Letemps de pousse de ce gazon est rapide. Il faut compter entre 03 Ă  07 jours pour commencer Ă  entrevoir l’aspect final de la pelouse. Les fĂ©tuques sont une variĂ©tĂ© de gazon rĂ©putĂ©e pour la
Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Le ParcMatilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Ven 26 AoĂ» - 006 L'air joyeux de la fillette aux cheveux d'argent s'Ă©tait soudain dissipĂ© Ă  la question pourtant anodine de Matilda. Elle avait rĂ©pondu d'un ton distant "Je suis nĂ©e en France, en Normandie. J'ai vĂ©cu en Angleterre et vis maintenant Ă  Toom, en Irlande. Mon pĂšre est un sorcier qui travaille dans les affaires. Et ma MĂšre elle... ne travaille plus..." Les mots semblaient lui peser. Ainsi elle Ă©tait d'origine française, encore une ! DĂ©cidĂ©ment ils Ă©taient nombreux Ă  Poudlard. Mais elle avait vĂ©cu en Grande Bretagne toute sa vie, ce qui expliquait son elle vivait Ă  Toom. Matilda ne s'attarda pas sur cette ville Irlandaise dont elle ne connaissait pas la son pĂšre Ă©tait un sorcier. Et sa mĂšre alors ? Est-elle moldue ? Connaissait-elle alors l'existence du monde magique ? Risquait-elle d'en parler aux autres moldus ? Pourquoi le pĂšre qui Ă©tait sorcier Ă©tait-il avec une moldue ?Ainsi il travaillait dans les affaires. Quelles genres d'affaires ? Ce n'Ă©tait pas une question qui intĂ©ressait rĂ©ellement sa mĂšre ne travaillait plus. L'effort qu'avait fait Elise pour prononcer ces derniers mots Ă©tait intriguant. La Serdaigle pensa d'abord Ă  l'Ă©ventuelle mort de la mĂšre de son interlocutrice. Cela expliquerait pourquoi son visage s'Ă©tait soudain assombrit, sa mĂšre n'Ă©tait peut-ĂȘtre mĂȘme pas moldue mais simplement plus une sorciĂšre pour que la fillette ait besoin de le prĂ©ciser. Ou bien peut-ĂȘtre que la qualitĂ© de moldue dela mĂšre l'avait poussĂ© Ă  commettre un acte horrible qui l'avait envoyĂ© en avait posĂ© sa question sans grand intĂ©rĂȘt, uniquement pour engager la conversation, en espĂ©rant ne pas trop s'Ă©tendre sur un sujet qui ne l'intĂ©ressait pas. Pourtant la rĂ©ponse de la petite blonde avait piquĂ© sa curiositĂ©. Elle voulait en savoir plus, mais fut prise de court par le renvoie de sa propre interrogation sans intĂ©rĂȘt "Et... Hum... Toi tu viens d'oĂč ?- Moi je vis prĂšs de Londres, j'ai toujours vĂ©cue lĂ  bas, dans un quartier de sorciers. Mes parents aussi sont des sorciers, Ils tiennent un magasin de meubles magiques. Et puis j'ai une grande sƓur et un grand frĂšre" rĂ©pondit Matilda regard recroisa celui de la Gryffondor Ă  prĂ©sent allongĂ©e sur la pelouse. Elle avait l'air pensive. Les questions de Matilda lui brĂ»laient les lĂšvres. La timiditĂ© de la fillette l'empĂȘchait de les laisser sortir, ainsi que la gĂȘne de l'autre petite fille face Ă  la question prĂ©cĂ©dente qui avait semblĂ© indiquĂ© qu'elle ne souhaitait pas partager les dĂ©tails de sa vie avec Matilda. Sans doute ne l'estimait-elle pas digne de confiance. Peut-ĂȘtre n'y voyait-elle aucun intĂ©rĂȘt puisque la Serdaigle Ă©tait trop ennuyeuse pour mĂ©riter sa conversation. MĂȘme la fleur qu'elle dĂ©membrait Ă©tait plus captivante. Ce fut presque compulsivement qu'elle reprit son air joyeux pour faire part Ă  Matilda de l'odeur exquise du cƓur de fleur qu'elle venait de porter Ă  son nez. La sorciĂšre bleue et bronze Ă©carquilla les yeux de surprise et d'incomprĂ©hension. Bon trĂšs bien, puisque le sujet des origines Ă©tait clos, parlons de la flore du parc."Ah oui ? je veux bien sentir. dit Matilda plus par politesse que par rĂ©el effet la fleur sentait bon. Mais cela ne mĂ©ritait pas tant d'excitation."C'est vrai qu'elle sent bon. On devrait en parler au monde entier." dit elle d'un ton ironique, totalement blasĂ© en s'allongeant dans l'herbe Ă  cĂŽtĂ© de sa camarade sans la quittĂ© de son regard percent dans lequel on pouvait y voir en plus une lueur taquine. Elle Ă©tait marrante cette fille lunatique qui s'extasiait pour tout et n'importe quoi et qui gardait une part de mystĂšre sur son passĂ©. Matilda en saurait plus, lorsque le moment serait plus opportun. Elise GreenGryffondor Re Dans le jardin, sur la belle pelouseElise Green, le Ven 2 Sep - 2052 Entre ciel et terre. Entre flore et mer. Le vent dans mes cheveux argentĂ©s. Je me remĂ©more une chanson française. Elle sort de mes pensĂ©es, passe outre mes cordes vocales et entre mes lĂšvres... Et s'Ă©tire vers le ciel. A travers les nuages. Les murmures forment des paroles de plus en plus distinctes... Allez viens, j't'emmĂšne au vent... Balancement de tĂȘte, dans l'herbe, les pieds faisant des mouvements saccadĂ©s. Ma compagne d'un jour sent la fleur, me prenant certainement pour un folle. C'est vrai qu'elle sent bon. On devrait en parler au monde entier. »Je hoche la tĂȘte alors qu'elle s'allonge Ă  mes cĂŽtĂ©s. Sans me quitter des yeux. Sans cesser de me regarder comme une bĂȘte curieuse. Je tourne brusquement la tĂȘte, l'observe, la jauge et lui relance un sourire. Je soupire doucement. L'air frais se balade sur mon visage, entre mes cheveux de neige. Contraste entre chair chaude et cheveux glacĂ©s. Je repose mon regard plein de gazon sur Matilda. Elle est intrigante cette fille. Elle me suit dans ma bĂȘtise, dans ma lĂ©gĂšretĂ©. Ou alors elle a juste peur que je sois complĂštement timbrĂ©e et fait mine d'ĂȘtre dans le mĂȘme dĂ©lire que moi de peur que je ne lui saute dessus... Ahah, voilĂ  qui est amusant. Un papillon azurĂ© volette au dessus de moi, passant outre un nuage qui semble si proche et si loin vu d'ici. Vu d'en bas. Il se rapproche, j'arrĂȘte de respirer. Un instant, il se pose sur mon nez, puis s'envole vers Matilda. Je tourne lentement la tĂȘte vers la jeune fille, le papillon se pose sur son front, puis reprend sa route. Planant, battant des ailes. De fleur en fleur. Je me place sur le flanc, la main contre l'oreille, de façon Ă  voir mon interlocutrice. Je