gradation de la Foi ». LâAuguste Vicaire nâattend plus quâun miracle, ainsi que tous ses enfants de la Foi. Sans ce Miracle, rien ne peut se faire, rien ne peut rentrer dans le jour de la paix profonde ». Saint Michel Le Seigneur voit tout le mal qui veut triompher, il voit Satan faire ses tentes sur la terre et rassembler ses amis pour achever le dernier effort de renversement. Jamais une Ă©poque ne fut si terrible, mais nâen soyez pas effrayĂ©s ! Je marcherai sur la ligne droite avec vous. Je marcherai de cette ligne de la France sur Rome avec mon Ă©pĂ©e flamboyante... Je viens exterminer les impies par ordre du Seigneur... Guerre au Christ et mort Ă lâĂglise ! voilĂ ce quâils chantent, les impies ! Ce sont les justes qui prolongent lâexistence des malheureux. Sans leurs priĂšres, lâheure de Dieu ne serait plus suspendue. Câest le Saint Sacrifice de la Messe qui apaise la colĂšre irritĂ©e du Seigneur ». + + + + + 1880-01-07 Le projet des ennemis de lâĂglise serait de faire sâĂ©lever un grand bruit de ces voix qui sortent des instruments qui parlent MĂ©dias et Internet, maniĂ©s par les hommes qui seront au pouvoir de lâEnfer ! »Chose Ă©tonnante lorsque lâon sait que la premiĂšre frĂ©quence-radio fut prĂ©cisĂ©ment 666 !... + + + + + 1880-01-11 BientĂŽt il n'y aura plus d'Ă©tables, plus de berceaux, plus d'Ă©glises vivantes l'Eglise n'aura plus sa voix, qui, aujourd'hui encore, parle bien haut. Le lien de la Foi le Pape boira bientĂŽt dans l'exil l'amertume d'un long et douloureux martyre. Son cĆur saisi d'angoisse ne vivra, pour ainsi dire, plus dans sa personne ; il offrira tout pour ses enfants, pour son troupeau et pour son Eglise infaillible ». + + + + + 1880-01-12 Mes enfants, dit la sainte Vierge, je ne retirai point mon amour de la terre. Je l'y laisserai avec vous ; j'y serai continuellement... Je viendrai vous apporter des marques Ă©clatantes de mon extrĂȘme amour, surtout aux petits enfants dont l'innocence et la beautĂ© me charment. Ces bouches, dont il sortira un parfum de candeur, vous les entendrez, ces innocentes, redire la beautĂ© de mon visage... Oui, mes enfants, en ces derniers temps - encore qu'ils soient Ă©loignĂ©s de la fin qu'on nomme Fin des Fins de la terre, c'est-Ă -dire Fin de toute Existence mortelle - comprenez-moi bien, en ces derniers temps, la terre sera tĂ©moin de grands et Ă©clatants prodiges, surtout dans le ciel ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2209 + + + + + 1880-04-26 Les prodiges de la Croix Je vois, dans le soleil, quâun prodige Ă©clatant est rĂ©servĂ© pour notre France, au plus fort du dĂ©luge infernal, pendant que la terreur dĂ©chirera ce qui fait le bonheur du chrĂ©tien La Sainte Eucharistie. Ce prodige se fera par la puissance de la Croix. Au moment oĂč lâenfer se dĂ©chaĂźnera, en ce moment et au milieu de notre patrie, il sâĂ©lĂšvera en face des ennemis, devant lâarmĂ©e de Satan, une Croix de bois trĂšs simple, portant attachĂ© le Fils de Dieu. Je vois que la premiĂšre part de cette Croix miraculeuse prendra une forme ronde avec les bras Ă©gaux. Au-dessus, un calice dâoĂč sâĂ©chapperont quelques gouttes de sang qui la rendront vermeille. A ce moment, les justes, noyĂ©s dans lâamertume, entendront les paroles qui se chantent avant lâĂ©lĂ©vation de lâHostie entre les mains du prĂȘtre Saint, Saint, Saint est le Dieu des armĂ©es. Ces paroles seront entendues dâune multitude de justes. Ce touchant spectacle aura pour but de ramener les Ăąmes au Seigneur. La seconde part formera la Croix telle que nous la connaissons dans sa forme entiĂšre. Elle portera le Divin CrucifiĂ© tournĂ© vers la terre. La troisiĂšme partie miraculeuse est rĂ©servĂ©e pour le temps oĂč le Saint Sacrifice de lâautel sera suspendu. Alors le Saint Tabernacle sera dĂ©sert. Si les ministres du Seigneur, dans la dĂ©tresse et les angoisses, demandent Ă cette troisiĂšme parcelle un lieu de protection pour cĂ©lĂ©brer les augustes mystĂšres, une lumiĂšre sera dans lâĂąme des prĂȘtres pour les conduire Ă un lieu de protection. Je vois que cet effet merveilleux gagnera quelques Ăąmes au Seigneur, mais en nombre bien faible. Les Ăąmes, dans leur plus grande partie, sâirriteront devant ce fait de grĂące, qui montre que le Seigneur les poursuit. [âŠ] Je vois que la charitĂ© et la dĂ©licatesse ne sont pas complĂštes. Lâennemi jette son grain maudit la jalousie. Cela dĂ©plaĂźt grandement au Seigneur, et retarde de grandes choses. La vertu vraie sâenferme dans lâĂ©tui de lâhumilitĂ©. La vertu parfaite doit toujours conserver sa douceur et toujours sâexcuser ce qui paraĂźt faute du cĂŽtĂ© de nos frĂšres ». + + + + + 1880-05-04 Pendant la douleur qui fera fuir les habitants de la Ville Ă©ternelle, plusieurs ministres du Seigneur, dĂ©sirant mourir pour la Foi, se rĂ©fugieront dans un Temple qui ne touche pas le sanctuaire du Vatican, mais qui en est le plus rapprochĂ© et Ă sa droite. Ăglise du Transtevere ? Sous leurs yeux demeurera un Crucifix de moyenne grandeur. Des cinq Plaies du Crucifix jailliront, Ă la fois, cinq flots de sang. Ce Sang jaillira si fort que deux Anges, dont la forme ne sera pas vue, le recueilleront dans deux calices qui seront vus, entourĂ©s dâune aurĂ©ole. Je vois aussi que les chaĂźnes de Saint Pierre seront portĂ©es invisiblement et miraculeusement, au Christ qui laissera jaillir Son Sang. Ce miracle se fera pour toucher les cĆurs impies, et desserrer un moment les liens du PĂšre Commun des fidĂšles, qui sera sous les coups de ces cĆurs sans pitiĂ©. Les deux calices, oĂč le Sang du Sauveur aura Ă©tĂ© recueilli, seront dĂ©posĂ©s, par les Anges, sur le grand autel oĂč le Saint-PĂšre cĂ©lĂšbre chaque jour le Saint Sacrifice. Personne ne pourra gravir les marches de cet Autel. Ă une heure de la nuit, heure de lâAgonie au jardin des Olives, le PĂšre des fidĂšles, pieds nus et accompagnĂ©s dâapĂŽtres qui lâaiment et qui sont aimĂ©s de lui, par privilĂšge, montera Ă lâAutel oĂč se trouvent les deux calices. Il ne pourra gravir ces marches, sans verser un torrent de larmes et sans ĂȘtre saisi dâun infini respect. Cet Autel sera le sien, comme Il fut celui de Pie IX... Il verra, Ă©crit dans le Sang du calice de gauche Courage, trĂšs Auguste Pontife, le sang des Français, qui sont aussi tes enfants, vient sâoffrir jusquâĂ la mort pour ta dĂ©fense ».Je vois le saint Pontife boire une goutte de Sang, de lâautre calice, de celui oĂč il nây a rien dâĂ©crit. Ce Sang le rendra conforme Ă son Sauveur mourant en Croix ». + + + + + 1880-06-03 Notre Seigneur annonce Je vois que, pendant un temps assez long, tout Saint-Sacrifice sera interdit. Les Ă©glises deviendront un refuge pour les animaux ; elles serviront de salles de plaisir oĂč lâEnfer viendra danser avec, pour chant, des blasphĂšmes ».+ + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2210 + + + + + 1880-06-28 La Sainte Vierge nous met en garde Mes enfants, faites attention Ă mes paroles... A partir des annĂ©es 80 1980, Satan fera beaucoup de rĂ©vĂ©lations ... ». En ces annĂ©es, dit Satan, je ferai beaucoup de rĂ©vĂ©lations. Il sera impossible de dĂ©masquer mon langage. Jâimiterai trop bien toutes les paroles du Christ et Ses rĂ©vĂ©lations. En chargeant ces Ăąmes, je veux perdre beaucoup de prĂȘtres pieux, les Ă©garer profondĂ©ment dans toutes ces choses. Je veux en perdre aussi beaucoup qui ne sont pas prĂȘtres. Si je ne parviens pas Ă perdre ces Ăąmes, je perdrai au moins leur rĂ©putation ; je les ferai charger de lourdes calomnies ; je les ferai dĂ©noncer jusque devant les conseils des lois humaines ». + + + + + 1880-07-07 JĂ©sus annonce L'Ăglise sera privĂ©e de son Chef qui la gouverne maintenant. Les vestiges du saint Pontife prĂ©sent doivent disparaĂźtre. L'empreinte de ses pieds au saint autel sera rĂ©duite en cendres par les flammes de l'enfer. Le chef de l'Ăglise sera outrageusement outragĂ© ! » + + + + + 1880-08-10 Si le Martyr prisonnier fait appel par la voix de ses amis et dĂ©fenseurs, il sera dĂ©fendu, sous peine de mort, quâaucun de ce royaume ne vole Ă son appel... Le Seigneur va souffrir Lui-mĂȘme une seconde Passion. Mais cette seconde Passion - il nây en a quâune seule pour Lui â ce sera une Passion pour ceux qui Le remplacent et Le reprĂ©sentent. Pour les Ăąmes Il laisse faire ce qui a Ă©tĂ©, autrefois, fait pour Lui ; ce sera une Passion pour ceux qui commandent dâune digne autoritĂ©.., pour tous ceux qui viennent aprĂšs la Victime enchaĂźnĂ©e dans les chaĂźnes de Pierre, martyr pour la cause du Seigneur. Cardinaux, ĂvĂȘques Toutes les autoritĂ©s devront subir cette Passion sur leur siĂšge paternel. Ils devront prendre la fuite pour se dĂ©rober aux poursuites acharnĂ©es, poursuites fĂ©roces. LâĂglise doit voir son Chef sous la haine vengeresse. Le temple de Dieu doit ĂȘtre dĂ©sert. Au commencement les ministres du Seigneur pourront, malgrĂ© les menaces, obĂ©ir aux lois de leur saint ministĂšre. Ce sera de force quâils seront traĂźnĂ©s hors du Temple. Puis lâordre viendra de s enfuir rapidement. La vengeance de lâenfer fera monter aux autels les plus infĂąmes de tous les hommes possĂ©dĂ©s. Ils prendront la place des vrais serviteurs du Seigneur. Tout sera contre la Foi et contre les lois saintes dans leurs cĂ©rĂ©monies. La loi obligera les parents Ă laisser pervertir leurs enfants. Ces sacrilĂšges dureront 44 jours. Beaucoup de chrĂ©tiens subiront le martyre. Ces forfaits seront suivis, de prĂšs, de la vengeance du Seigneur. » + + + + + 1880-08-30 Je vois quâau moment oĂč le Seigneur montĂ© au Ciel, prit possession de son Royaume Ăternel, Ă ce moment, lâenfer devint le Royaume de lâEnnemi. Le Seigneur sâempara de son royaume terrestre et dit " Je suis Ă©tabli Roi Ăternel. " Satan, furieux, cherche quelque dĂ©tour pour Ă©tendre malicieusement sa puissance. Il demande un partage. Le Seigneur lui dit " Tu Me seras soumis, tu ne feras que ce que te permettra la Loi Ăternelle... Je te laisse le pouvoir de tenter tous les hommes, de les faire souffrir jusquâĂ une certaine mesure, mais Je serai prĂ©sent... Au commencement, tu ne feras pas beaucoup de prodiges ; ils te serviront Ă faire le mal. Je te laisse permission de tenter Mon peuple, mais Je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine, ni celle de figures vĂ©ritables. " Satan dit " Je transformerai tout en outil de travail contre Vous, je mettrai la rĂ©volte, la guerre, la division partout. Je renverserai le temple de Vos priĂšres ; jây Ă©tablirai des idoles quâon adorera. Jây briserai tout. " JĂ©sus dit " JâĂ©craserai sous la foudre du Ciel, tous ceux qui te seront donnĂ©s pour lâenfer. Je rĂ©tablirai Mon peuple ; Je le prĂ©serverai des flĂ©aux ; Je relĂšverai les ruines. Je te prĂ©cipiterai dans lâabĂźme, mais seulement aprĂšs que tu auras usĂ© des pouvoirs que Je te laisse pour le moment... Pendant les tĂ©nĂšbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup dâĂ©garĂ©s reviendront Ă Moi par le repentir. » Alors quâils sont sur le point de se sĂ©parer, pour rentrer chacun dans son royaume, Satan demande le pouvoir de prendre toutes les formes, afin de passer partout. - Je te laisse permission de tenter mon peuple, rĂ©pond le Seigneur, mais je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine ni celle de figures vĂ©ritables. Satan sâavise de vouloir tutoyer le Seigneur. - Respecte-moi, au nom de mon Ăternelle Oui, reprend Satan, un jour, loin de ce jour oĂč nous sommes, vous semblerez me dire que je suis un puissant conquĂ©rant. Vous ne mettrez point de bornes aux ravages dont, dĂ©jĂ , le dĂ©sir me dĂ©vore. Marie-Julie demande Ă la Flamme du Saint-Esprit si lâĂ©poque est fixĂ©e, oĂč