lance alors Qu'est ce que tu veux faire plus tard, Matilda ? Moi, je ne sais pas trop. Certainement quelque chose d'important... J'aime diriger. Commander. »Mon regard se perd dans le vague, sur le gazon qui nous sĂ©pare. Oui, quelque chose d'important. Entre reprendre l'entreprise de PĂšre ou... Travailler au ministĂšre, pourquoi pas ? C'est un bon choix. Et c'est pas trop mal payĂ©. Mais les abysses m'appellent de plus en plus, les secrets, la magie oubliĂ©e, les mĂ©andres obscures des pratiques interdites... J'ai un lĂ©ger soupir. Le Choixpeau m'a t-il envoyĂ© dans la bonne maison ? Ne serai-je pas plus Ă  ma place parmi les Serpents ? Non, je me plais chez les Lions. Il faut simplement que la Lionne qui sommeille en moi se rĂ©veille. Ca ne va pas tarder, non, pas tarder. Attendre, encore. Ne pas perdre patience. Jamais. Matilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Dim 18 Sep - 2021 Le son doux du vent dans les feuilles des arbres, le lit de verdure moelleux, la chaleur agrĂ©able du soleil et sa lumiĂšre qui se reflĂ©tait dans ses cheveux ainsi que dans ceux de sa camarade, cet instant harmonieux apaisait Matilda. Elle se laisserais bercĂ©e ainsi durant des heures, Ă  ne penser Ă  rien d'autre qu'Ă  ce qui l'entoure. La fillette Ă©tait toujours allongĂ©e sur le cĂŽtĂ©, de maniĂšre Ă  voir sa camarade si elle s'adressait Ă  elle, mais son regard s'Ă©tais perdu dans le vague jusqu'Ă  ce qu'un battement d'aile vienne la sortir de sa somnolence. Le petit insecte se posa sur le nez de la Gryffondor avant de se diriger vers le front de la Serdaigle. Ses petites ailes bleues s’arrĂȘtĂšrent de battre un instant, se dĂ©voilant au regard de Matilda qui louchait difficilement pour les observer. S'il avait Ă©tĂ© loin d'elle, elle aurait tentĂ© de s'approcher dĂ©licatement pour voir sa robe de plus prĂšs. A prĂ©sent qu'il Ă©tait au plus proche, il Ă©tait impossible de l'observer distinctement. Elle pouvait Ă  peine voir sa couleur en faisant effectuer Ă  ses yeux une acrobatie qui risquait de lui donner la migraine si elle continuait. Ce n'est que lorsque de nouveau s'envola vers d'autres cieux qu'elle pu le voir nettement mais pendant un laps de temps beaucoup trop restreint. Encore une leçon Ă  retenir probablement. On ne voit les choses clairement que lorsqu'elles sont hors de portĂ©e. La petite blonde qui se tenait toujours devant elle imita sa position pour l'observer dans la nouvelle conversation qu'elle engageait "Qu'est ce que tu veux faire plus tard, Matilda ?" Dit-elle de maniĂšre tiens ! Bonne question. Question que La petite sorciĂšre Ă©vitait de se poser, lassĂ©e de ne jamais trouver de rĂ©ponse."Aucune idĂ©e, dit elle rapidement avant d'ajouter en souriant Je verrais bien si je trouve ma vocation au cours de la scolaritĂ©. Et toi ?- Moi, je ne sais pas trop. Certainement quelque chose d'important... J'aime diriger. Commander." rĂ©pondit sa camarade, excitation du dĂ©but semblait s'ĂȘtre dissipĂ©e. VoilĂ  qui Ă©tait intĂ©ressant Elle Ă©tait ambitieuse et aimait diriger. Les qualitĂ©s qui avait manquĂ© Ă  Matilda pour l'envoyer Ă  Serpentard n'avaient pas suffit non plus Ă  Elise pour faire partie des Verts et argents. Cela n'avait pas l'air d'affecter ses projets pour autant, si l'on pouvait les nommer se laissa tomber sur le dos et plaça la main gauche sous sa tĂȘte et la main droite sur le ventre avant de dĂ©clarer "Alors moi c'est pas du tout mon truc la direction. Je n'aurais aucune crĂ©dibilitĂ© en chef, et ce serait trop de responsabilitĂ©s pour moi je pense, j'aurais toujours trop peur de mal faire" dit elle avec un lĂ©ger rictus Ă  la fin de sa elle se tourna Ă  nouveau vers sa camarade et plaisanta d'un ton faussement solennel "Tu sera Ministre de la Magie, et moi je serais vendeuse de meubles dans le magasin de mes parents."Son ton caricatural confirma l'une de ses peurs qu'elle ne voulait pas avouer puisqu'elle savait ĂȘtre sa destinĂ©e Devenir comme ses parents. Elise GreenGryffondor Re Dans le jardin, sur la belle pelouseElise Green, le Dim 9 Oct - 1843 Wow, j'ai du retard noooon sans blague ? ! Milles excuses... - Alors moi c'est pas du tout mon truc la direction. Je n'aurais aucune crĂ©dibilitĂ© en chef, et ce serait trop de responsabilitĂ©s pour moi je pense, j'aurais toujours trop peur de mal petite camarade rĂ©ajuste sa position dans l'herbe tendre. Est-elle timide ? C'est bien ce que je pensais, mais je n'ai rien dit. C'est vrai qu'elle fait un peu rĂ©servĂ©e mais... Bon, pour commander, il ne faut pas avoir ce dĂ©faut. Enfin, ça n'en est pas un vĂ©ritable. Disons juste qu'il est partiellement handicapant. Je ne suis pas comme elle. Je ne suis pas rĂ©servĂ©e. La preuve ! Je suis allĂ©e vers elle. Inconnue Ă  mes yeux. Je tourne la tĂȘte et sourie Ă  ma camarade. Je fixe le ciel, alors qu'elle Tu sera Ministre de la Magie, et moi je serais vendeuse de meubles dans le magasin de mes Ă©clat de rire m'Ă©chappe. Son ton est cynique. Je ne sais pas trop si elle veut rire, ou si elle est sĂ©rieuse... Je rĂ©plique alors lentement, en essayant de paraĂźtre la plus naturelle Ministre de la Magie... Je ne sais pas. Mais en tout cas je ne deviendrai jamais comme mes parents. Ils sont un peu... AustĂšres.. Enfin, surtout MĂšre. PĂšre est un peu plus laxiste. En mĂȘme temps, il passe son temps Ă  l'Ă©tranger. Je ne le vois pas souvent. Quand j'Ă©tais plus jeune, nous Ă©tions rassemblĂ©s tous les jours mais maintenant la vie est un peu plus triste. Je tourne la tĂȘte vers elle et m'empresse d'ajouter, sur un ton qui se veut rassurant - Mais je suis heureuse malgrĂ© tout ! Je me lĂšve soudain, me plante devant elle et l'observe, les mains sur les hanches. Depuis combien de temps suis-je lĂ  ? Je me suis levĂ©e trop vite. La Terre tourne trop vite, sous mes pieds. J'ai un sourire, puis je lance Ă  Matilda - Il est temps que j'y aille. Ce fut un plaisir ! J'espĂšre qu'on se recroisera un de ces quatre ! A plus Matilda !Je lui adresse un signe de la main et un clin d’Ɠil, puis me dirige en silence vers le chĂąteau. Quelle belle journĂ©e !Fin du RP pour moi Matilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Dim 13 Nov - 131 Le rire carillonnant de Elise fit sourire Matilda Ă  son tour. Sa camarade dit finalement d'un ton neutre qui ne parvenait pas Ă  dissimuler un sentiment plus profond "Ministre de la Magie... Je ne sais pas. Mais en tout cas je ne deviendrai jamais comme mes parents. Ils sont un peu... AustĂšres.. Enfin, surtout MĂšre. PĂšre est un peu plus laxiste. En mĂȘme temps, il passe son temps Ă  l'Ă©tranger. Je ne le vois pas souvent. Quand j'Ă©tais plus jeune, nous Ă©tions rassemblĂ©s tous les jours mais maintenant la vie est un peu plus triste."Encore cette distance lorsqu'elle parlait de ses parents. Encore ce poids qui semblait peser sur son petit cƓur qui entrait Ă  peine dans l'adolescence. Comme Matilda. Les relations familiales Ă©tait Ă©tranges chez tout le monde, plus ou moins agrĂ©ables, et leur Ăąge ne faisait qu'accentuer le sentiment qu'elles Ă©prouvaient pour leurs parents. Matilda se sentait dĂ©calĂ©e, dĂ©tachĂ©e de sa famille. Elle ne parvenait pas Ă  distinguer les sentiments qu'Ă©prouvait l'autre premiĂšre annĂ©e Ă  ses cĂŽtĂ©s, mais il y avait sans doute une certaine distance entre elle et ses parents Ă©galement, le fait de les appeler "MĂšre" et "PĂšre" le trahissait. Matilda aurait aimĂ© en savoir plus."Mais je suis heureuse malgrĂ© tout !" dĂ©clara son interlocutrice prĂ©cipitamment avant de se lever est temps que j'y aille. Ce fut un plaisir ! J'espĂšre qu'on se recroisera un de ces quatre ! A plus Matilda !- Salut Elise ! Je suis contente qu'on ait parlĂ© aussi, on se recroisera sĂ»rement, Ă  bientĂŽt !" rĂ©pondit Matilda en s'asseyant dans l' fillette lui fit un signe de tĂȘte avant de tourner le dos Ă  Matilda pour se rendre au chĂąteau, ses cheveux d'argent s'envolant au grĂ© du vent. DrĂŽle de personnage. Sympathique, un peu excentrique, repris son manuel en quĂȘte d'Ă©tude, comme si la conversation n'avait pas eut lieu, alors qu'elle avait fait prendre une toute autre tournure Ă  la journĂ©e de la petite Serdaigle qui avait commencĂ©e avec la boule au ventre par peur d'ĂȘtre persĂ©cutĂ©e, c'est le cƓur lĂ©ger de s'ĂȘtre peut-ĂȘtre fait une nouvelle amie qu'elle se terminerait. Non, ne nous emballons pas, elles avaient juste discutĂ©es dans le parc, pas Ă©changĂ© les paroles de l'amitiĂ©.[Fin du RP]HRPG Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Ven 30 DĂ©c - 1122 RP privĂ© avec Gabrielle PhoenixMusique...Qu'avais je demandĂ© ?Qu'aurais je pus faire ?Tant de question qui me passe par la m’obscurcissent les les retourne encore et j'ai beau essayer je ne parviens n'arrive pas Ă  fichue rĂ©ponse Ă  mes doucement les larmes se mettent Ă  yeux regard forme comme un voile devant mes toile que je ne souhaite que pouvoir rĂ©ellement y ? Qu'ais je fais ?Serait-ce une punition ?Je sais que je la cause des douleurs que j'ai ce monde, tant de gens qui ne m'avait rien je suis seule perdu le chemin tout tracĂ© qui dĂ©filait sous mes voulu me une nouvelle je me suis maintenant j'erre la caresse du soleil qui se est la rosĂ©e sous mes j'avance sans infinie de mes d'Ă©ternitĂ© qui se brise Ă  mes ne suis plus, ai-je jamais Ă©tĂ© ?Je sens mon sang cƓur battre et ma poitrine se vis du est-ce depuis que je m'en suis rendu compte ?Depuis que je ne suis plus qu'une des faut que je me je me suis dĂ©jĂ  tellement rien n'importe n'y a plus personne pour m' rendre la lumiĂšre que j'ai tant vie est cruelle et ne fait pas de pour les gens comme abandonnĂ©. C'est sans doute ce que je n'ai plus la force de me l'envie de je habitude c'est n'ai pas envie de me tout de si je n'ai plus de si je ne suis plus que il reste quelque sentiment longtemps simple lumiĂšre brillant dans le suffirait de la le cauchemar prendrait bien ne sais plus. Peut-ĂȘtre que suis-je dĂ©jĂ  en plein tout j'ai toujours vĂ©cu dans l’ des des je demandĂ© ?Je ne voulais qu'une enfance n'Ă©tait pas trop espĂ©rer
Mais non, c'Ă©tait bien trop a fallu qu'ils me briser, me cela leur a-t-il apportĂ© ?Une fillette sans de de gĂ©rer sa ont fait naĂźtre le poisson de la haine en moi. Et maintenant, aujourd'hui je ne suis plus qu'un une arme, une lame ne fais pas de cadeau, ce n'est pas ma dois Ă©vacuer mon la douleur est tout ça fait moi, je me consume petit Ă  dois faire mal et couler le sang de ma lame si de mes ne peux pas en je n'ai pas le ne peux pas trouver la bonne avant qu'ils ne finissent par m'envoyer Ă  lĂ  tout sera suis faut que je m'en la lumiĂšre est si n'est pas faute d'avoir essayĂ© de l' y a bien des gens qui ont voulu m' poufsouffle au regard de pu bonheur Ă©tait prĂ©sent et si jaune m'a pris par la que tout nous m'a l'ombre est que j'appelle homme qui aurait tant dĂ» m' nous a a doucement pointĂ© sa baguette sur d'un sortilĂšge m'a offert une once de centuple de ce que j'avais pu ressentir jusqu' hurler, ne sert Ă  pour pour eu mal, si mot pour ne pas blessure, ouverture dans ma robe blanche imbibĂ©e de a Ă©crit ce que je vois toujours Ă  mon ? lui ? cause de lui ? que je l'aimais ? peut bien couler la douleur elle cesse en ne me quitte pourquoi » n'ont jamais de pour moi en tout m'assieds dans la marrĂ©e de chatouille doucement mes lentement mes yeux se se rouvrir aussi ne veux pas Ă  cet mes paupiĂšres sont combien de temps n'ai-je pas dormi ?Combien de nuits blanches puis-je compter ?Trop pour rĂ©sister au pour ĂȘtre encore en ĂȘtre encore mourir de fatigue ?LittĂ©ralement ?Tomber et ne plus ce est cette fille ?Ce corps dans lequel je suis enfermĂ©e .Ce n'est plus ne suis plus une simple contacte mouillĂ©s des vĂ©gĂ©taux contre mes meurtrie par le nombre de chĂątiments j’ quelque chose qui n'arrivera