Satan doit rĂ©gner en si grand maĂźtre. La Flamme rĂ©pond quâelle est fixĂ©e dans les desseins du Seigneur et que le DĂ©mon en pressent le moment, sans le connaĂźtre exactement. " Câest celle oĂč vous ĂȘtes maintenant, enfants de Dieu " dit la Flamme. Satan continue. - Au commencement de ce temps, dit-il, jâuserai de tout blasphĂšme et de toute chose injuste pour la destruction de votre Royaume. Je transformerai tout en outil de travail contre vous. Dâabord je creuserai ce lieu oĂč le plus grand nombre habite. - Vous nâignorez pas quel il est, dit la Flamme je creuserai ce lieu sur lequel vous ferez tomber la foudre. Vous dĂ©truirez le premier, et, moi aprĂšs vous, jâachĂšverai tout ; je ferai un dĂ©combre tel quâil nâen a jamais existĂ©. - Je couvrirai les miens dâune protection de tendresse, dit le Seigneur. - Je jetterai une rĂ©volte entre les vĂŽtres et les miens, reprend Satan ; je soulĂšverai tous les rois ; je mettrai une division qui conduira Ă une guerre civile dans tout lâunivers. - De mon cĂŽtĂ©, continue le Seigneur, jâenverrai ma Justice des punitions, des miracles, des morts, des flĂ©aux, des pestes, des maladies inconnues. - Je renverserai le temple de vos priĂšres, clame Satan ; jây Ă©tablirai des idoles quâon adorera. Tout ce qui, en temps de paix, rĂ©side dans vos temples sera brisĂ©, traĂźnĂ© dehors, rĂ©duit en poussiĂšre par les miens. - Je montrerai, affirme le Seigneur, que je suis le Roi Ăternel. JâĂ©craserai, sous la foudre du ciel, tous ceux qui te seront donnĂ©s pour lâenfer. Je rĂ©tablirai mon peuple ; je le prĂ©serverai des flĂ©aux ; je relĂšverai les ruines. Je te prĂ©cipiterai dans lâabĂźme, mais seulement aprĂšs que tu auras usĂ© des pouvoirs que je te laisse pour le Flamme dit que la douleur est prĂšs dâentrer dans les cĆurs et lâEnfer prĂȘt Ă entonner le grand chant de sa victoire. » + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2210 + + + + + 1880-09-06 La suppression de la sonnerie des cloches et des enterrements religieux sera demandĂ©e... Ils effaceront tout souvenir de religion premiĂšre et ils instruiront profondĂ©ment dans une religion impie ⊠» + + + + + 1880-09-20 Marie-Julie demanda Ă quelle Ă©poque Satan devait rĂ©gner en maĂźtre. La flamme du Saint Esprit lui rĂ©pondit - Câest celle oĂč vous ĂȘtes maintenant, enfants de Dieu. Si les justes nâavaient pas redoublĂ© de priĂšres, surtout en Ă©gard des justices annoncĂ©es depuis des siĂšcles, la Main du Seigneur se serait appesantie sur tout son peuple, et les plus grandes Ă©preuves auraient depuis longtemps visitĂ© Ses enfants. » + + + + + 1880-09-29 Je contemple le grand Archange Saint Michel sur son trĂŽne magnifique de gloire qui luit et qui rayonne d'un cĂ©leste Ă©clat. Le Saint Archange dit - Je viens aujourd'hui au nom du Seigneur par son ordre et sa volontĂ© Ă©ternelle. Je viens parler au cĆur des amis de mon Divin MaĂźtre et leur apporter une parole qui est celle du Seigneur comme tous les ans. - Merci Saint Archange, mille fois ! - VoilĂ , dit-il, en montrant le SacrĂ©-CĆur de JĂ©sus qu'il porte lui-mĂȘme, la porte de ce Divin CĆur est ouverte, elle est si large et si grande qu'on peut entrer tous Ă la fois. VoilĂ , chers amis du Divin CĆur, la porte du refuge ouverte, la prison d'amour pour abriter tous ses enfants qu'Il veut conserver au milieu de l'orage. - Merci Saint Archange. - VoilĂ une Ă©pĂ©e flamboyante, Ă©clatante, je viens en faire part aux amis du SacrĂ©-CĆur, leur offrir cette Ă©pĂ©e pour le combat car l'heure n'est pas Ă©loignĂ©e oĂč vous tous, peuples fidĂšles, il faudra prendre les armes de la foi et du courage pour lutter contre l'implacable acharnement de l'enfer et de la vengeance des hommes. Je mets, par ordre du Seigneur, mon Ă©pĂ©e Ă votre service sans la quitter. Il dit encore Mes amis du SacrĂ©-CĆur, je descends avec vous, votre compagnie est celle de JĂ©sus, vous ĂȘtes des soldats gĂ©nĂ©reux et vaillants. Le Seigneur me charge de vous dire Ă tous, cette parole Tenez-vous prĂȘts vaillants serviteurs de Dieu car le Divin MaĂźtre ne va pas tarder Ă venir premiĂšrement dans sa MisĂ©ricorde, secondement dans sa juste colĂšre et vengeance. Il veut que je dise cette parole Ă ses amis prĂ©sents et j'ai fait mon devoir. - Merci Saint Archange. - VoilĂ cette Ă©pĂ©e que je dĂ©lĂšgue aux amis du Seigneur, voilĂ la mienne, elles se ressemblent, elles portent toutes les deux le cachet du Seigneur ; c'est le Nom de JĂ©sus Ă©crit sur la lame bien gravĂ©. Chers amis du Seigneur, nous voilĂ donc sur le seuil de la MisĂ©ricorde et sur le seuil de la justice du Seigneur. - VoilĂ la porte que le Seigneur a rĂ©servĂ© pour ses amis, voilĂ l'autre voie qui est celle des malheureux que le ciel menace de foudroyer de sa colĂšre. VoilĂ l'heure oĂč nous allons tous combattre pour ĂȘtre tĂ©moin de choses que l'Ćil n'a jamais vues, jamais oreilles mortelles n'a entendues ce que le Seigneur rĂ©serve pour le temps Ă passer sur la terre. - Saint Archange, vous ĂȘtes tout puissant, prenez donc la dĂ©fense de ces pauvres malheureux ! - Ils vont lever, dit-il, l'arme criminelle, ignoble et perfide contre Dieu et ses ministres ; ils vont lever l'Ă©tendard frĂ©missant sous cet Ă©tendard, ils vont envelopper celle que la Sainte vierge a tant aimĂ©e, pour qui Elle a pris tant de peine. - Pas toute, Saint Archange, de son arbre, il restera encore quelques branches par oĂč l'Ă©tendard de l'enfer ne passera pas. - Oui, dit l'Archange, en plusieurs parties de ce pauvre Royaume, plusieurs protections sont Ă©crites dans le CĆur adorable. VoilĂ ce CĆur qui va tomber en lambeaux, sur la Croix, il sera percĂ© par la lance criminelle des hommes, il sera, il va ĂȘtre profanĂ©. Prochainement le cĂŽtĂ© du Seigneur sera ouvert et le Sang Divin coulera avec abondance et ses gouttes se rangeront parmi celui de ses victimes qui tomberont sous l'instrument des meurtriers. - Oui, ce royaume est le royaume du meurtre, du crime, de toutes sortes d'hypocrisies et d'injustices. Son beau nom est perdu mais un seul homme est destinĂ© pour lui rapporter et le faire fleurir comme autrefois, Saint Louis. - Saint Michel Archange, dites donc au Seigneur qu'Il les arrĂȘte dans leur dĂ©cision et qu'Il ne permette pas tant de crimes sous les yeux de ses enfants bien aimĂ©s. - Depuis le jour oĂč Lucifer fut prĂ©cipitĂ© dans l'AbĂźme, depuis, cette Ă©poque est Ă©crite dans le SacrĂ©-CĆur, l'Ă©poque prĂ©sente qui suit une marche effroyable, oui, sans l'espoir du SacrĂ©-CĆur, mortelle sans l'espĂ©rance de la Puissance Ă©ternelle. Je te dis que l'Ă©poque de cette annĂ©e et de la prochaine, est Ă©crite en gros caractĂšres dans le CĆur affligĂ© de JĂ©sus et de son auguste MĂšre. - Saint Michel, si tous ceux qui veulent la guerre au Seigneur, s'Il les convertissait, elle n'existerait pas. - Il faut qu'elle passe, elle est proche, ils remuent, ils complotent, ils trament sourdement et dĂ©cident leur marche. Ils la fixent pour bien peu de temps, soyez sĂ»rs, chers amis de la Croix que l'enfer ne va pas se reposer dĂ©sormais. Il n'y a presque plus que deux jours de repos pour lui. Pour elle, ce n'est pas un repos mais c'est encore du calme et ensuite ils vont commencer leur horrible projet et ils vont sans mesure, sans retard, commencer leurs affreuses, leurs cruelles vengeances, ils attaquent tout, pas une seule chose, ne leur Ă©chappe. Ce mois qui s'Ă©coule, puisque nous voilĂ Ă la fin, le Seigneur avait dit cette parole Ă Satan " Tu ne bougeras pas, tu ne te montreras pas plus que moi par ta puissance, Je te tiens encore enchaĂźnĂ©. " Saint Michel dit que Satan rĂ©pondait au Seigneur " Mes chaĂźnes seront libres Ă la fin de ce mois, vous me laisserez la libertĂ© et je vais entrer comme un grand conquĂ©rant d'abord dans le Royaume menacĂ© qui pĂ©rira. " Le Seigneur lui dit alors - Il pĂ©rira beaucoup, il en pĂ©rira beaucoup mais beaucoup seront sauvĂ©s et auront un abri sous la Croix et dans mon CĆur. A ces mots, Satan, blasphĂ©mant devant le Seigneur et lui jurait une haine plus que jamais infernale. Saint Michel dit que Satan vomissait sa rage devant Notre-Seigneur en lui disant - J'attaquerai l'Ăglise, je renverserai la Croix, je diviserai le peuple, je dĂ©poserai dans le cĆur un grand affaiblissement de la foi et il y aura un grand reniement. Il finit par dire au Seigneur - Je deviendrai pour quelque temps, le MaĂźtre suprĂȘme de toutes choses, j'aurai tout sous mon empire, mĂȘme votre temple et les vĂŽtres tout entiers. Saint Michel dit que Satan aura aussi une permission pour quelque temps de tout et qu'il rĂšgnera pleinement sur toutes choses que fait le bien, la foi, la religion, tout descendra dans le tombeau d'un deuil profond. Satan et les siens triompheront joyeusement mais aprĂšs ce triomphe le Seigneur prendra le sien Ă son tour. Il triomphera du mal et fera sortir du tombeau, l'Ăglise ensevelie, la croix anĂ©antie, les priĂšres en apparence disparues, tout le peuple consternĂ© sous l'empire des massacres mais le Seigneur fera sortir le soleil qui console aprĂšs qu'il aura Ă©tĂ© obscurci. Il est impossible, sans un miracle Ă©clatant du ciel que le pauvre peuple français soit sauvĂ©, car tout ce pauvre royaume est descendu aux derniĂšres limites de la honte et du mal, un mal sans remĂšde. Saint Michel dit - Je tiens mon Ă©pĂ©e car l'heure du combat va sonner, la voix de Dieu va parler, la vengeance des hommes va Ă©clater. Je serai du cĂŽtĂ© des justes, je marcherai avec eux sous l'Ă©tendard du SacrĂ©-CĆur, nous nous rencontrerons avec l'Ă©tendard de l'enfer, lequel des deux triomphera ? Le nĂŽtre tombera Ă terre mais nous le tiendrons tout de mĂȘme. Celui de l'enfer ne bronchera pas, il sera levĂ© quand le nĂŽtre sera prosternĂ© et autour sont les enfants du Seigneur que sa grĂące veut protĂ©ger. - Saint Michel, tous nos chers amis qui sont sur la terre, j'en avons ben loin, il y en a un bien prĂšs aujourd'hui, je veux que vous disiez avant de vous en aller car je ne vous reverrai peut-ĂȘtre plus ? - Ne t'inquiĂšte pas, je saurai, du haut du ciel, marcher sur les remparts de la grĂące jusqu'Ă leur demeure et les protĂ©ger de mon Ă©pĂ©e flamboyante. Sois tranquille, ils sont un bon nombre destinĂ© pour publier les merveilles du Seigneur. Vois-tu qu'ils ne pĂ©riront pas ? - Je veux que vous me disiez autre chose, je sais, voici un secret, je sais que vous en avez un, je l'ai vu mais je n'ai pas vu dedans, dites-moi l'intĂ©rieur. - Vois, ils auront une spĂ©ciale protection puisque tous, de prĂšs et de loin, doivent assister Ă la magnifique plantation de la Croix, mon secret tout entier, cette croix sera bĂ©nite Ă l'Ă©glise paroissiale, les amis, tes frĂšres la porteront de l'Ă©glise jusque dans ce lieu sur leurs Ă©paules, prĂ©sidĂ©s par un bon nombre d'Ă©clatants personnages dont la hauteur et la grandeur fait voir que plusieurs viennent de la Ville Ăternelle. - Mais ils seront bien lassĂ©s, Saint Archange car il y a bien loin. - Jamais lassitude dans un aussi beau cortĂšge, jamais lassitude quand on marche sous l'harmonie des cantiques et des priĂšres, voilĂ mon secret. - Je le savais bien un petit, mais pas tout. - Chers amis du Seigneur, aprĂšs que l'Ă©tendard de l'enfer aura triomphĂ© quelques mois, l'Ă©tendard du Seigneur se relĂšvera Ă son tour pour aussi triompher mais encore il retombera. Et dans la seconde reprise, l'effet sera si grand que la plus grande partie du peuple vivra comme autrefois sans prĂȘtres, sans messes, sans rĂ©ception du Divin CĆur adorable. - O Saint Archange, c'est tout de mĂȘme bien triste ! - J'affirme qu'il n'y a jamais eu d'Ă©poque pareille malgrĂ© que bien des angoisses