personne qui n'existe l'espoir est toujours je ne peux que me plier Ă  sa patienter sans guide, une lanterne sur le ai tellement je le sais tout au fond de une fois personne ne voudrait aider quelqu'un comme moi ?Une personne brisĂ©e au-delĂ  de ce que l'on peut n'ai sans doute plus d' j'ai besoin de ne pas continuer d' Ă©dition par Ellana Lyan le Sam 7 Jan - 1415, Ă©ditĂ© 1 fois Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Lun 2 Jan - 1147 Bon bah... j'ai Ă©tĂ© bien inspirĂ©! Oups... Je retourne aussitĂŽt bloquer! Le temps des fĂȘtes n’était plus trĂšs loin, le temps de son retour approchait, ce qu’elle avait hĂąte ! Ces quelques mois passĂ©s au chĂąteau ne s’étaient pas particuliĂšrement mal passĂ©s, disons simplement qu’ils s’étaient dĂ©roulĂ©s, sans lui demander son avis. Elle avait fait quelques rencontres, rien de trĂšs marquants cependant, des Ă©lĂšves Ă  droite, Ă  gauche, de sa maison et d’autres. Elle se concentrait surtout sur les cours, et le passage de ses prĂ©vu en fin d’annĂ©e. Elle passait le plus clair de son temps dans la tour des serdaigles, oĂč elle se sentait plus Ă  l’aise qu’en premiĂšre annĂ©e. Elle avait enfin compris qu’elle n’avait pas le tempĂ©rament de feu des gryffondors, qu’elle Ă©tait appelĂ©e Ă  dĂ©velopper d’autres capacitĂ©s. Elle essayait d’en apprendre le plus possible, Ă  travers la lecture notamment, quand la bibliothĂšque de chĂąteau ne lui suffisait pas, elle n’hĂ©sitait pas Ă  passer une tĂȘte chez Fleury et Bott. Elle en profitait pour se promener sur le Chemin de Traverse ce qu’elle aimait faire depuis matin lĂ , l’adolescente avait traĂźnĂ© au lit durant plusieurs dizaines de minutes, son premier cours de la journĂ©e n’étant qu’en fin de matinĂ©e. Elle descendit Ă  la grande salle pour prendre son repas, seule comme Ă  son habitude. Cela ne la dĂ©rangeait pas plus que ça, elle n’avait ainsi pas Ă  suivre des conversations la bouche pleine, et Ă  faire face aux Ă©lĂšves matinaux tout joyeux dĂšs l'aube, ce qui n’était pas, vous l’aurez compris, son cas. La grande salle Ă©tait quasi vide, comme la plupart des Ă©tudiants Ă©taient dĂ©jĂ  en cours. Son repas fini, elle jeta un coup d’Ɠil Ă  sa montre, il lui restait encore du temps avant son cours et elle Ă©tait Ă  jour dans son travail. Petit soupir. De satisfaction ou d’ennui ? Comment combler ce temps ? Ce temps Ă  dĂ©penser, Ă  consommer, Ă  perdre... Certains en rĂȘveraient, seraient prĂȘt Ă  la payer pour quelle leur concĂšde quelques-unes des longues minutes de rĂ©pit dont elle disposait dans la journĂ©e. Gabrielle Ă©tait simplement organisĂ©e, studieuse, et mine de rien l’absence de relation amicale lui libĂ©rait beaucoup de temps dont elle jouissait seule. Elle attrapa une veste dĂ©cidĂ©e Ă  aller faire un tour dans le parc qui ne devait pas ĂȘtre surpeuplĂ©e Ă  cette heure. En sortant, elle sentit l’air froid, mais pas glacial, s’engouffrer dans ces poumons. Un temps de printemps canadien songea-t-elle amusĂ©e. Son rĂ©fĂ©rentiel climatique Ă©tait bien perturbĂ© depuis son arrivĂ©e sur le sol anglais. Elle se mis Ă  marcher tranquillement, et dĂ©cidant tout de mĂȘme de rentabiliser son temps, elle dĂ©cida de prĂ©parer mentalement une liste de prĂ©sents qu’elle comptait offrir Ă  ses proches. C’était incroyable ce que l’activitĂ© libĂ©rait la crĂ©ativitĂ©. Vous connaissez tous ce syndrome de la page blanche, n’est ce pas ? Si, si vous savez bien, ce moment horrible oĂč assis face Ă  une feuille rien ne vous vient. C’est la panne sĂšche dans votre tĂȘte. Alors que quand vous gambadez dehors, curieusement vous avez dans la caboche de quoi Ă©crire un roman. Ce petit syndrome touchait aussi souvent notre aiglonne, c’est pourquoi elle avait choisi une alternative autre que l’assise derriĂšre un bureau. Si seulement en promenade elle avait une plume et un parchemin volant Ă  ces cĂŽtĂ©s en permanence ! Elle tacha donc d’évoquer plusieurs idĂ©es tout en flĂąnant entre les pelouses. Elle avait du temps libre, encore, en fin de semaine qu’elle avait prĂ©vu de consacrer Ă  ses achats Ă  PrĂ©-au-lard, elle trouverait sans doute de quoi ravir ceux qui lui Ă©taient chers. Un sanglot vint interrompre le cours de ses pensĂ©es. Mais d’oĂč provenait-il ?D'une silhouette de dos, posĂ©e sur la marrĂ©e verte qui luisait d’un reflet nacrĂ©. Le sol devait ĂȘtre mouillĂ©, pourtant ladite silhouette ne semblait guĂšre s’en soucier, accablĂ©e, accaparĂ©e par sa douleur. Une douleur qui semblait impossible Ă  contenir en elle, puisqu’elle la laissait s’exprimer dans son corps. Ce corps de jeune fille. Blonde. Une chevelure platine retenue par un serre-tĂȘte. Gabrielle fronça les sourcils, cela n’était pas sans lui rappeler une criniĂšre identique dĂ©couverte au cours d’études des moldus, il y a une dizaine de jours. Aujourd'hui, maintenant, c’était le bon moment. Elle s’approcha de quelques pas, l’autre Ă©lĂšve devait surement l’avoir entendu approcher, marquer une pose puis se diriger vers elle. Ne voulait pas trop la surprendre ou avoir l’air menaçante, l'aiglonne se plaça face Ă  l'autre adolescente, en maintenant une certaine distance pour ne pas violer l’intimitĂ© de cette derniĂšre. Elle s’accroupit Ă  son niveau pour ne pas avoir l’air de la lui dire maintenant ? " Salut, comment vas-tu ? " Mal forcĂ©ment, ça se voit bien ! " Qu’est ce qui ne va pas ? " Peut-ĂȘtre qu’elle n’a pas envie que tu le saches ! " As-tu besoin de quelque chose ? " Pas mal
 " Besoin " mmh bof en fait, elle risque de se sentir redevable. Bon, on va essayer quelque Salut
 fit alors la bleu et bronze d’une voix douce, ça n’a pas l’air d’aller constat. RĂ©action dĂ©nuĂ©e d’intĂ©rĂȘt en apparence, mais que faire d’autre ? Cela laissait la blondinette libre de tout, de confirmer ou d’infirmer la supposition, Gabrielle ayant pris garde de ne pas formuler d’affirmation pour ne pas la froisser. Si elle refusait sa compagnie, la brunette ne serait pas contrariĂ©e, certaines personnes n’avaient pas besoin des autres quand elles exprimaient leurs peines
 dans un premier temps. Par la suite, la serdaigle pensait qu’un soutien humain Ă©tait nĂ©cessaire, mĂȘme s’il Ă©tait si dur parfois de reconnaĂźtre en avoir besoin. Etre fort ne signifie pas ĂȘtre seul
DerniĂšre Ă©dition par Gabrielle Phoenix le Ven 6 Jan - 1145, Ă©ditĂ© 1 fois Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Mar 3 Jan - 1113 Musique...Une musique Ă  mes air fait couler l' brĂ»lantes sur mes de tenter vainement de les ont leur place mes yeux et le un visage attitude de n'attends plus de ce vent passe sur mon brise fait un instant voler mes mon visage de douleur au maman, ce que tu as fait ?Une mĂšre aussi aimante que ne parle plus de ma de cette autre qui porte tous les mĂšre qu'attends-tu de moi ?Que cherches-tu dans ma souffrance ?N'en as tu pas assez ?De me voir assise comme ça ?BrisĂ©e comme je l'ai jamais ne prends-tu plus soin de moi ?Ne suis-je plus un de tes enfants ?Une de ces filles que tu chĂ©ris me tournes-tu le dos ?J'ai besoin de toi
Maman
Je suis seule et j’ la chance la vie puisse me il n'y a DĂ©truisez-moi alors
Brisez-moi puisque vous ne pouvez ne savez plus m' reconnaĂźtre, me vous l'avez pourtant toujours ne m'oubliez vous en je ne sois pas qu'une tant d' moi exister encore un je marque mon temps de quelques reprenez- tel en est votre en votre de cet affreux je ne cherche plus un Ă©lan d' soupçon de ne l'est plus quand seule compte la a perdu sa besoin de quelqu' me berce et sĂšche mes t'en supplie de tous mes ne compte plus mes pardonne-moi et je sortirais de ma besoin de toi, Salut
 ça n’a pas l’air d’aller porte mon regard sur la quelqu'un tant dĂ©sirer qui vient de me plus je la fille qui mĂȘme cours que l'enfant qui ce un ange ?Est-ce elle que tu m’envoies ?Non. Les anges n'existent c'est une oiseau ça quand c'est clouĂ© au la petite elle n'est pas comme ce doit ĂȘtre fĂ©e qui est venue se pour me juste que ce n'est pas un crĂ©ature de l' alors nous serons du moins elle aussi fichue l' non je ne crois devant le regarde Ă  travers le forment mes meurs d'envie de lui c'est elle l'ange que l'on m'a n'est pas comme si la magie n'existait je me demande tout de ce n'est pas, un simple Bonjour
On s'est dĂ©jĂ  vue je priori dans un que fais-tu lĂ  ?Je ne cherche plus Ă  Ă  qui masque est longtemps j'ai vouloir me forte, sans ne suis plus une une gamine on a coupĂ© les qu'elle juste Ă  se souffrance me pris dans ses tout cela n'est qu' les cauchemars ne me laissent aucun tellement pour m'endormir sans rĂȘver de c'est impossible sans cesse reviennent les les a associĂ© Ă  de l' que je me sente fois que je fichu que j'ai qu'en permanence je genre de subir ça Ă  son propre je suis perdue et je un ocĂ©an de mer de doucement mon embarcation je me vois tomber dans les je ne me dĂ©bats n'ai plus la force. Plus le me laisse comme un vers les eaux fermer les yeux mais quelque chose m'en qui a parlĂ© me tient son regard, de ses m’empĂȘche de tomber comme je ne peux pas encore, ça ne serait pas finir avoir pu une bleue non quand mĂȘme une on y je reste assise ne sombre sol mouillĂ© me glace les je n'ai que faire de suis bien la mort et la le matin, le finirais plus viendra le quand elle sera sera mieux Vois-tu ? Comprends-tu ?As-tu dĂ©jĂ  Ă©prouver ?Ce sentiment d'ĂȘtre ne plus comme une Ăąme sans tourner dans un cercle ne plus rien un ange petit bleu ?Un oisillon comme Mary ?Descendue tout droit des rendre un sens Ă  ma ne me prend pas pour si je ne suis pas tout Ă  fait saine d' te vois avec une bon, la regarde un ça ne fait pas de bien un n'est pas possible pire si je me je Ă  perdre ?N'est-ce pas plutĂŽt un compliment ?Si j'en suis presque autant qu'elle le prenne n'a pas l'air je fais ce qu'il me chante. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Dim 22 Jan - 1850 Mille excuse pour ce retard choupette, j'espĂšre qu'en lisant ce que tu m'as inspirĂ© tu vas me pardonner!La jeune fille rĂ©vĂ©la son visage baignĂ© de larmes Ă  la serdaigle. Elle ne semblait pas en avoir Bonjour
 rĂ©pondit-elle d’une voix effacĂ©e. Si sa bouche avait des yeux, ils seraient probablement perdus dans le vague, au loin. - On s'est dĂ©jĂ  vue je crois. À priori dans un cours. Mais que fais-tu lĂ  ? questionna-t-elle vent froid venait faire rougir ses joues ruisselantes, laisser sa marque, sa brĂ»lure sur la peau pĂąle du serpent. Ses yeux s’agrippĂšrent Ă  ceux de l’aigle. Comme une sensation de dĂ©jĂ  Vois-tu ? Comprends-tu ? As-tu dĂ©jĂ  Ă©prouver ? Ce sentiment d'ĂȘtre perdu. Oui
 - De ne plus exister. D'errer comme une Ăąme sans vie. ComplĂštement dĂ©laissĂ©e. Je l’ai dĂ©jĂ  vĂ©cu
- De tourner dans un cercle infini. De ne plus rien m’en souviens comme si c’était hier
Gorge qui se sert. Mots qui frappent juste. En pleine cible. En plein cƓur. Qui rĂ©sonnent dans les trĂ©fonds de son ĂȘtre. Douleur va renaĂźtre. Poids grandissant au creux de son estomac. Une pierre qui l’entraine vers la terre, qui l’oblige Ă  plier le genou. Qu’elle tente de refouler, d’oublier. Mais ces mots viennent l’ rajouter une couche, une Ă©paisseur, une que l’aigle est Ă  terre avec le serpent dans la cavaliĂšres dĂ©sarçonnĂ©es de leurs quilles renversĂ©es par la anges dĂ©chus. Peut ĂȘtre viennent-elles du mĂȘme royaume cĂ©leste?Elle aurait aimĂ© porter coups et et bleus ont disparus mais les mots rĂ©sonnent des couteaux dans son de sang, pas de viennent parasiter sa ce n’est pas son tour, ce n’est pas son moment. Sa peine, ses douleurs ont Ă©tĂ© Ă©pongĂ©es. MĂȘme si les rĂȘves en sont un rappel Es-tu un ange petite bleu ? Un oisillon comme Mary ? Descendue tout droit des cieux. Pour rendre un sens Ă  ma ? Ma douce, ma seule amie ? Puis-je encore parler d’elle en ce terme ? Mary, est-ce Ă  cause de mon absence qu’elle a
 dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e, qu’elle a laissĂ©e la porte ouverte Ă  Folie ? Si je l’avais comblĂ©e de ma prĂ©sence, les choses auraient Ă©tĂ© si diffĂ©rentes. Sentiment de culpabilitĂ© immonde. NausĂ©es Ă  ses m’en veux. Je me dĂ©goute. J’exerce ma n’étais pas assez forte pour moi-mĂȘme, qu’aurais-je pu faire pour toi, innocente Mary ?Et toi sinople blessĂ©e, que puis-je faire pour t'aider?Je n'ai pas mĂȘme trouvĂ© le sens de ma vie, comment puis-je t'aider Ă  te rĂ©aliser?- Non ne me prend pas pour folle. MĂȘme si je ne suis pas tout Ă  fait saine d'esprit. Je te vois avec une aurĂ©ole. Alors bon, tant ? Non, tu ne semble pas l’ĂȘtre. A l’agonie, osera-tu l’admettre ? Dans tes yeux, je vois ton ĂȘtre que tu laisses apparaĂźtre, peux-tu devant moi te le permettre ?Un dans les cƓurs face Ă  l’ t’entends. Tu as tellement besoin d’ĂȘtre plus que t’écoute. Tu as tellement besoin d’ĂȘtre Ă©coutĂ©eJe te vois. Tu as tellement besoin d’ĂȘtre vue telle que tu de le vois en sont ceux qui en sont puis-je ?En utilisant un besoin de mot pour traduire ce qui se corps parle pour elle semble avoir soif de paroles, de pommade. Il est trop tĂŽt pour venir l’étaler sur ses Ă  elle a premiers Ă©tape sĂ©curiser le lieu. La blessĂ©e et la secouriste ne craignent rien de plus en cet endroit que la mĂąchoire du vent, prĂȘte Ă  leur donner une morsure Ă©tape Ă©valuer l’état de la victime. Mauvais. Au Ă©tape trouver l'aide nĂ©cessaire. Moi. Je ne suis pas lĂ  avec toi. Je suis lĂ  pour toi. J’éluderais donc sa premiĂšre Ă©tape donner les premiers soins. Commencer par laisser s’exprimer la souffrance. La douleur. Et la reconnaĂźtre. Elle est lĂ . IndĂ©niablement. Vouloir rassurer trop vite la dĂ©licate tĂȘte blonde pourrait produire l’effet inverse, elle pourrait y voir une nĂ©gation, un refus d’acceptation de sa secoue doucement la tĂȘte. - Je ne suis pas un ange, juste une Ă©lĂšve, une parmi d’autres. Mais contrairement aux autres je suis lĂ , ici et maintenant. J’ai tellement de chose Ă  dire mais je crains tellement mal agir, mal m'exprimer, je ne veux pas qu’elle souffre davantage, je ne veux pas remuer de lame dans sa plaie, je ne sais que trop bien ce que ça fait. Je laisse sortir quelques mots, dĂ©licatement choisis, en soutenant son regard, elle n’est plus seule. Mais comme elle est dĂ©jĂ  noyĂ©e dans les abysses de la souffrance, je ne veux pas la submerger d’un tsunami de Le truc avec la souffrance, c’est qu’elle exige d’ĂȘtre ressentie
 Et d’ĂȘtre empreinte des mots qui ne sont pas les siens. Mais qu’importe s’ils tombent Que se soit par des mots ou des larmes, ça fait du bien de les libĂ©rer, c'est indispensable... On garde parfois sa douleur bien en soi parce qu’on pense qu’il n’y a rien d’autre, qu’on est devenu sa douleur mais c’est faux. Tu es toujours lĂ , tapi au fond de toi-mĂȘme. Ça nous rassure de ressentir de la peine parce qu’elle nous rappelle qu’on est toujours en vie... Sa voix manque de s'Ă©teindre aussi. Mais elle ne peut pas se le permettre. Ce n'est pas pour elle qu'elle joue cette terriblement peur de ce que je dis, je veux qu’elle ressente que je ne la juge pas pour quoique ce soit. Qu'ai-je fais dans sa situation?Cache tes blessures, n'en parle attention, le secret d'Ă©tats d'Ăąme, pas de comment je pensais m’en libĂ©rer, m’en dĂ©livrer
 Je croyais que c’était cela ĂȘtre forte
 Mais je me trompais ta le poison qui te ronge comme de l' ' bloque la de de mieux souffrir qu'ĂȘtre en moins, c'est un Ă©tat jour tu craques, tu laisses une faille d'oĂč s'Ă©coule le pus de tes ou purifie ton tout produit faut prier que ce jour lĂ , une personne soit purification est un grand chute l'issue est faut une personne pour nous rattraper, nous rĂ©cupĂ©rer au que, pensant bien faire,L’on ne s’écrase face contre terre
 La douleur, c’est purement subjectif. Il n’y a pas de grande ou de petites douleurs. Il n’y a pas de douleurs pires ou moindres. Qu’elle soit physique ou psychiques, mĂ©ritĂ©e ou non, il n’y a nul besoin de le ne sais pas quel mal te ronge, mais tu as le droit de souffrir. Car c’est un droit pas un n’a pas Ă  me raconter son histoire. Je l’y invite s’il elle le souhaite, si elle en ressent l’envie, le besoin. Elle n’a pas de compte Ă  me rendre, de justification Ă  me faire. Juste parler et avoir l’assurance de les mots qu’elle laisse couler - le poison qu'elle Ă©limine de son systĂšme - tomberont dans une oreille attentive peut l’aider. Parfois, il n’y a pas besoin de plus. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Sam 28 Jan - 1937 Musique mais va falloir la passer en boucle...J'aimerais
Qu'on me ma vie en mieux aurais-je droit Ă  une deuxiĂšme chance ?Non, il n'y en a pas, des gens comme vivent de de mes des ne suis plus que j'erre sans cet autre monde si loin de j'aimerais
Mais tu vois je n'ai pas le choix, entends ma complainte au ciel, vois mes larmes ruisselant sur mon visage dĂ©chirĂ©. J'ai mal tu sais, au fond j'ai toujours connu cette douleur. Et lĂ -haut, par-dessus les nuages, je vois un visage qui me nargue, destin, ait pitiĂ©, sauve-moi de cette injustice, j'ai besoin
 Tellement besoin. Qu'on me sauve, qu'on me brise. Contradiction ? PrĂ©servĂ©e ou dĂ©chirĂ©e. Ce n'est qu'un choix, une stupide dĂ©cision Ă  prendre. Fait l'a ma place, je t'en conjure, lance la piĂšce dans l'azur de cet endroit cĂ©leste. N'ai pas peur, montre-moi, pille ou face ? J'attends ton jugement
 Je ne le crains pas mais m'offre Ă  lui, dans cette derniĂšre espĂ©rance. Envoie-moi un signe, mĂȘme si ta main tremble, que ton regard s'embue et que tes lĂšvres s'Ă©tirent, je mĂ©rite de savoir
 Je t'en supplie
 Ne joue pas avec moi, je suis dĂ©jĂ  si affaiblie. Que me reste-t-il ? Je n'ai plus rien
 Ni but, ni objectif, je ne suis qu'absence et dĂ©sillusion. En-mĂšne moi je t'en prie confie-moi Ă  ta sƓur