ont passĂ© sur la terre, bien des victimes ont succombĂ© mais jamais il n'a existĂ© un temps si cruel que celui qui est commencĂ© et qui suit lentement jusqu'au fond, sa terrible vengeance. Mais plus de repos, il faut s'attendre et se prĂ©parer, ne pas ĂȘtre surpris. - Oh ! non, saint Archange ! mes chers amis se seront munis du bouclier de la foi, de l'espĂ©rance et de la confiance. - Tous les dĂ©mons vont se rassembler il y en a beaucoup sous la forme de l'homme et qui depuis longtemps voudraient bien lancer l'Ă©clat mais quelque chose les a retenus jusqu'ici. DĂ©sormais la libertĂ© va s'ouvrir et l'Ă©clat va sillonner presque tout le royaume entier. VoilĂ chers amis, le temps mauvais, gĂątĂ©, corrompu, souillĂ© jusqu'aux derniĂšres profondeurs. Tous ces hommes vĂȘtus sont sous l'habit que portent mĂȘme les vrais serviteurs de Dieu ce sont des dĂ©mons acharnĂ©s, ils ont une faim Ă©trange de se rassasier et pour se rassasier, il leur faut des victimes, il leur faut la chair des ministres du Seigneur, la chair de ses enfants chrĂ©tiens, le sang des veines oĂč la foi est florissante. - Vous ne les laisserez pas, Saint Michel, faire tout cela ! - C'est le Seigneur qui m'envoie et m'a chargĂ© de tous ses avertissements, je suis obligĂ© d'obĂ©ir. - J'aimerais bien mieux moi aussi, pas ouĂŻr mais comme vous, je veux obĂ©ir Ă la Sainte VolontĂ©. - Je me dirige vers le centre empoisonnĂ©, menacĂ© de la foudre du ciel, son sort est fixĂ© Ă partir d'aujourd'hui heureux ceux qui sauront abandonner les murs pour se rĂ©fugier dans l'Ă©loignement de ce lieu pitoyable oĂč les victimes seront par monceaux et les places teintes de sang comme la pluie qui tombe dans l'orage. - C'est bien douloureux, Saint Michel ! - Il faut que cela passe, c'est inĂ©vitable, le pĂ©chĂ© et les crimes en sont la cause, les priĂšres des justes vont ĂȘtre mises pour servir de rĂ©conciliation avec le Dieu des misĂ©ricordes Ă l'Ă©gard de son peuple vengeur. Je vais me tenir au-dessus de l'enfer qui est cette source sous la terre. Tous les valets de Satan et ses zĂ©lĂ©s serviteurs ne pĂ©riront pas dans la lutte premiĂšre Ă eux la victoire et aux justes la douleur de voir et d'entendre ces effroyables forfaits. Mais aprĂšs, les ennemis vengeurs auront leurs supplices, pas tous, mais un grand nombre. A ce moment, Ă vous, peuple fidĂšle, de vous relever sous le fardeau des douleurs pour entrer dans le trĂŽne de la gloire et d'Ă©lever la voix pour acclamer celui que Dieu destine pour la paix de son peuple. Aujourd'hui, la promesse du Divin CĆur est insultĂ©e, elle n'est pas crue, que par le petit nombre des prĂ©destinĂ©s de la grĂące de la protection, c'est le peuple fidĂšle. Aujourd'hui les miracles du ciel sont blasphĂ©mĂ©s, reniĂ©s, insultĂ©s. Vous, chers amis de Dieu, vous ĂȘtes destinĂ©s Ă vivre pour voir s'accomplir de grands miracles, de grands prodiges parmi de grands flĂ©aux, de grandes justices, de grandes calamitĂ©s que le Seigneur a promises. Vous serez protĂ©gĂ©s mais observez bien tout ce que les voix Ă©ternelles vous ont commandĂ©. - Saint Michel, soyez sĂ»r que nous sommes fidĂšles Ă obĂ©ir aux voix Ă©ternelles. - Chers amis, vous aurez aussi vos Ă©preuves avec tous les justes, mais ces Ă©preuves seront bien douces Ă comparer Ă la cruautĂ© qui Ă©tend ses armes pour attaquer tout sans respect pour attaquer le blasphĂšme sur les lĂšvres, l'hypocrisie dans les cĆurs, l'hypocrisie la plus noire, pour attaquer ce qu'il y a de plus saint, de plus vĂ©ritable et de plus respectable. Chers amis de la Croix, savez-vous pourquoi jusqu'ici, la main du Seigneur n'a pas frappĂ© ? - Non, Saint Archange. - C'est vous, braves et fidĂšles serviteurs, vos priĂšres, vos dĂ©vouements, votre foi et votre confiance qui jusqu'ici, avec les souffrances, a soutenu ce bras irritĂ© qui porte la vengeance. Vos Ă©paules l'ont soutenu. Vos priĂšres et vos souffrances sont comme un pilier solide qui se lĂšve de la terre et monte jusqu'Ă la main irritĂ©e du Seigneur. Remarquez, chers amis, jusqu'ici le Seigneur a envoyĂ© beaucoup de souffrances, de croix, beaucoup de peines, de privations de toutes sortes. Cela a Ă©tĂ© uniquement pour la prolongation des jours du pauvre pĂ©cheur ; il n'en a pas profitĂ©. Les souffrances, les sacrifices, les peines vont bientĂŽt finir et le pĂ©cheur reste encore dans l'Ă©tat dĂ©plorable et affreux ! - O Saint Archange, il ne sait pas cela, s'il le savait, il reviendrait au Seigneur ! - Un grand nombre n'y reviendra jamais. - Oh ! que faire de plus encore ? + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2211 + + + + + 1880-11-04 Marie-Julie nous dĂ©crit le martyre du Pape La voix de l'Eglise, dans un soupir voilĂ©, vient faire retentir aux portes de mon Ăąme brisĂ©e l'Ă©cho de sa voix mourante. Le Pontife suprĂȘme lance une parole agonisante vers son peuple, vers les enfants dont il est le PĂšre. C'est un glaive pour mon Ăąme... - Je vois de blancs oiseaux emporter dans leur bec son sang et des lambeaux de sa chair. - Je vois la main de Pierre percĂ©e par le clou comme celle de Dieu. - Je vois ses vĂȘtements de cĂ©rĂ©monie arrachĂ©s en lambeaux. - Je vois tout cela dans mon Soleil mystique. Oh ! Que je souffre ! » Au moment oĂč la rage des impies sâarrĂȘtera pour un court rĂ©pit, il arrivera une grande maladie, presque subitement. Ce chĂątiment laissera les victimes comme Ă©tant sans vie ; ils respireront encore sans pouvoir parler, la chair Ă vif comme aprĂšs une profonde brĂ»lure. Ce mal sera trĂšs contagieux et on ne pourra lâarrĂȘter. Câest une punition du Seigneur afin dâen ramener plusieurs. » Le Seigneur donnera Ses avertissements au moyen de la nature, au dĂ©but de chaque annĂ©e Les grandes perturbations atmosphĂ©riques avec pluies trop abondantes entraveront les semailles et la nourriture des bestiaux ?. II est prĂ©dit Deux jours de tĂ©nĂšbres en dehors des trois jours du chĂątiment. Seuls les cierges de cire bĂ©nits donneront de la lumiĂšre. La flamme dit que dans les desseins du Seigneur, il y aura deux jours dâaffreuses tĂ©nĂšbres, sĂ©parĂ©es des trois jours que beaucoup dâĂąmes ont annoncĂ©s. Le firmament sera violet et rouge ; il sera si bas que la touffe des arbres Ă©levĂ©s sera comme perdue dedans, jusquâau quart des arbres les plus hauts. Ces deux jours vous prĂ©viendront comme un cachet authentique de la BontĂ©, mais aussi de la descente de Dieu par Sa ColĂšre sur la terre. Vous ne serez pas exempt de ces tĂ©nĂšbres... Pendant ces deux jours les arbres seront brĂ»lĂ©s et ne produiront aucun fruit lâannĂ©e suivante, car la sĂšve sera comme brĂ»lĂ©e et arrĂȘtĂ©e. La pluie qui tombera de ce ciel bas aura une odeur infecte et, partout oĂč elle tombera, ce sera comme de gros grĂȘlons de feu qui perceront ce quâil y a de plus solide et laisseront la tĂąche dâune brĂ»lure visible. Vos demeures seront prĂ©servĂ©es. Il nây a que ce qui est lĂ©ger en couverture qui souffrira. Lâeau qui aura coulĂ© sur la terre sera noire, dâun noir effrayant et presque toute la terre portera cette tache Ă©galement partout ; mais elle ne nuira pas Ă ce qui sert dâaliments aux flamme dit quâen Bretagne, dans ces deux jours de tĂ©nĂšbres, sous ce ciel bas, il paraĂźtra une lumiĂšre, mais que personne ne pourra voir, car il ne faudra pas mettre la figure au jour par lâouverture dâune porte ; il y aura un envoi de Dieu, sous la forme dâun Ă©clair brĂ»lant, qui obscurcirait lâĆil humain. Le Seigneur me presse de vous faire passer Ses paroles et Ses volontĂ©s. Le jour de ces tĂ©nĂšbres sera encore supportable, malgrĂ© lâobscuritĂ©... Mais si le jour est calme, la nuit sera violente, et pendant les deux nuits, des cris sortiront on ne saura dâoĂč ; on nâentendra point de pas, ni de marche sur la terre, couverte de Justice. La nuit, la bougie bĂ©nite, comme le cierge ne devront pas ĂȘtre Ă©teints. Le jour, on pourra sâen passer, par une grĂące qui vient du plus loin du CĆur de Dieu. » + + + + + 1881-01-11 L'Ăglise n'aura plus sa voix, qui, aujourd'hui encore, parle bien haut. Le lien de la Foi boira bientĂŽt dans l'exil l'amertume d'un long et douloureux martyre. Son cĆur saisi d'angoisse ne vivra, pour ainsi dire, plus dans sa personne; il offrira tout pour ses enfants, pour son troupeau et pour son Ăglise infaillible ». Le Lien de la Foi boira bientĂŽt dans lâexil, lâamertume dâun long et douloureux martyre. Son cĆur, saisi dâangoisse, ne vivra pour ainsi dire plus dans sa personne ; mais il offrira tout pour ses enfants, pour son troupeau et pour lâĂglise infaillible ». + + + + + 1881-01-18 Dans Ma sagesse Ă©ternelle, J'ai le dessein de rĂ©server la vie Ă un nombre immense de Juifs, car, au jour de Ma rĂ©jouissance, Je veux les confondre. L'Ćil impie de toutes ces Ăąmes restera ouvert car Je veux qu'il voie Ma puissance... Je leur rĂ©serve de voir de leurs yeux l'astre radieux que Je ferai sortir du fond de l'exil le Grand Monarque sous un Ă©pouvantable orage de feu et sous les signes de Ma colĂšre ». Le Roi aidera le Pape Ă vaincre les hĂ©rĂ©sies et les fausses religions. Le triomphe de lâĂglise et de son Chef, le triomphe du Roi convertiront un grand nombre dâinfidĂšles. " Dans Ma Sagesse Ăternelle, Jâai le dessein de rĂ©server un nombre immense de Juifs, car, au jour de Ma rĂ©jouissance Je veux les confondre... Je veux que ce peuple voit Ma Puissance ». + + + + + 1881-01-25 La pauvre Ville Ăternelle sera livrĂ©e, pendant trois ans et demi, Ă une terreur continuelle ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2211 + + + + + 1881-02-03 Le vrai Pontife dĂ©lĂšguera ses envoyĂ©s Ă La Fraudais ». + + + + + 1881-05-04 Dans lâextase du 4 mai 1880, nous trouvons un exemple de la PrĂ©sence constante de JĂ©sus auprĂšs de Ses Justes, de ceux qui souffrent persĂ©cution pour Son Royaume de justice, et le rappel de la valeur fondamentale pour lâĂglise du Saint Sacrifice de la Messe, du Crucifix, du PrĂ©cieux Sang comme Bouclier et comme Arme contre les forces du Mal, des cinq Plaies comme " mĂ©moire de lâinfinitĂ© de la faute, lavĂ©e dans lâinfinitĂ© de la douleur, par lâinfinitĂ© de lâamour. " On y voit aussi la vigilance des Saints Anges et leur amour du Saint Sacrement. Pendant la douleur qui fera fuir les habitants de la Ville Ă©ternelle, plusieurs ministres du Seigneur, dĂ©sirant mourir pour la Foi, se rĂ©fugieront dans un Temple qui ne touche pas le sanctuaire du Vatican, mais qui en est le plus rapprochĂ© et Ă sa droite. Ăglise du Transtevere ? Sous leurs yeux demeurera un Crucifix de moyenne grandeur. Des cinq Plaies du Crucifix jailliront, Ă la fois, cinq flots de sang. Ce Sang jaillira si fort que deux Anges, dont la forme ne sera pas vue, le recueilleront dans deux calices qui seront vus, entourĂ©s dâune aurĂ©ole. Je vois aussi que les chaĂźnes de Saint Pierre seront portĂ©es invisiblement et miraculeusement, au Christ qui laissera jaillir Son Sang. Ce miracle se fera pour toucher les cĆurs impies, et desserrer un moment les liens du PĂšre Commun des fidĂšles, qui sera sous les coups de ces cĆurs sans pitiĂ©. Les deux calices, oĂč le Sang du Sauveur aura Ă©tĂ© recueilli, seront dĂ©posĂ©s, par les Anges, sur le grand Autel oĂč le Saint-PĂšre cĂ©lĂšbre chaque jour le Saint Sacrifice. Personne ne pourra gravir les marches de cet Autel. Ă une heure de la nuit, heure de lâAgonie au jardin des Olives, le PĂšre des fidĂšles, pieds nus et accompagnĂ©s dâapĂŽtres qui lâaiment et qui sont aimĂ©s de lui, par privilĂšge, montera Ă lâAutel oĂč se trouvent les deux calices. Il ne pourra gravir ces marches, sans verser un torrent de larmes et sans ĂȘtre saisi dâun infini respect. Cet Autel sera le