 Faucheuse mortelle qui d'un coup parfaitement maĂźtrisĂ©, pourra couper sans regret, le simple fil qui me rattache Ă  la terre, laisse-moi pĂ©rir et lentement, me faire bercer dans ses bras. Je ne vaux pas plus que ça, offre-moi des ailes noires, laisse-moi devenir un ange des tĂ©nĂšbres, crĂ©ature dĂ©chue des enfers. Pourquoi me refuses-tu ce droit ? J'ai le droit de connaĂźtre la vĂ©rité  Dit moi simplement, s'il y aura une suite Ă  mon existence ou si je suis condamnĂ©e Ă  planer comme je le fais maintenant. Mes yeux se ferment, simplement. Que fais-je ici ? Je tourne la tĂȘte vers l'autre. Une sauveuse ? Non un ange
 Je le vois comme si elle l'avait Ă©crit en grand sur son le sens comme si mon instinct me le fille n'est pas une simple Ă©lĂšve, c'est un me sens lĂ©gĂšrement coupable, ne devrais-je pas fuir ?Suis-je assez digne de lui parler, moi la fille de la nuit ?Sans doute ne le serais-je jamais, mais je ne puis serait lui manquer de respect, Ă  elle
 CrĂ©ature de a pris la peine de se pencher sur mon cas, d'ĂȘtre ? Devine-t-elle ? Voit-elle ?La crĂ©ature, le dĂ©mon qui sommeille en moi ?Cette chose incontrĂŽlable créée par la folie de mes par la mienne, je ne sais plus, ne veux plus ne suis pas capable, pas assez forte pour assumer pareille si grosse remise en question
 Et puis, l'ange me parle. Ses mots chantent. Ses mots s'envolent. Font vibrer dĂ©licatement mes tympans
Elle veut que je m'exprime
 Que je me libĂšre. En suis-je capable ? Je doute sans cesse. Parler d'eux, de lui
 Y arriverais-je ? Je ne sais pas
 Cette fille est une parfaite inconnue, elle nie ĂȘtre un ange, pourquoi veut elle me mentir ? Sans doute a-t-elle besoin de cacher son identitĂ© aux yeux du commun des mortels
 Ou bien, peut-ĂȘtre qu'elle a vu ma noirceur profonde, qu'elle a pris peur et n'a pas oser me parler de ça. Je ne suis qu'une idiote ! Mais quand je vois ses yeux emplis de compassion, mes remords s'envolent. Elle n'a pas eu peur, elle ne voit pas le dĂ©mon. Elle doit sentir en moi ce que certains appellent le bon cĂŽtĂ©, ce que je considĂšre comme quasi inexistant chez moi. Je n'ai jamais vraiment vu cette partie de mon ĂȘtre, peut-ĂȘtre juste aperçue, mais elle a disparu. Je le sais, je le sens
 Elle est partie avec lui. Avec Albus, avec mon cƓur et ma maintenant, je ne suis plus qu'une Ăąme vide, morte, tannĂ©e par la souffrance. Ô douleur, je t'en prie, ai pitiĂ© de moi. Je ne suis pas assez forte pour te rĂ©sister, j'ai cru, j'ai voulu
 Mais tu avais raison, je ne suis qu'une crĂ©ature condamnĂ©e, emmĂšne-moi, met fin Ă  mes jours. Je ne crierais pas je te le promets. Je serais docile, comme il l'a voulu l'autre soir, comme il me la demandait quand j'ai frappĂ© la rouge, quand son sang Ă  perler la neige immaculĂ©e. Je l'ai vue Ă  ce moment, l'horreur sur son visage, mon cƓur dĂ©chirĂ© par son expression. Comme s'il apercevait enfin, le monstre qui se cachait en moi. Ce serpent que je tentais chaque jour de combattre mais que j'ai fini par ne plus maĂźtriser. Je me suis fait piĂ©ger Ă  mon propre jeu. J'aimerais tant qu'il me pardonne. Mais cette Ă©poque est rĂ©volue. Je ne suis plus ni prĂ©datrice, ni victime, je ne suis que fantĂŽme errant. Sur cette terre trop ronde, ce monde trop n'ai pas ma place ici, je ne l'ai jamais eue, je m'en veux d'avoir pu croire, d'avoir pu penser que j'Ă©tais assez forte pour tout ça. Mais, la vĂ©ritĂ© m'a vite rattrapĂ©e, elle m'a jetĂ©e au sol sans mĂ©nagement. Ce doit ĂȘtre ce que certains appellent la justice, oui la mĂ©chante finit par pĂ©rir, ne plus ĂȘtre que l'ombre d'elle-mĂȘme. Mais qui choisit donc les rĂŽles ? Se donnent la responsabilitĂ© et le droit de faire pencher la balance. Pourquoi jamais au bon moment ? J'ai eu ce que je mĂ©ritais et pourtant j'enrage, je crie Ă  l'injustice de mon existence. Je n'arrive pas Ă  me plier Ă  la volontĂ© de ce destin qui n'ose pas choisir pour moi. Et je ris de la mort, je suis encore bien trop vivante. MĂȘme si mes membres dĂ©charnĂ©s, mes yeux cernĂ©s, corps, cƓur et Ăąme dĂ©truisent. Pour tout recommencer ou finir maintenant. Je ne parviens pas Ă  choisir, Ă  me mettre d'accord avec loin de ce monde de reviens Ă  la yeux de l'ange me ce monde dois ĂȘtre un agent entre conscience et suis la fille du mort et et affliction. Le jour veut me voir nuit me mon ĂȘtre, ma tĂȘte et mes me demande d' cesser d'ĂȘtre cette crĂ©ature se cherche sans se dois cet nuit me me je ne suis plus ne peux l'ignorer plus longtemps, il faut que je lui rĂ©ponde, que je lui parle. Lui offrir moi aussi, les sons de ma voix. AprĂšs tout c'est moi qui ais commencĂ© Ă  lui parler cauchemars et malheur. Mes mains tremblent, j'ai si peur. Qu'elle ne soit que mon jugement dernier, lĂ  pour peser le bien et le mal avant de m'emporter dans les cieux ou de me rendre Ă  mon berceau. Mais il n'y a pas besoin de balance, je suis mal je le sais. Je ne tente mĂȘme pas de le nier, je le sais depuis trop longtemps. Cet inscrit au plus profond de moi. Au-delĂ  du sang et de la chair, dans une dimension que je n'ai jamais Ă©tĂ© capable que d’effleurer. Que je redoute plus que tout. Car elle me ferait verser, irrĂ©mĂ©diablement dans la noirceur, par n'importe laquelle, celle qui tue sans pitiĂ©, mais je ne peux pas me permettre, d'utiliser cette ultime horreur cachĂ©e en respire et sens mon cƓur battre doucement dans ma poitrine 
 Boum
 Boum
Je dois lui expliquer, lui Boum
Depuis le dĂ©but
 - La souffrance, petit ange, je la connais si bien, elle fait partie de nous tu sais . Parfois elle parts, mais ce n'est que pour mieux revenir
 Chez moi, pour moi
 Les larmes ne suffisent pas, j'ai essayĂ© si tu savais, j'ai eu mal jusqu'Ă  vouloir m'en dĂ©chirer en deux, mais je n'ai pas rĂ©ussi, la mort ne m'attire pas, la vie non plus
 Je suis coincĂ©e ici, vivant dans cette nuit infinie, fantĂŽme errant, fuyant les dĂ©mons de son passĂ©. Mais je ne suis pas d'accord