sien, comme Il fut celui de Pie IX... Il verra, Ă©crit dans le Sang du calice de gauche "Courage, trĂšs Auguste Pontife, le sang des Français, qui sont aussi tes enfants, vient sâoffrir jusquâĂ la mort pour ta dĂ©fense". Je vois le saint Pontife boire une goutte de Sang, de lâautre calice, de celui oĂč il nây a rien dâĂ©crit. Ce Sang le rendra conforme Ă son Sauveur mourant en Croix ». + + + + + 1881-06-09 Maintenant Ă©coute, ma victime, la parole de ton Divin MaĂźtre. La premiĂšre partie du livre d'or est fermĂ©e. La seconde va s'ouvrir, mais ne sera pas comparable Ă la premiĂšre. La deuxiĂšme partie ne sera pas toute rĂ©vĂ©lĂ©e, Ă voix haute, aux Ă©crivains de la terre qui sont hommes du monde et non victimes. La prise violente du Saint-PĂšre, liĂ© dans sa prison, dans les chaĂźnes de Pie IX, sera dans les premiĂšres pages, mais non rĂ©vĂ©lĂ©e aux Ă©crivains. L'Ă©poque du mois oĂč ce PĂšre bien-aimĂ© sera trainĂ©, meurtri et liĂ© comme un criminel scĂ©lĂ©rat, sera Ă©crite au livre d'or. Tu garderas ces secrets pour mes deux saints Jean, mes deux victimes, et non pour les Ă©crivains de la terre ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2212 + + + + + 1882-01-01 Notre-Seigneur me dit encore que le martyre du deuxiĂšme Lien de la Foi serait encore plus pĂ©nible que celui du premier ; quâil aurait les pieds et les mains fixĂ©s Ă la large pierre du mur du Vatican et quâil resterait pendant cinq jours fixĂ© Ă ce mur, rassasiĂ© dâinsultes, les deux jambes coupĂ©es par les deux genoux, les deux bras coupĂ©s, non par la jointure du coude, mais par le milieu du bras prĂšs du poignet ; que sa poitrine serait ouverte avec une fĂ©rocitĂ© que les animaux nâont pas dans leur rage la plus envenimĂ©e ; que la tĂȘte du troisiĂšme Lien de la Foi serait placĂ©e au bout dâune barriĂšre de fer et plantĂ©e Ă la porte de la grande Basilique de Saint Pierre et insultĂ©e, comme jamais temple nâa vu insulte pareille ; que son corps sera jetĂ© Ă la riviĂšre qui passe un peu au dessus du Vatican et quâil sera retrouvĂ© sain et sauf au pied dâune pierre du fleuve qui se trouve Ă droite en marchant vers le midi de cette terre au-dessus du Vatican ». + + + + + 1882-02-02 Mes enfants, je vous demande de ne jamais fouler aux pieds la Croix, de ne pas suivre lâexemple dâune foule immense qui va prĂ©fĂ©rer damner son Ăąme pour sauver son corps... Votre refus adoucira vos bourreaux ». + + + + + 1882-02-14 Notre Seigneur JĂ©sus annonce Du Ciel, tu verras le triomphe de lâĂglise planer sur le front de Mon vrai serviteur Henri de la Croix ; Il viendra consoler lâindigence, renouveler le sacerdoce dĂ©vastĂ©, affaibli et tombĂ© comme une branche sous la scie de lâouvrier. Sa charitĂ© renouvellera le sacerdoce, relĂšvera les statues de Ma MĂšre, fera remonter les calvaires insultĂ©s et rĂ©duits en morceaux ». + + + + + 1882-02-23 LâĂglise est destinĂ©e Ă souffrir les affronts les plus affreux. Elle sâĂ©teindra, comme la vie du corps des chrĂ©tiens ; mais elle ressuscitera au milieu des Ă©preuves, et son triomphe est Ă mes enfants quâils ne doutent pas de son triomphe prochain, car douter serait mâoffenser ». + + + + +1882-03-23 La Flamme du Saint-Esprit dit La religion d'aujourd'hui sera changĂ©e en ses Ă©tudes et ses institutions. Vont lui succĂ©der d'abominables lois et des paroles si mortelles que les cĆurs en seront corrompus, la vertu Ă©treinte et le bon peuple effacĂ©. Toute la population va souffrir et le bon peuple chrĂ©tien anĂ©anti, comme s'il n'Ă©coutait plus. Les ennemis vont triompher et tout leur sera accordĂ©. On va les prĂ©fĂ©rer au meilleur peuple, c'est-Ă -dire Ă ceux qui sont du cĂŽtĂ© de Dieu qui, lui pourtant, est le cĂŽtĂ© de la victoire". La Flamme dit encore En plusieurs terres, Satan sera publiquement invoquĂ©, le vrai Dieu insultĂ©. On Ă©voquera, en plein public, Satan, le MaĂźtre des Puissances, le grand chef qui dĂ©tournera les lois de leur bonne route, en une marche effroyable. L'heure vient oĂč tous les clergĂ©s seront atteints et serrĂ©s de maniĂšre terrible. Les ennemis ne vont rien Ă©couter, mais continuer, de jour en jour, Ă produire leurs ignobles lois et ces travaux qui conduisent au jour qui vient... Lentement, Ă cause des priĂšres qui ont Ă©tĂ© faites et qui sont encore faites par les bons chrĂ©tiens. Les hommes de bien, dĂ©fenseurs de Dieu, vont, cette fois, ĂȘtre Ă©crasĂ©s dans leurs combats, comme le grain de poussiĂšre sous le pied du passant. DĂ©sormais, il ne faut plus s'attendre Ă gagner quoi que ce soit pour la dĂ©fense du bien. En beaucoup d'endroits de France, les ennemis, quoique unis dans le mĂȘme parti et aprĂšs ces accords terribles qui nous conduiront Ă l'abĂźme, les ennemis se battront entre eux. Amis de Dieu, dit la Flamme, n'attendez aucune consolation... Chaque jour ne fera progresser que le mal, Ă un point oĂč sa victoire couvrira la terre dans toute son Ă©tendue. Retrempez votre foi dans le souvenir de la Passion du Sauveur. Les puissances ennemies auront le courage de profĂ©rer d'horribles discours contre le Seigneur. Ils pousseront "l'audace" jusqu'Ă dire ouvertement "Si l'Eglise triomphe et Ă©chappe des fureurs de l'Ă©poque, nous sommes prĂȘts Ă jurer qu'il y a un Dieu et des puissances au-dessous de nous". D'autres discours au sujet de Satan vont circuler sur les papiers que le monde parcourt de ses yeux mortels. La rĂ©alitĂ© de ces paroles arrivera vite au cĆur du peuple de Dieu. Pleurons et gĂ©missons, ajoute la Flamme, le temps oĂč tout annonce les pleurs est venu. Leurs lois ouvrent le corridor qui conduit au grand théùtre de la RĂ©volution. Les ennemis vont trouver le moyen -tous les moyens- pour exiler les troupes qu'on appelle gardiens de la paix. Ceux-ci seront rĂ©duits en plusieurs lieux, avec dĂ©fense de circuler et d'entrer dans les villes oĂč ils sont encore aujourd'hui, et oĂč ils se sont dĂ©pensĂ©s longtemps. Ce sera le dernier moyen de laisser tout livrer, en libertĂ©, au terrible pillage. Ce mot libertĂ© va se crier dans toute la France, comme il l'a Ă©tĂ©, mais plus puissamment. Priez ! Encore un effort ! Cet effort n'arrĂȘtera pas la grande dĂ©cision. Si celle-ci n'est pas arrivĂ©e dĂ©jĂ , c'est le Seigneur qu'il faut remercier et non ces malheureux. Cet effort de priĂšre apaisera la justice de Dieu, l'empĂȘchera de peser sur les justes qui s'Ă©chapperont au travers des combats de la guerre civile. Cette guerre civile sera terrible, surtout au centre, dans le midi, et dans ce grand lieu, duquel Dieu se tient prĂšs, aujourd'hui, et dont le nom reprĂ©sente la force. Les puissants de la terre auront entre eux des disputes infernales leur voix rĂ©clamera d'un cĂŽtĂ©, rĂ©clamera de l'autre. Ils ne s'entendront plus et Satan sera au milieu, avec ses signes visibles ». + + + + + 1882-03-29 Jâai renouvelĂ© bien des fois, dit le Seigneur, le secret de lâhumble fille de la montagne. Ma sainte MĂšre portait lâinstrument de ma Passion... Elle rĂ©pĂ©tait Les plantes chrĂ©tiennes seront si clairsemĂ©es que la terre ressemblera plutĂŽt Ă un dĂ©sert quâĂ une terre habitĂ©e par des ChrĂ©tiens, qui sont si nombreux pourtant... » Il y aura si peu de monde restĂ© dans ces contrĂ©es quâun grand nombre dâĂ©glises ne seront plus occupĂ©es, mĂȘme par une seule Ăąme. Ce sera selon les contrĂ©es et selon les progrĂšs de lâiniquitĂ© ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2212 + + + + + 1882-04-20 Cette loi infĂąme sortira avec un grand nombre dâautres. Personne ne pourra sây soustraire, ou bien la mort au fond des prisons. Cette loi marchera sur tout ce qui est le plus sacrĂ© ». + + + + + 1882-05-04 Dans toutes les maisons religieuses qui n'auront pas encore Ă©tĂ© livrĂ©es Ă la cruautĂ© des hommes de la loi, avant qu'elles ne soient entiĂšrement dĂ©vastĂ©es et vidĂ©es, on viendra les visiter et se rendre compte de tout, jusque dans les coins les plus reculĂ©s. Il n'y aura plus, dans toutes ces pauvres maisons, aucune sĂ©curitĂ© chez soi. AprĂšs six ou neuf semaines, Ă peine, de ce rĂ©gime de fouilles apparentes, le crime s'accomplira sur les petites maisons comme sur les grandes. Il n'y aura plus de maisons religieuses en France chacune sera sous le toit du firmament... » + + + + + 1882-05-04 Sur un fond gĂ©nĂ©ral de confusion et de dĂ©sordre, se dĂ©tachent des "Ă©poques", qui sont comme les degrĂ©s dâune progression. Câest dâabord comme un orage qui gronde, puis Ă©clate pour se terminer sur un " grand coup " qui ramĂšne la paix. Le Seigneur annonce deux Ă©poques - La premiĂšre Ă©poque, câest lâĂ©tendue des maux sur la Fille aĂźnĂ©e de lâĂglise, la France. - La seconde, c'est l'Eglise envahie, et le commencement de la lutte terrible dans la Ville Ăternelle. Cette lutte, dans la Ville Ăternelle, languira cinq mois sans que les consĂ©quences, tristes jusqu'Ă la mort, ne s'aggravent... Seigneur, dit la voix plaintive, ne tardez pas Ă avertir votre peuple, car la nuit sombre et triste vient rapidement Ă son Ă©poque - Je n'ai tardĂ© en rien, rĂ©pond le Seigneur... ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2213 + + + + + 1882-05-09 LES TROIS CRISES PremiĂšre crise Dans le soleil la voix dit Il y a quelque temps, le seigneur a marquĂ© trois mois de fatals et terribles chĂątiments. Il abrĂ©gera beaucoup... Le prochain commencement de la mortelle crise rĂ©volutionnaire - elle parle comme cela, la voix - ce commencement durera quatre semaines, ni un jour de plus, ni un jour de moins ; mais l'Ă©tendue en sera immense. Le nombre de ceux appelĂ©s meurtriers du peuple, sera d'une immensitĂ© inconcevable... Lors de cette heure terrible, les Ă©trangers, dont le dĂ©sir est rempli d'une violence qui ne se possĂšde pas, les Ă©trangers seront maĂźtres en France. DĂšs la nouvelle du fatal Ă©vĂšnement, leurs oreilles ne seront pas sourdes. Pendant cette lutte premiĂšre, en toute l'Ă©tendue de la France, il y aura libertĂ© pour tout. Il n'y aura plus de captifs retenus pour crimes. La libertĂ© sera en toute son Ă©tendue. Un repos fort court suivra cette grande entrĂ©e dans le mal qui sera complet, surtout au Centre et dans les environs ». DeuxiĂšme crise La voix dit La seconde et violente crise commencera. La France sera envahie jusqu'au diocĂšse qui commence la Bretagne. La voix ajoute Le vĂŽtre. La DeuxiĂšme crise mettra le comble Ă toute chose et, du peuple, n'Ă©chappera que celui qui trouvera un refuge obscur. A cette Ă©poque seconde, les hommes du pouvoir, aprĂšs avoir livrĂ© le royaume au sang, s'assembleront dans un lieu de paix et formeront des projets dĂ©finitifs et dĂ©cisifs. Ils chercheront un sauveur pour le placer sur le trĂŽne de France. Beaucoup de ces grands commandants du royaume se retireront dans un coin de la terre de France volĂ©e.... La voix dit L'Alsace et la Lorraine. RetirĂ©s lĂ , dans le secret, ils disposeront leur roi, celui qui est contre les desseins de la Providence. Ils dĂ©cideront rĂ©ellement, et rien ne pourra les en dĂ©tourner de faire monter le coupable sur un trĂŽne qui ne lui appartiendra jamais ». Dans le soleil, la voix dit La seconde Ă©poque dĂ©passera un mois. Elle ira, sans repos ni arrĂȘt de respiration, jusqu'au 37e ou 45e jour. Cette Ă©poque deuxiĂšme achĂšvera tout. Il n'y aura de sauvĂ© que ce que Dieu a promis de protĂ©ger les endroits dĂ©crits par sa parole et gardĂ©s par sa gratuite bontĂ©. A mesure qu'elle s'Ă©tendra en France, la persĂ©cution recevra beaucoup d'aide de la part des puissances qui l'environnent, de tous ceux qui ressemblent Ă ceux qui, en France, livrent tout, sans pitiĂ©, au feu et au sang ». TroisiĂšme crise Pour la longueur de la TroisiĂšme Ă©poque, la voix dit qu'elle n'est pas dans ce passage-ci du soleil... ». + + + + + 1882-05-15 La MĂšre de Dieu, poussĂ©e par lâamour de son cĆur, va redescendre sur la terre, apparaissant Ă son peuple dâune façon qui sera sans mesure». + + + + + 1882-05-16 Le Saint SiĂšge suivra de prĂšs le renversement de la France ». Lâennemi de Dieu l'Antichrist ou Archel de la Torre ? traversera la Perse et les autres royaumes et montera pour un an, sur le malheureux siĂšge de celui qui fera trancher la tĂȘte des apĂŽtres et qui fera un martyr de celui qui soutient lâĂglise et la Foi. La voix dit que lâĂglise restera vacante de longs mois. Elle ajoute le troisiĂšme Pape sera plus saint, mais ne rĂ©gnera que trois ans avant que Dieu ne lâappelle pour la rĂ©compense ». + + + + + 1882-05-26 Ce nâest pas un pasteur du Centre qui aura lâinsigne honneur de couronner de gloire le Roi, lâhĂ©ritier qui aura mĂ©ritĂ© de gouverner sa patrie. Ce pasteur sera jeune ; ses 45 ans ne seront pas sonnĂ©s. Il viendra du diocĂšse dâAix. Les pasteurs qui gouvernent aujourdâhui les diocĂšses ne seront plus sur leur siĂšge Ă©piscopal... Le glorieux et digne enfant de Dieu qui sacrera le vrai Roi, sur les ruines du Centre, quand la terre sera bien dĂ©sertĂ©e, viendra dâassez loin ». + + + + + 1882-06-06 Au cours de la premiĂšre moitiĂ© de la troisiĂšme annĂ©e Les serviteurs les plus proches du Pape oseront souiller leur dignitĂ© par des articles honteux et se faire, pour la sauvegarde de leur vie, meurtriers et bourreaux du Pauvre Martyr, dont la vue des maux soulevĂ©s sur Rome Ă©teint les forces et abrĂšgent dâavantage le martyre. Depuis trois semaines ses souffrances redoublent maintenant il entrevoit et il ressent le coup dĂ©finitivement portĂ© Ă lâĂglise, Ă sa personne et Ă la terre quâil habite. Il ne verra pas la fin de la persĂ©cution ; celui qui le remplacera ne la verra pas non plus ; le troisiĂšme vivra longtemps, mais il sera difficile Ă trouver au milieu de tant de dĂ©combres ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2213 + + + + + 1882-06-22 Ce sont ces Saintes Communions dâaujourdâhui qui, dans un avenir prochain, quand il nây aura plus de Pain SacrĂ©, plus de Corps adorable pour soutenir les forces dĂ©faillantes, ce sont ces trĂšs Saintes Communions dâaujourdâhui qui donneront Ă Mes chĂšres Ăąmes la force et le courage dâaffronter, dans la charitĂ©, le pĂ©ril et le danger ; mais elles ne pĂ©riront pas. Cette Manne SacrĂ©e les Ă©lĂšvera au-dessus du pĂ©ril, et les tiendra suspendues au-dessus du danger. Elles accompliront, ces chĂšres Ăąmes, des actes de dĂ©vouement, mĂȘme pour ceux qui ont Ă©tĂ© leurs Ă©pines. Ces Ă©pines auront Ă©tĂ© Mes Ă©pines, celles qui perceront Mon CĆur et Le percent dĂ©jĂ . Il nây a, Ăąmes fidĂšles et bĂ©nies, que vos approches qui puissent en guĂ©rir les piqĂ»res, par la Sainte Communion, et en soulager les douleurs ». + + + + + 1882-07-20 Lâheure dâannoncer Au jour dĂ©cidĂ© pour que mes Ă©critures soient envoyĂ©es Ă tous mes serviteurs et Ă mes victimes, pour leur indiquer mon heure et l'heure du miracle, Ă cet appel, rien ne les retiendra. Je protĂ©gerai et garderai ceux qui seront obligĂ©s d'attendre un peu de temps avant de trouver refuge sous l'arbre divin de la Croix les croix dâamour ?. L'heure sera envoyĂ©e Ă toute la famille de la Croix dont le destin est d'ĂȘtre protĂ©gĂ©e. Cette heure viendra avant que les voies de la terre soient fermĂ©es nous ne pourrons plus circuler, avant que l'ennemi ne soit embarquĂ© sur l'Ă©tendue de la France entiĂšre pour la conquĂ©rir et la faire pĂ©rir. Je vais donner Ă mes chers serviteurs et victimes la rĂ©elle description de la croix qu'ils devront porter. Ils vivront comme les missionnaires de ma parole divine, les PĂšres de la Croix... Je dĂ©sire que mes serviteurs, servantes et jusqu'aux petits enfants puissent aussi se revĂȘtir d'une croix. Cette croix sera plus petite et portera en son milieu comme l'apparence d'une petite flamme blanche. Cette flamme indiquera qu'ils sont fils et filles de la lumiĂšre. Le mal inĂ©vitable s'avance. BientĂŽt la terre entiĂšre ne sera plus que sous la pluie des chĂątiments terribles de ma Justice. Le bien sera au tombeau et le mal Ă©levĂ© sur le sommet des montagnes pour attester son triomphe ». + + + + + 1882-08-22 Mes enfants, avant mĂȘme, peut-ĂȘtre que la premiĂšre crise de la Fille aĂźnĂ©e de lâĂglise ne soit commencĂ©e, il y aura des nouvelles douloureuses de ces peuples Angleterre, Perse, JĂ©rusalem. Tous auront subi de grands maux. Mes enfants, je prĂ©vois quâĂ la sortie de ce trouble, il y aura un nouveau rĂšgne pour la terre anglaise et un choix se fera, quand, soudain, la mort viendra frapper ceux qui ont en main le gouvernail de ce Royaume. Pour cette terre... il se fera bien du mal et elle sera divisĂ©e en quatre parties, car leurs volontĂ©s ne sâaccorderont nullement... Le choix des Catholiques sera rejetĂ© ». + + + + + 1882-08-25 Avant que le chĂątiment de Mon Fils Adorable ne tombe sur la terre de France, il y aura beaucoup dâĂąmes qui perdront la Foi... Cette terre sera comme couverte de masses dâhommes coupables qui, du fond des loges, vont travailler Ă glorifier Satan, Ă lui Ă©lever des lieux de culte dans la plus grande partie de la France ». + + + + + 1882-09-05 Le moment le plus Ă©clatant sera celui oĂč les ministres chrĂ©tiens, qui sâĂ©taient tous dispersĂ©s sous la dent des tigres, reviendront par dâaffreux chemins, pour le jour solennel. Parmi les ministres du Seigneur, amis du Roi, je nâai vu que 4 Ă©vĂȘques... » + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2214 + + + + + 1882-09-12 Un violent combat se lĂšvera contre la Religion, et la combattra jusqu'au dernier point. Je vous dis Ă haute voix que les cĆurs qui, par leur caractĂšre sacrĂ©, sont les plus prĂšs de Mon amour et de ma prĂ©sence divine, plusieurs de ceux-lĂ seront mal disposĂ©s, quand la voix des hommes coupables, en cette terre de France, jettera la boue sur la Religion Catholique. En plusieurs villes de France se tiendront des rĂ©unions de pasteurs trĂšs nombreux, au sujet d'un appel fait par une loi impie et coupable. Mes enfants , parmi ces nombreux apĂŽtres de France, Je nâen compte que trois qui seront absolument dignes et qui se dĂ©clareront hautement, en public et avec volontĂ© formelle, pour le cĂŽtĂ© que je prĂ©fĂšre, pour le cĂŽtĂ© que je veux, malgrĂ© la grande opposition des hommes ». + + + + + 1882-09-29 DĂšs que la France sera dĂ©livrĂ©e, l'Ă©preuve de Rome commencera 5 mois aprĂšs la paix rĂ©tablie en France par le Roi Henri de la Croix, une rĂ©volution sans prĂ©cĂ©dent Ă©clatera Ă Rome... L'affreuse guerre d'Italie sera longue, elle durera plus de deux ans... L'Ăglise aura son siĂšge vacant de longs mois... ... Il y aura deux antipapes successifs qui rĂ©gneront tout ce temps-lĂ sur le Saint-SiĂšge... » + + + + + 1882-10-10 Le Seigneur dit Mes enfants, ne soyez pas effrayĂ©s si la lutte terrible doit commencer par ceux qui siĂšgent au milieu d'une place de dignitĂ© et dâhonneur qu'ils ont reçue au CĂ©nacle, la veille de ma mort. C'est par la faute de ceux qui dirigent et gouvernent le troupeau que, dans le midi, va sortir une crise violente. Ce sera Ă cause de la loi infĂąme. Ces pasteurs vont persuader le peuple qu'on sera Ă©pargnĂ© si l'on marche sous cette loi dominante qui va Ă©tendre son empire de plus en plus abominable. Leurs mains ne vont pas hĂ©siter un instant ; aucune honte ne rĂ©gnera sur leur visage quand ils Ă©criront ces paroles " AutoritĂ© dâaujourdâhui, Gouvernants de la France, nous nous soumettons Ă vos ordonnances et Ă vos lois, puisque câest le moyen qui nous reste dâexister encore Ă la tĂȘte de nos sujets et de rĂ©gner sur nos troupeaux ". C'est ce qui va jeter l'affreux scandale au milieu du peuple ; et la France va, sans tarder, fouler aux pieds le reste de sa foi. Mes enfants, c'est en public que l'Eglise va entendre prononcer la trahison de sa gloire. Ils vont livrer le Christ et l'Eglise Ă l'affreuse terreur ». + + + + + 1882-10-12 La flamme du Saint-Esprit dit Mes enfants... Vous lirez beaucoup de lettres, Ă©crites par des prĂȘtres de France, comme ne dĂ©sapprouvant nullement les lois du gouvernement. Le lien de la foi, le Pape Ă la vue empirante des mauvaises lumiĂšres, fera un appel de foi au clergĂ© français, comme s'il leur disait "Prenez la foi comme arme et bouclier ; avec elle, vous vaincrez tout ce qui s'oppose Ă la loi ecclĂ©siastique ". Il y en a qui rĂ©pondront Ă son appel, mais pas tous. Beaucoup resteront sous la mauvaise emprise, et les vrais prĂȘtres seront en nombre trĂšs petit. Mes enfants, le Seigneur qui voit une perte innombrable dâĂąmes chrĂ©tiennes, fait en ce moment, tous ses efforts pour montrer le pĂ©ril et la gravitĂ© des temps qui sâappuieront sur la pierre rĂ©volutionnaire. Et la Flamme ajoute "RĂ©volution rouge" ». Les ennemis ont dessein de dĂ©crĂ©ter le 29 juin une loi pour les prĂȘtres et de les appeler en rĂ©union pour leur imposer cette loi et les y soumettre. Ils devront jurer, main levĂ©e, foi et confiance aux lois de "leur divinitĂ©". En plusieurs villes de France, se tiendront des rĂ©unions de pasteurs trĂšs nombreux, au sujet dâun appel fait par une loi impie et coupable. Parmi ces nombreux apĂŽtres de la France, je nâen compte que trois qui seront absolument dignes et qui se dĂ©clareront pour le cĂŽtĂ© que je prĂ©fĂšre, pour le cĂŽtĂ© que je veux, malgrĂ© la grande opposition des hommes ». Dans le Midi, Ă Lyon, il y aura des reprĂ©sentations infĂąmes de la Messe, des profanations... Ă Lyon et dans dâautres endroits il y aura des apparitions sataniques ; il y aura des cultes de dĂ©esses infĂąmes, de faux miracles qui tromperont beaucoup de monde... Les Ă©vĂȘchĂ©s, les monastĂšres seront pillĂ©s... Les croix seront brisĂ©es... Des tabernacles profanĂ©s... Les enterrements religieux seront interdits⊠Les sacrements seront parodiĂ©s... Des baptĂȘmes sacrilĂšges seront instituĂ©s... Il y aura beaucoup dâĂąmes possĂ©dĂ©es qui feront grand bruit et feront des prophĂ©ties de bonheur... Les ennemis feront fouler au pied la croix... Profanations Ă Lourdes... On sâacharnera contre la dĂ©votion au SacrĂ©-CĆur... + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2214 + + + + + 1882-10-17 Si au milieu des maux, dit Monseigneur Fournier, le pasteur de ce diocĂšse Nantes renouvelait le vĆu, ou s'il en Ă©tait fait un autre, les maux seraient bien plus petits ce vĆu arrĂȘterait la rage des ennemis ». + + + + + 1882-10-26 Je lis cette parole PrĂ©fĂ©rez, chers fils, la palme du martyre, plutĂŽt que d'accepter les offres de ceux qui vous auront rĂ©duit Ă de si pitoyables douleurs, et qui vont envahir votre chĂšre France entiĂšre par leur puissance et leurs massacres impies et pervers. Chers fils, groupez autour de vous vos fils et vos frĂšres-prĂȘtres afin de les protĂ©ger contre l'offre des hommes mortels, contre lesquels ils sont avertis. Cette douleur vous contristera l'Ăąme et vous brĂ»lera le cĆur, comme si la mort venait vous frapper. Vous allez voir circuler des paroles dans la France si chĂšre Ă tous les Papes, surtout Ă celui qui rĂšgne maintenant, et qui pleure chaque jour Ă la vue des abĂźmes oĂč se perdent ses enfants ». + + + + + 1882-11-07 La foudre gronde autour du Vicaire de JĂ©sus-Christ. Une assemblĂ©e de pĂšres de l'Eglise formera ses conseils contre le PĂšre de l'Univers. Il sera remis, aux mains du gouverneur dont dĂ©pend le Saint-PĂšre, une piĂšce Ă©crite et travaillĂ©e par des mains qui, bien des fois, auront touchĂ© le corps du Christ. Cette piĂšce Ă©crite comprendra trois choses La premiĂšre sera celle-ci Que le Pape laisse une libertĂ© plus grande Ă ceux sur qui il rĂšgne avec son autoritĂ© de Pontife. Et voici la seconde Nous nous sommes rĂ©unis, diront-ils, et nous avons Ă©tĂ© d'avis que si le chef mortel de l'Eglise fait appel Ă son clergĂ© romain pour reformer la foi plus forte ; si l'on veut nous obliger Ă rĂ©pondre, si l'on dĂ©clare, Ă la face des puissances de la terre, qu'il doit y avoir obĂ©issance et soumission, nous dĂ©clarons vouloir garder notre libertĂ©. Nous nous considĂ©rons comme libres de ne rien faire de plus aux yeux du peuple, que ce que nous faisons actuellement et que câest nous qui ferons tout. Une douleur amĂšre et dĂ©chirante attend le Pape, devant l'insoumission et la dĂ©sobĂ©issance qui rĂ©pondront Ă l'appel de son cĆur. Ce ne sera pas de vive voix qu'il aura fait cet appel, mais par Ă©crit. La voix de la Flamme dĂ©clare que la troisiĂšme chose Ă©crite fera frĂ©mir le petit peuple de la terre. Elle proviendra du clergĂ© qui aspire Ă la large libertĂ© du clergĂ© de France, de ceux d'Italie, de Belgique et de bien d'autres nations que Dieu fera Connaitre. Ceci ira s'aggravant devant le peuple qui pourra s'assurer du signe de sa colĂšre. Un appel prochain va jeter la consternation dans les cĆurs oĂč rĂšgne encore la foi. On veut briser lâUnitĂ© entre le Saint-PĂšre et les prĂȘtres de l'Univers, les sĂ©parer du Chef de l'Eglise, afin que chacun demeure libre de soi, et sans aucune surveillance. En plusieurs coins du Centre, une feuille de papier sera fixĂ©e sur les murs des rues et au bord des grandes routes sur lesquelles le peuple circule. Cette affiche ne portera mention que de cette dĂ©sunion et de cette sĂ©paration des apĂŽtres de Dieu d'avec l'unitĂ© avec le Pape. Ensuite, le peuple sera invitĂ© Ă prĂȘter concours et accord Ă l'autoritĂ© si coupable de ce temps ». + + + + + 1896-09-19 Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de la Salette. Le prĂȘtre nâest plus humble et nâest plus respectueux... ». + + + + + 1882-11-16 En entrant dans la vision, je contemple et j'adore le Divin Crucifix, entourĂ© de ses flammes. La premiĂšre Flamme dit "L'Ăąme du chrĂ©tien est une graine que je sĂšme dans le champ de l'Eglise, pour qu'elle fructifie en grĂąces et en vertus... Si le Seigneur augmente les tribulations sur les Ăąmes, c'est que son heure divine est proche d'Ă©clater sur la terre ; c'est la preuve de sa bontĂ© divine... La mĂȘme Flamme dit encore Je dĂ©clare qu'une cruelle dĂ©solation fera gĂ©mir tout le peuple du centre du diocĂšse. - Pas fort, Flamme. - Amis de Dieu, il s'agit d'une multitude de coupables, capables de toutes sortes de mal, pervertis et dans de si mauvais sentiments que Dieu ne pourra jamais les ramener. Voici A Nantes, prĂšs de la place de la Maison de la Justice, se lĂšvera une assemblĂ©e de cinq cents hommes, tout ce qu'on peut compter d'affamĂ©s de sang et de victimes. Il y aura des scĂšnes terribles contre le clergĂ© d'abord, contre les lois de la religion catholique, contre le Sauveur mortel de cette terre. Ils seront appuyĂ©s par l'autoritĂ© humaine, si mauvaise, de ce temps. Dans leur rage inassouvie et indomptable, ils marcheront, d'une façon remarquable, dans la voie des douleurs grandissantes. Dans cette rue, prĂšs du Palais de Justice, aux heures profondes de la nuit, il y aura beaucoup de victimes dans ce cĆur du diocĂšse. Le plus frĂ©missant, c'est qu'il sortira des feuilles du milieu de ce groupe elles n'auront pour but que de couvrir de honte et d'iniquitĂ©s ceux qui attendent, avec persĂ©vĂ©rance, la rĂ©alisation des promesses de Dieu. Aux environs de cette Ă©poque, on aura, de jour en jour plus pĂ©nible, le sentiment d'avoir Ă ressentir cette coupable injustice. La Flamme dit que ce sera vers le temps oĂč une loi pĂ©rilleuse donnera la libertĂ© de laisser sortir les scĂ©lĂ©rats maintenus jusque-lĂ en captivitĂ©. Rien ne s'y opposera au Parlement, car l'homme seul sera dĂ©jĂ dans l'Ă©tendue de son triomphe immense qui couronnera son dĂ©sert, en renversant la terre et le monde ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2215 + + + + + 1883-09-21 La mission de souffrance de Marie-Julie Pour toi, ma fille, il y a encore trois croix diffĂ©rentes sur lesquelles il va falloir t'Ă©tendre et souffrir douloureusement, mais peu de temps sur chacune. La premiĂšre, c'est celle de la sainte Eglise Catholique c'est sur celle-lĂ d'abord qu'il va falloir s'Ă©tendre. Il va te falloir souffrir douloureusement pour elle, avant que tu ne fermes les yeux sur la terre. La seconde croix est celle de la fermeture du royaume de la Sainte Vierge, en consĂ©quence des grands maux qui vont, prochainement, monter leur Ă©clat. Il va falloir souffrir, en vue de cette heure chĂšre au crime et au pĂ©chĂ© ; souffrir pour compenser la faiblesse de la foi ; souffrir un peu, aussi, pour les soldats du Seigneur qui iront, sous ses yeux divins, conquĂ©rir la couronne du royaume. La troisiĂšme croix, c'est celle qui porte en elle le riche et magnifique bouquet qui sera prĂ©sentĂ© au Sauveur de ce royaume, quand il entrera sur cette terre du Centre Paris si souillĂ© et si coupable. Sur cette mĂȘme croix je vais te donner le chemin marquĂ©, par oĂč tu reviendras remercier tes amis fidĂšles, aprĂšs les courses et les combats... Ma fille, voilĂ la place oĂč, du haut des frontiĂšres cĂ©lestes, tu verras les dĂ©parts des nobles soldats de la croix ; d'oĂč tu verras entrer, sur le sol de France, celui qui vient apporter paix et joie Ă mon peuple ; d'oĂč tu verras le Sanctuaire du Seigneur et ses fidĂšles ouvriers, en place, pour noter et contempler les Ćuvres du Seigneur et celles de sa sainte MĂšre et de ses anges ». + + + + + 1884-01-01 Jâai envoyĂ© Ma MĂšre, on nâa pas cru Ă Sa parole. Jâai fait entendre Ma voix, Me choisissant des victimes sur lesquelles Jâai opĂ©rĂ© des merveilles. On les a mĂ©prisĂ©es et persĂ©cutĂ©es. Je vais Me livrer Ăš Ma colĂšre. Je vais rappeler Ă Moi Mes paratonnerres ». + + + + + 1884-01-04 Lorsque mon peuple est tombĂ© dans lâindiffĂ©rence, Jâai commencĂ© Ă le menacer. Aujourdâhui, il mĂ©rite Ma justice. Je suis venu sur la terre ; ils veulent Me chasser, Mâenlever Mon Saint Tabernacle, renverser Ma Croix et mĂ©connaĂźtre Ma Puissance. - Ă Seigneur, dit Marie-Julie, ayez pitiĂ© ! - Oui, Jâaurai pitiĂ© du bon peuple, mais lâautre, Je lâengloutirai. La terre sâentrouvrira et il disparaĂźtra pour toujours ». + + + + + 1884-10-27 Ma fille, offre cette trĂšs douce communion pour rĂ©parer les outrages faits Ă mon Fils. Oh ! Dit-elle, que le ciel est offensĂ© par ceux qui immolent la sainte victime ! Chaque jour, mon Divin Fils en reçoit de si nombreux crucifiements que, si les Ăąmes qui ont la foi les connaissaient, elles ne s'en consoleraient jamais, jamais ! Oh ! Quel malheur pour l'Ăąme de tant de prĂȘtres ! Cela fait frĂ©mir. Sous peu, ma fille, il n'y aura plus que quelques prĂȘtres qui obĂ©iront Ă la voix lumineuse qui commande Ă tous sur la terre, en tant que Chef de la trĂšs sainte Eglise le Pape⊠Mon vouloir divin est qu'en bien peu de temps l'Eglise romaine connaisse la forme de sa SEPULTURE ; mais elle ressuscitera. L'Eglise sera un sĂ©pulcre, un tombeau de silence et d'abandon. PrĂ©parez-vous, amis fidĂšles, Ă assister aux funĂ©railles de la France. PrĂ©parez-vous Ă assister aux funĂ©railles de l'Eglise, aux funĂ©railles du Calvaire. - Assez, Seigneur ! - PrĂ©parez-vous Ă assister aux funĂ©railles du SiĂšge du Centre qui tremble, bĂąti sur l'abĂźme. - PrĂ©parez-vous Ă assister aux funĂ©railles de celui qui est le soutien de toute l'Eglise, de celui qui a, en son pouvoir, toutes les lumiĂšres par son autoritĂ© de Saint-PĂšre. - Assez, Seigneur, assez ! - Mon peuple, je ne fais que prĂ©venir. L'ApĂŽtre de l'Eglise franchira le chemin de l'exil, poursuivi par la haine et la vengeance de ceux qui ont mis Ă mort le royaume de France. Ils tremperont leurs mains dans le sang de ces victimes qui m'immolent chaque matin. Heureux ceux qui auront la foi et assez de fermetĂ© pour plutĂŽt mourir que de perdre leur baptĂȘme ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2216 + + + + + 1884-10-30 Marie-Julie voit le Saint-PĂšre prosternĂ©, de jour comme de nuit, au pied des autels. Il pleure, il prie, il est abĂźmĂ© dans la douleur "Seigneur, dit-il, votre CĆur a Ă©tĂ© transpercĂ© d'un glaive, mais vous transpercez le mien d'un glaive non moins tranchant, car je vois les peuples que vous m'avez confiĂ©s. Je les vois s'Ă©chapper et courir sous la banniĂšre de Satan ! " Ce saint vieillard offre constamment sa vie pour les pĂ©cheurs ». + + + + + 1895-07-02 Saint Michel dit Mes bien-aimĂ©s fidĂšles, courage ! Encore un peu de temps et vous verrez tout lâenfer se dĂ©chaĂźner pour tout renverser. Vous verrez des choses abominables, des violations Ă©pouvantables. La malice des hommes va encore grandir en fureur et en mĂ©chancetĂ©. La fille aĂźnĂ©e de lâEglise sera divisĂ©e, partagĂ©e, dĂ©shonorĂ©e, souillĂ©e de crimes⊠Câest mon dernier mot⊠» Et la voix vibrante de lâextatique saisi les assistants Mes bien-aimĂ©s enfants, consolez-vous Ă lâheure du dĂ©sespoir terrible, sous le coup de la Justice, la fille aĂźnĂ©e de lâĂglise verra se lever pour elle ceux qui ont Ă©tĂ© ses sincĂšres amis. Elle sera sauvĂ©e et chantera le Te Deum dâactions de grĂące ». + + + + + 1896-09-19 Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de la Salette. Le prĂȘtre nâest plus humble et nâest plus respectueux... ». + + + + + 1898-05-19 Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durĂ©e, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. Câest aprĂšs ce grand Coup quâarrivera le triomphe de lâĂglise et de la France. Dâabord paraĂźtra celui que la France prendra pour son sauveur mais ce ne sera pas le vrai Sauveur celui qui est choisi et envoyĂ© par Dieu et qui sera des lys ». + + + + + 1901-09-19 Notre Dame annonce Petites Ăąmes, amantes de la Croix, mon Divin Fils qui supporte tant de pĂ©chĂ©s, quand il voit le sacerdoce rĂ©voltĂ© contre le lien de la foi, ne se contentant pas de ses scandales et de ses offenses sans profondeur, il ajoute d'autres scandales en s'unissant aux crĂ©ateurs de la terre. Et c'est dans la ville Ă©ternelle que commence ces affreuses offenses, ainsi que dans le royaume que s'est créé mon amour maternel. Quand je vois avant longtemps cette jeune gĂ©nĂ©ration sacerdotale, quand je la vois sans recueillement, sans pĂ©nĂ©tration du grand caractĂšre qu'elle porte, je pleure amĂšrement car bientĂŽt mon Divin Fils sera mortellement blessĂ© par beaucoup ». Ces grandes promesses que les chefs mĂȘme de lâĂglise ont mĂ©prisĂ©es. Ils nâont pas voulu voir la lumiĂšre.., il est inutile que le clergĂ© se fasse plus longtemps illusion sur ses voies tortueuses et lâabandon de la priĂšre mentale et vocale. Le pauvre peuple, qui y voit clair, a fini par sâĂ©loigner de lâĂglise et cherche des divertissements ailleurs ; pauvre peuple, pauvre France et pauvre clergĂ© qui par son Ă©goĂŻsme a perdu la vraie lumiĂšre de la sagesse Ă©ternelle ». + + + + + 1901-09-29 Jâai encore Ă mes yeux, dit la Sainte Vierge, la trace des larmes que jâai rĂ©pandues Ă pareil jour, en voulant apporter Ă mes enfants la bonne nouvelle, sâils se convertissaient, mais la triste nouvelle sâils persistaient dans leur iniquitĂ©. On a fait peu de cas de ce que jâai rĂ©vĂ©lĂ©... Mes enfants, quand je me rappelle, depuis le jour oĂč, sur la sainte montagne, jâai apportĂ© mes avertissements Ă la terre menacĂ©e... quand je me rappelle la duretĂ© avec laquelle on a reçu mes paroles... pas tous, mais beaucoup Et ceux qui auraient dĂ» les faire passer dans le cĆur de mes enfants, avec une confiance immense et une pĂ©nĂ©tration profonde, ils nâen ont pas fait cas. Ils les ont mĂ©prisĂ©es et, pour la plus grande part, ont refusĂ© leur confiance. Eh bien ! je vous assure que toutes ces promesses, mes secrets intimes, vont se rĂ©aliser. Il faut quâils passent visiblement... Quand je vois ce qui attend la terre, mes larmes coulent encore... Quand la terre aura Ă©tĂ© purifiĂ©e, par les chĂątiments, de ses crimes et de tous les vices dont elle est revĂȘtue, de beaux jours reviendront avec le Sauveur choisi par nous, inconnu de nos enfants jusquâici ». + + + + + 1903-09-24 La Sainte Vierge dit Il fallait que ce temps vĂźnt pour eux, quâil y eut un rĂšgne infernal sur la terre avant le rĂšgne divin ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2216 + + + + + 1904-08-04 DerniĂšrement jâai bien souffert. Quand de saints Pasteurs prĂȘtres ont voulu que les derniĂšres lignes de mes secrets, sur la montagne des douleurs, soient connues de tout mon peuple, dâautres pasteurs se sont rĂ©voltĂ©s. Jâai eu la douleur de voir remisĂ©es, sous scellĂ©s, ces derniĂšres pages qui auraient dĂ» ĂȘtre livrĂ©es au monde... Câest parce quâil y est grandement question des pasteurs et du sacerdoce quâon sâest rĂ©voltĂ©, et quâon a repliĂ© les derniĂšres pages de ce secret divin. Comment voulez-vous que les chĂątiments ne tombent pas sur la terre ? On va jusquâĂ envelopper mes derniĂšres paroles sur la sainte montagne, et Ă les faire disparaĂźtre... jusquâĂ faire souffrir ceux qui se sont dĂ©vouĂ©s pour cette sainte cause, avec la joie de me glorifier dans cette solennelle prĂ©diction. Câest parce que ces derniĂšres lignes sont toutes au sujet du sacerdoce - et câest moi-mĂȘme qui les ai prononcĂ©es et rĂ©vĂ©lĂ©es - et que je montre comment on sert mon Fils dans les saints ordres et comment on vit son sacerdoce ». + + + + + 1905-08-15 Ce sera dans cette troisiĂšme crise que viendra le salut. LĂ , sortira du centre de son SacrĂ©-CĆur, le salut ou, pour mieux dire, celui qui est destinĂ© Ă apporter la paix. Avec son couronnement tous les maux finiront. Mes enfants, il descend de la branche de Saint-Louis mais cette Sodome coupable ne le possĂšde pas ». + + + + + 1906-06-16 JĂ©sus dit Les paroles du lien sacrĂ© de la Foi seront dĂ©tournĂ©es et mĂ©connues. On veut tromper les Ăąmes. J'avais envoyĂ© ma sainte mĂšre prĂšs des Ăąmes fidĂšles pour les prier de bien conduire leur esprit dans la vĂ©ritĂ© et de ne pas s'embourber. La plupart n'en ont pas fait cas. Satan a semĂ© l'or et les promesse ; ces pauvres Ăąmes se sont laissĂ©es prendre. Elles se sont enfoncĂ©es et ont augmentĂ© le pĂ©ril en Ă©garant et en prĂ©cipitant les Ăąmes dans le pĂ©chĂ© ». + + + + + 1906-07-19 La communion spirituelle produit dans lâĂąme de grands fruits... Mes enfants, il y a des Ăąmes qui ont gagnĂ© dix mille fois plus de mĂ©rites que par la communion sacramentelle, soit Ă cause de lâabsence de prĂȘtres, soit quâelles aient Ă©tĂ© repoussĂ©es par lâautoritĂ©. Profanation des croix et des temples, mais ces derniers seront conservĂ©s ; profanation du Saint-Sacrement. Le dĂ©mon veut tout dĂ©truire. Il ne veut pas laisser pierre sur pierre, mais il ne le pourra pas. Nos temples seront gardĂ©s... Des enfants nâayant pas encore lâĂąge de raison insultent Dieu avant de Le connaĂźtre et le blasphĂšment. Au moment de la persĂ©cution, ils seront Mes plus cruels ennemis, dit JĂ©sus. Ils parcourront les rues en portant ces sentences "Mort au Christ !", "Mort aux chrĂ©tiens !". BientĂŽt vous verrez Satan et les suppĂŽts de Satan parcourant la terre. Ils veulent anĂ©antir jusquâau Nom de JĂ©sus, ils veulent tout faire disparaĂźtre. On va briser les croix mĂȘme lĂ oĂč repose la poussiĂšre des chrĂ©tiens et on fera subir Ă cet arbre divin les insultes les plus grossiĂšres et les plus raffinĂ©es... Mon CĆur est comme rĂ©duit en miettes et dans une mare de sang. Je souffre des douleurs plus cuisantes que celles de Ma premiĂšre Passion. Ce temps qui vient nâaura jamais eu son Ă©gal sur la terre. Le Ciel sâentrouvrira et laissera voir les traits de Ma Justice irritĂ©e... Un grand nombre apostasiera, Je nâaurai plus quâune petite poignĂ©e dâĂąmes. MĂȘme dans les Ăąmes chrĂ©tiennes, la charitĂ© diminue⊠Aujourdâhui, les parents en grand nombre Ă©lĂšvent lâĂąme et le corps de leurs enfants pour les supplices Ă©ternels ». + + + + + 1907-05-27 Notre Dame annonce De nouvelles douleurs attendent le lien sacrĂ© de la Foi. Mes enfants, priez pour lui. Les douleurs donnent Ă ses jours une rapide vieillesse. Les lumiĂšre coulant dans cette Ăąme sont abondantes pour l'aider Ă conduire la barque de l'Eglise ». + + + + + 1909-XX-XX Hors de Marie-Julie Jahenny En 1909, saint Pie X, lors dâune audience au Chapitre GĂ©nĂ©ral des Franciscains, eut soudain une vision bien connue et sâexclama Ce que j'ai vu est horrible ! Sera-ce moi, sera-ce mon successeur ? Je l'ignore. Mais ce qui est certain, c'est que j'ai vu le pape quittera Rome, et pour sortir du Vatican, il lui faudra passer sur les cadavres de ses prĂȘtres ! Ne le dites Ă personne, tant que je vivrai ! ... J'ai vu les Russes Ă GĂȘnes ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2217 + + + + + 1911-07-25 Notre Dame annonce Le Saint PĂšre souffre d'intolĂ©rables angoisses. Il reçoit des plis cachetĂ©s contenant des insultes, des injures, des menaces pour le comble de ses bontĂ©s et faire participer les Ăąmes Ă de si grands trĂ©sors de grĂąces. Qu'il souffre ! Car il a des lumiĂšres sur beaucoup de prĂȘtres qui ne sont agrĂ©ables Ă mon Divin Fils. La Foi s'affaiblira jusque dans les personnes consacrĂ©es Ă Dieu. Les pauvres Ăąmes fidĂšles seront appelĂ©es au supplice, au crucifiement et Ă la cruautĂ©. Rien ne manquera Ă Rome et Ă la France ». Rappelons-nous que toutes ces prophĂ©ties sont pour notre temps et concerne le souverain Pontife qui vivra les Ă©vĂšnements. + + + + + 1911-11-27 Hors de Marie-Julie Jahenny Le 27 novembre 1911, lors du cĂ©lĂšbre Consistoire du 27 novembre 1911, au cours duquel il remit la barrette cardinalice aux Ă©vĂȘques français NN. SS. Amette, Billot, de CabriĂšres et Dubillard, au matin de la cĂ©rĂ©monie, Pie X avait passĂ© de longues heures en priĂšre dans son oratoire. En rejoignant, peu aprĂšs, Monseigneur Bisletti, il lui dit Oh ! que la Sainte Vierge est bonne ! Elle vient de me consoler grandement en me donnant lâassurance que la France serait sauvĂ©e ! » + + + + + 1914-02-09 Ă celui quâIl aura choisi, Dieu donnera toutes les grĂąces et les lumiĂšres nĂ©cessaires qui lui feront connaĂźtre les moyens par lesquels il devra mettre tout en Ćuvre pour la rĂ©gĂ©nĂ©ration de lâhumanitĂ©, telle que Dieu la veut ». + + + + + 1914-07-16, en la fĂȘte de Notre Dame du Mont Carmel Il nây aura pas une multitude dâhommes Ă conduire au trĂŽne de paix lâhomme juste et sage choisi pour relever les ruines de la Fille aĂźnĂ©e de lâĂglise ». + + + + + 1922-01-27 Marie-Julie Jahenny prononce cette priĂšre Ă la Croix Je te salue, je t'adore, je t'embrasse, ĂŽ Croix adorable de mon sauveur. ProtĂšge-nous, sauve-nous. JĂ©sus t'a tant aimĂ©e, Ă son exemple, je t'aime. Par ta sainte image, calme nos frayeurs. Que je ne ressente que paix et confiance ». + + + + + 1922-11-24 Notre Dame Annonce Je ne quitterai mon voile de deuil quâau beau matin de lâaurore de la paix, oĂč mon sol sera purifiĂ©, oĂč mes justes chanteront le " Te Deum " dâaction de grĂąces pour la pĂ©riode du temps de paix, marquĂ© par la divine VolontĂ©. Il peut monter ce temps encore, jusquâĂ 40, mais pas beaucoup plus ». + + + + + 1924-05-15 Marie-Julie Bonne MĂšre, priez pour le lien sacrĂ© de la Foi, pour la sainte Eglise oĂč les ennemis de JĂ©sus semblent porter leur regard, leur fureur et leur mĂ©chancetĂ©. Donnez au Saint PĂšre la force et le courage, toutes les grĂąces pour la sainte Eglise, son triomphe, l'humiliation et la conversion de ses ennemis, le rĂšgne du Divin CĆur pour apporter toutes les joies aux Ăąmes chrĂ©tiennes, Ă tous les cĆurs fidĂšles. Bonne MĂšre, donnez toutes grĂąces de force, de foi et de persĂ©vĂ©rance pour tous nos bons prĂȘtres, tout ce dont ils ont besoin pour glorifier le Seigneur notre Dieu et faire le bien aux Ăąmes ». + + + + + 1930-12-02 Marie-Julie Tout le Ciel prĂ©voit les besoins des Ăąmes. Donnez, Bonne MĂšre, pour la sainte Eglise, la conversion des pĂ©cheurs, le Saint PĂšre. Cela fait pitiĂ© ». Notre Dame Il est menacĂ©, il est menacĂ© par un peuple barbare l'Islam et si prĂšs des lieux si saints oĂč se manifestent tant de prodiges. Rome, Rome, Rome, oĂč il y a tant de martyrs. Il y en aura encore, Rome ! ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2217 + + + + + 1937-01-01 Les hommes n'ont pas Ă©coutĂ© les paroles prononcĂ©es par ma trĂšs Sainte MĂšre Ă Fatima. Malheur Ă ceux qui n'Ă©coutent pas maintenant mes paroles. Les hommes n'ont pas compris le langage de la guerre. Beaucoup d'hommes vivent dans le pĂ©chĂ©, le plus souvent dans le pĂ©chĂ© d' Ă ceux qui sĂ©duisent les innocents. Vous ne devez pas en vouloir Ă ceux qui ne veulent pas croire, car ils ne savent pas ce qu'ils font. Mais malheur Ă ceux qui se permettent de juger avant de sâĂȘtre informer. Les apparitions frĂ©quentes de ma bonne MĂšre sont l'Ćuvre de Ma MisĂ©ricorde. Je l'envoie, par la force du Saint-Esprit, pour prĂ©venir les hommes, et pour sauver ce qui est Ă sauver... Je dois laisser arriver cela, sur le monde entier, afin que soient sauvĂ©es beaucoup d'Ăąmes qui, sans cela, seraient perdues. Pour toutes les croix, pour toutes les souffrances et pour tout ce qui surviendra encore de plus terrible, vous ne devez pas maudire, mais remercier mon PĂšre du ciel. C'est l'Ćuvre de Mon Amour. Vous ne le connaĂźtrez que plus tard... je dois venir dans Ma Justice, parce que les hommes n'ont pas reconnu le temps de Ma GrĂące. La mesure du pĂ©chĂ© est comble, mais Ă Mes fidĂšles il n'arrivera aucun mal. Je viendrai sur le monde pĂ©cheur, dans un terrible roulement de tonnerre, par une froide nuit d'hiver. Un vent du sud trĂšs chaud prĂ©cĂ©dera cette tempĂȘte, et de lourds grĂȘlons fouilleront la terre. D'une masse de nuages rouge-feu, des Ă©clairs dĂ©vastateurs zigzagueront, enflammant et rĂ©duisant tout en cendre. L'air se remplira de gaz toxiques et de vapeurs mortelles qui, en cyclones, arracheront les Ćuvres de l'audace, de la folie et de la volontĂ© de puissance de la "CitĂ© de la Nuit". Le genre humain devra reconnaĂźtre qu'au-dessus de lui se trouve une volontĂ© qui fera tomber, comme une maison de cartes, les plans audacieux de son ambition. L'ange destructeur anĂ©antira pour toujours la vie de ceux qui auront dĂ©vastĂ© Mon Royaume. Vous, Ăąmes qui profanez le Nom du Seigneur, gardez-vous de vous moquer de Moi ; gardez-vous du pĂ©chĂ© contre l'Esprit ! Lorsque l'Ange de la Mort fauchera la mauvaise herbe, avec le glaive tranchant de Ma Justice, alors l'enfer se jettera avec colĂšre et tumulte sur les justes et, avant tout, sur les Ăąmes consacrĂ©es, pour essayer de les anĂ©antir par une terreur effroyable. Je veux vous protĂ©ger, mes fidĂšles, et vous donner les signes qui vous indiqueront le commencement du Jugement QUAND, PAR UNE FROIDE NUIT D'HIVER, LE TONNERRE GRONDERA A FAIRE TREMBLER LES MONTAGNES, ALORS FERMEZ TRES VITE PORTES ET FENETRES... VOS YEUX NE DOIVENT PAS PROFANER LE TERRIBLE EVENEMENT PAR DES REGARDS CURIEUX... REUNISSEZ-VOUS EN PRIERES DEVANT LE CRUCIFIX. PLACEZ-VOUS SOUS LA PROTECTION DE MA TRES SAINTE MERE... NE LAISSEZ AUCUN DOUTE S'INSTALLER EN VOUS, AU SUJET DE VOTRE SALUT PLUS VOUS SEREZ CONFIANTS, PLUS SERA INVIOLABLE LE REMPART DONT JE VEUX VOUS ENTOURER. BRULEZ DES CIERGES BENITS, RECITEZ LE CHAPELET. PERSEVEREZ TROIS JOURS ET DEUX NUITS. LA NUIT SUIVANTE, LA TERREUR SE CALMERA. APRES L'HORREUR DE CETTE LONGUE OBSCURITE, AVEC LE JOUR NAISSANT, LE SOLEIL PARAITRA DANS SA LUMIERE ET SA CHALEUR. Ce sera une grande dĂ©vastation. Moi, votre Dieu, Jâaurais tout PurifiĂ©. Les survivants devront remercier la Sainte TrinitĂ© de leur protection. Magnifique sera Mon Royaume de Paix et Mon Nom sera invoquĂ© et louĂ©, du lever au coucher du soleil. Priez, priez, priez, convertissez-vous et faites pĂ©nitence. Ne dormez pas comme mes disciples au jardin des oliviers, car je suis trĂšs proche. La colĂšre du PĂšre envers le genre humain et trĂšs grande. Si la priĂšre du Rosaire et l'offrande du PrĂ©cieux Sang n'Ă©taient si agrĂ©ables au PĂšre, il y aurait dĂ©jĂ sur terre, une misĂšre sans nom. Mais ma MĂšre intercĂšde auprĂšs du PĂšre, de Moi-MĂȘme et du Saint-Esprit. C'est pour cela que Dieu se laisse attendrir. Remerciez donc ma MĂšre de ce que le genre humain vive encore. Honorez-la avec un respect d'enfant -je vous en ai donnĂ© l'exemple- car elle est MĂšre de MisĂ©ricorde. N'oubliez jamais de renouveler continuellement lâoffrande du PrĂ©cieux Sang. Ma MĂšre me supplie inlassablement et, avec elle, beaucoup d'Ăąmes pĂ©nitentes et expiatrices. Je ne peux rien lui refuser. C'est donc grĂące Ă ma MĂšre, et Ă cause de mes Ă©lus, que ces jours seront raccourcis. Soyez consolĂ©s, vous tous qui honorez mon PrĂ©cieux Sang, il ne vous arrivera rien. J'inspirerai Ă mon ReprĂ©sentant de mettre continuellement en honneur le sacrifice de mon PrĂ©cieux sang et la vĂ©nĂ©ration de ma MĂšre... Quelques-uns de mes prĂȘtres voudraient-ils ĂȘtre plus pape que le pape ? Ils me crucifieront, car ils retarderont l'Ćuvre de ma MĂšre. Priez beaucoup pour les prĂ©fĂ©rĂ©s de mon CĆur, les prĂȘtres. Un temps viendra oĂč mes prĂȘtres aussi comprendront tout cela... Quand vous verrez lâaurore apparaĂźtre, sachez que ce sera le signe d'une guerre prochaine. Quand la lumiĂšre sera de nouveau visible, alors ma MĂšre se tiendra debout, devant le soleil couchant, pour prĂ©venir les bons que le temps est lĂ . Les mĂ©chants verront un animal effrayant, et crieront, Ă©pouvantĂ©s et dĂ©sespĂ©rĂ©s ; mais il sera trop tard. Je sauverai beaucoup d'Ăąmes pour l'autre vie. On est déçu parce que beaucoup de ce que j'avais ordonnĂ© d'annoncer pour inviter les hommes Ă se convertir n'est pas encore arrivĂ©. On croira pouvoir outrager des Ăąmes Ă©lues parce que, Ă cause dâelles, j'aurai retardĂ© un peu le terrible Ă©vĂšnement. Si, dans ma bontĂ© et Ă cause des expiations qui me sont offertes, Je retarde le dĂ©sastre, Je ne le supprime pas. Cela ne dĂ©pend pas du jugement des hommes ignorants. Dois-je encore, moi-mĂȘme, rendre des comptes Ă ceux qui ne veulent rien savoir ? Alors que le monde se croira en sĂ»retĂ©, je viendrai comme un voleur dans la nuit. Comme l'Ă©clair, je suis lĂ . C'est encore le temps de mon immense misĂ©ricorde, pour donner le temps de se repentir. Soyez prĂȘts, en Ă©tat de grĂące, alors vous serez en sĂ©curitĂ© sous ma protection et celle de ma MĂšre" ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Sam 21 Mai - 2219 + + + + + 1941-03-04 Parole de Notre Dame des Douleurs Je vous salue, mes enfants, de mon cĆur de MĂšre et de toute ma tendresse. Je viens Ă©tablir mon trĂŽne au milieu de vous. - Merci, bonne MĂšre ! Nous aussi, nous vous saluons, du fond de nos cĆurs. - Mes enfants, ne soyez pas attristĂ©s, si vous me voyez descendre ainsi revĂȘtue dâun deuil complet. Pas une parcelle de son vĂȘtement ne porte de la blancheur, ni aucune couleur rĂ©jouissante. Son front est voilĂ© jusquâaux sourcils. Elle est toute triste et dit Ce nâest pas Ă cause de vous, mes enfants, que je porte ce vĂȘtement noir, câest Ă cause... - son cĆur bat de douleur, je le vois bien - câest Ă cause de cette heure malheureuse qui, pour de longs jours, va vous envelopper et achever de perdre ce malheureux royaume qui me fut si cher et qui lâest encore. Si je dis longs, câest Ă cause de la profondeur de douleurs que ces jours renferment... » PersĂ©cutions religieuses et fermeture des couvents Je prends le deuil pour le reste des derniĂšres maisons de vierges qui vivent dans la priĂšre. Une heure est dĂ©cidĂ©e qui va briser leur repos intime et faire couler des larmes de regret. Toutes ces maisons seront brisĂ©es, plus tĂŽt quâaucun de vous qui avez la foi ne peut le concevoir. Tout Ă coup lâenfer va rugir. Ce cri ne cessera plus... Les ministres de mon Fils seront renvoyĂ©s de leurs demeures et dispersĂ©s au milieu du peuple. Quand la main de lâhomme perfide va se poser pour la troisiĂšme fois sur le reste de ces maisons de grĂąces qui, par leurs priĂšres, ont retenu la colĂšre de mon Divin Fils, quand cette main se posera pour la troisiĂšme fois... elle ira jusquâau bout, sans excepter personne, pas mĂȘme les familles de foi qui resteront chez elles, dans la priĂšre. Leurs demeures seront souillĂ©es par lâentrĂ©e dâhommes redoutables... Il nây a que mon Fils et moi qui connaissions la suite de leurs desseins. Ces desseins conduiront jusquâau renversement coupable, complet et parfait de toutes choses ». La Vierge lĂšve un peu sa robe noire qui cache ses pieds, et fait voir Ă Marie-Julie une large couronne noire qui nâa plus que quelques points blancs. Elle la tire de ses pieds et la prend dans ses mains virginales La voilĂ , dit-elle, cette couronne malheureuse, autrefois si blanche, si admirĂ©e de tous les rois Ă©trangers, et renommĂ©e jusquâaux extrĂ©mitĂ©s du monde. Aujourdâhui, sous cette forme douloureuse, câest la couronne de la France. Elle conservera cette couleur dĂ©chirante jusquâau jour oĂč lâHomme de Dieu, mon fils, viendra relever la France de ses ruines. Il prendra, dans les larmes, ce triste diadĂšme et se le posera autour du front, relevant, avec un cĆur brisĂ©, ce royaume tombĂ© dans les dĂ©combres les plus ignobles et les plus coupables. Dans cette couronne, mes enfants, toute la France est enfermĂ©e, exceptĂ© toi, ĂŽ Bretagne ! Jâaurais voulu ne pas la poser, cette noire couronne, pas mĂȘme sur la pointe de tes terres, ĂŽ Bretagne que jâaime ; mais mon Fils en a rĂ©servĂ© un coin pour lâĂ©preuve la plus douloureuse. Jâinterviendrai le plus que je pourrai. La Sainte Vierge lĂšve, Ă deux mains, la couronne vers le ciel et dit " Mon Fils, puisque tout mon peuple est menacĂ©, hors la Bretagne gardĂ©e par ma mĂšre et protĂ©gĂ©e par ma bontĂ©, oh ! du moins conservez le reste de vos maisons qui se sont sacrĂ©es Ă vous ; gardez, dans la paix, vos apĂŽtres, fidĂšles ; laissez-leur le repos. " La trĂšs Sainte Vierge se tait. On entend cette parole, la voix de Dieu qui parle comme juge et pĂ©nĂštre dans les profondeurs " Ma MĂšre, dans peu de temps, il nây aura plus de paix ni de repos ; dans peu de temps, il nây aura plus que la libertĂ© pour le mal, pour lâincendie, le sang et la mort. " VoilĂ les paroles que jâai entendues, fortement et avec vĂ©ritĂ©. La Sainte Vierge dĂ©pose la couronne Ă ses pieds et dit " O France si chĂšre, je te regarde dâun Ćil mouillĂ© de pleurs. Je vois cette couronne se lever de tes pieds. Tu la poseras sur ta tĂȘte. Tu viendras enfoncer sans pitiĂ© lâarme de la mort dans le cĆur de tes gĂ©nĂ©reux combattants, lâĂ©pĂ©e du trĂ©pas. " Sa voix se pĂąme comme celle dâune mĂšre Ă qui la mort vient dâenlever ce quâelle a de plus cher. La Sainte Vierge, les yeux fixĂ©s sur la France, lui dit encore " O France ! pour toi, jâai tant de fois pleurĂ© et intercĂ©dĂ©. Je ne te demande quâun seul acte de charitĂ© Ă©pargne au berceau lâinnocence ; laisse la vie aux anges de la terre, afin quâils puissent attirer sur toi le commencement de la misĂ©ricorde... Mes enfants, câest par bontĂ© que je vous prĂ©viens de lâapproche de ces calamitĂ©s mortelles et de tous les grands malheurs. Mes enfants, bien prĂšs de ce lieu oĂč vous resterez paisibles, au commencement de ce grand et dernier orage qui amĂšnera ensuite de beaux jours, vous verrez tomber de bien prĂšs des flĂ©aux si grands et si nombreux que vous serez bien angoissĂ©s de voir tant souffrir jusquâautour de vous. Mes enfants, vous verrez tomber sur le monde des maladies mortelles qui ne laissent pas mĂȘme le temps de se disposer Ă paraĂźtre devant mon Fils ». + + + + + DĂšs le 27 novembre 1902, comme aussi le 10 mai 1904, Notre-Seigneur et la TrĂšs Sainte Vierge annoncent la " nouvelle messe. " Ăcoutez " Je vous donne un avertissement. Les disciples qui ne sont pas de Mon Ăvangile sont maintenant en grand travail pour refaire Ă leurs idĂ©es, et sous lâempire de lâennemi des Ăąmes, une messe qui renferme des paroles odieuses Ă mes yeux "." Quand lâheure fatale arrivera oĂč lâon mettra Ă lâĂ©preuve la foi de mon sacerdoce, ce sont ces textes quâon donnera pour cĂ©lĂ©brer dans cette seconde pĂ©riode, la premiĂšre pĂ©riode, câest celle de la persĂ©cution oĂč les ennemis de la foi et de la sainte religion imposeront leurs formules dans le livre de la seconde cĂ©lĂ©bration... ces esprits infĂąmes sont ceux qui Mâont crucifiĂ© et attendent le rĂšgne du nouveau messie " Et Notre-Seigneur continue " Beaucoup de Mes saints prĂȘtres refuseront ce livre scelle des paroles de lâabĂźme ". Puis, tristement " malheureusement parmi eux il en est qui accepteront, il en sera fait usage. " Le 20 octobre 1903, Ă Marie-Julie qui Le supplie de ne pas chĂątier, Notre-Seigneur rĂ©pond " Ma fille, les pĂ©cheurs sont trop nombreux et trĂšs coupables. Ils ont abusĂ© de Mes grĂąces, ceux surtout qui par Ă©tat, ont Ă leur disposition Mon corps adorable et Le profanent. Non, Je ne peux plus pardonner, il faut que la justice soit satisfaite. BientĂŽt vous aurez besoin de toute votre foi ". La Sainte Vierge ajoute le 5 janvier 1904 " Satan est joyeux, il parcourt la terre... dans la clĂŽture de ses maisons oĂč sont ses disciples vivants de sa doctrine, oĂč il leur rĂ©vĂšle ses secrets sataniques pour perdre les Ăąmes. Il y porte ses conseils et les chefs de ses suppĂŽts boivent Ă longs traits ses doctrines faites de sacrilĂšges et de sortilĂšges ". Le 10 mai 1904, Elle prĂ©cise sur le nouveau clergĂ© et sa messe " Dans ce chemin odieux, sacrilĂšge, ils ne sâarrĂȘteront pas lĂ , ils en arriveront Ă dâautres qui compromettront tout Ă la fois et dâun seul coup la sainte Ăglise, le clergĂ©, la foi de mes enfants. "Elle annonce la " dispersion des pasteurs " par lâĂglise elle-mĂȘme, vrais pasteurs, qui seront remplacĂ©s par dâautres formes par lâenfer, initiĂ©s Ă tous les vices, Ă toutes les iniquitĂ©s perfides qui couvriront les Ăąmes de souillures... nouveaux prĂ©dicants des nouveaux sacrements, de nouveaux temples, de nouveaux baptĂȘmes, de nouvelles confrĂ©ries... + + + + + Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur les Papes et le Saint Pontife. Page 1 sur 1 Sujets similaires» Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne.» Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur le Grand Monarque Henri V de la +» Marie Julie Jahenny» Les prophĂ©ties de la Fraudais de la stigmatisĂ©e Marie-Julie Jahenny.» En son temps, Marie-Julie JAHENNY 1850/1941 prophĂ©tisait ...Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Forum Catholique LE MONASTĂRE INTĂRIEUR. LES FORUMS CHRĂTIENS PROPHĂTIES ET APPARITIONSSauter vers
Pasle temps pour les regrets Les erreurs n'appartiennent qu'Ă nous-mĂȘmes, nĂ© pour amener ma part de progrĂšs [Booba:] Je vis de haine et d'eau fraĂźche, d'illicite et de pĂ©chĂ© Mon seul taf' je
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