 Pour moi il y a deux sortes de douleur celle qui fait mal et celle qui nous change
 Et moi je souffre, petit ange, j'ai mal, chaque jour qui passe, chaque seconde qui s'Ă©coule mais j'attends. Attitude stupide ? Je n'en doute guĂšre
 Mais, je suis prisonniĂšre de mes tourments, depuis si longtemps. Et au loin je vois, doucement, cet espoir qui s'enfuit devient de plus en plus inatteignable. J'aurais tant souhaitĂ©, retourner dans mon innocente, mais mes rĂȘves sont terminĂ©s, le cauchemar a commencĂ© quand j'avais cinq printemps et n'a jamais lointain, pourquoi est-ce que je parle ? Pourquoi dis-je tout ça ? Suis-je comme ça ? J'aimerais la soutenir, lui dire qu'elle a raison, rester optimiste, pour elle
 Parce que ce petit ange qui me trouve Ă  moitiĂ© morte en cet instant aurait mĂ©ritĂ© bien mieux que ce que je ne serais jamais capable d'offrir. Je lui offre mes yeux dĂ©chirĂ©s encore une fois, fini le regard perçant de la prĂ©datrice, celui hautain de la noblesse et ce dernier dĂ©goĂ»tĂ© de de la sang pur. Oui, mon existence se rĂ©sume en regard et chacun peut aujourd'hui lire ma douleur dans ces yeux Ă  elle, j'aurais voulu montrer autre du nĂ©ant, du vide, du aimĂ© lui transmettre du remercier de sa prĂ©sence, de son oreille surtout de sa voix qui rĂ©sonne encore en si jolie mĂ©lodie, qui me fait cet OcĂ©an de je reviens sur la quittent mes cauchemars, il ne faut pas que je nouveau dans la folie de la avec elle, je ne me le permettrai simple paria Ă  qui elle prend le temps de sais que je ne mĂ©rite pas cette elle ne semble pas peut-ĂȘtre n'y fait elle pas anges sont tellement la vois diffĂ©rente et pourtant si façon de parler de la ? A-elle dĂ©jĂ  vĂ©cu cela ?Est-ce elle aussi une miraculĂ©e ?Descendue des cieux pour m'aider et me elle nie, elle a niĂ©, je ne sais plus quoi penser. J'aimerais qu'on m'Ă©claire, apprendre Ă  la dĂ©couvrir, voire ce qu'il se cache chez cette jumelle lumineuse, ce bon cĂŽtĂ© du miroir. Âme de lumiĂšre pour cƓur de noirceur. Ange et dĂ©mon rassemblĂ©es pour pouvoir survivre Ă  la vague mortelle qui se rapproche dangereusement de l'enfant qui ne possĂšde pas d'ailes. L'eau lĂšche le bord de la plage, le poison s'infiltre dans le sable. Le serpent regarde le tout sans expression mĂȘme si elle sait que quand le liquide nĂ©faste arrivera jusqu'Ă  elle, elle en mourra sans possibilitĂ©s de retour en arriĂšre. Elle est au courant et ne semble pas s'en prĂ©occuper, peut-ĂȘtre est-ce dĂ» au fait que ce sont en partie ses propres larmes et le sang qu'elle a fait couler qui ont contribuĂ© Ă  alimenter la marrĂ©e qui s'approche de plus en prĂšs d'elle, planant dĂ©licatement, il y a un ange, crĂ©ature cĂ©leste dont la mission est de voler au secourt de la diablesse. La vague se rapproche les deux enfants le savent, un reste neutre, l'autre tente Ă  l'aider. De la faire reculer, mĂȘme si ce n'est que pour quelque temps. Il faudrait le faire, construire cette digue, ce brise-lame, capable d’empĂȘcher d'avancer, faute de savoir l'Ă©radiquer, ce poison, cet acide, qui meure d'envie de venir lĂ©cher les pieds de la petite dĂ©mone qui ne rĂ©agit plus. On pense que son heure est sans doute venue, peut-ĂȘtre est-ce vrai. Mais il y a encore dans ce monde de blancs et de noir. Des gens pour croire que rien n'est perdu. Que la vie continue. Et lĂ -bas sur cette plage de sable blanc, la marrĂ©e noire avance les seconde et l'angoisse qui monte, dans le cƓur de l' diablesse est entravĂ©e, l'eau a tant attendu ce ne peut plus se battre, elle n'a jamais pu, bien trop faible, il est temps de prendre le sur cette plage, une forme blanche, qui se bat Ă  coup de de comprĂ©hension qui rĂ©veille doucement le petit l'inciter Ă  continuer, Ă  dĂ©passer, Ă  construire un arrĂȘter cette mer de l'enfant de la nuit prend la main de l' que l'eau nĂ©faste pousse son premier hurlement d' est une redoutable force de vie
 Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Dim 5 Mar - 2221 - La souffrance, petit ange, je la connais si bien, elle fait partie de nous tu sais. Parfois elle parts, mais ce n'est que pour mieux revenir
 Chez moi, pour moi
 Les larmes ne suffisent pas, j'ai essayĂ© si tu savais, j'ai eu mal jusqu'Ă  vouloir m'en dĂ©chirer en deux, mais je n'ai pas rĂ©ussi, la mort ne m'attire pas, la vie non plus
 Je suis coincĂ©e ici, vivant dans cette nuit infinie, fantĂŽme errant, fuyant les dĂ©mons de son passĂ©. Mais je ne suis pas d'accord
 Pour moi il y a deux sortes de douleur celle qui fait mal et celle qui nous change
 Et moi je souffre, petit ange, j'ai mal, chaque jour qui passe, chaque seconde qui s'Ă©coule mais j'attends. Attitude stupide ? Je n'en doute guĂšre
 Mais, je suis prisonniĂšre de mes tourments, depuis si longtemps. Et au loin je vois, doucement, cet espoir qui s'enfuit devient de plus en plus inatteignable. J'aurais tant souhaitĂ©, retourner dans mon innocente, mais mes rĂȘves sont terminĂ©s, le cauchemar a commencĂ© quand j'avais cinq printemps et n'a jamais mots coulent Ă  flot, comme l'encre d'une plume qui se dĂ©verse sur un parchemin, comme les doigts agiles d'une jeune fille dansant sur un douleur se dĂ©verse de la plaie, le poison coule, goutte, pullule, se rĂ©pand hors du systĂšme. Mais soudain je doute. Terriblement. Est-si c'Ă©tait une erreur immense que de la faire parler, que de l'Ă©prouver d’avantage?Chaque mots semblent lui si ils venaient comme des Ă©carteurs, Ă©loignant les deux bords d'une plaie, qui peine dĂ©ja tant Ă  se envie de me mordre les lĂšvres et... mĂȘme de pour moi pour mon sort, je n'ai pas Ă  m’apitoyer. Je me me semble me sens tout ce que je ne peux pas lui son passĂ© que je ne peux pas sa douleur que je lui fait regrette presque aussitĂŽt de m'ĂȘtre penchĂ©e sur elle, ce n'est pourtant pas l'envie, le cƓur qui j'ai peur, terriblement ne servir Ă  rien. Pire, peur d’aggraver la plus tard, de la n'Ă©tais pas lĂ  quand Mary avait besoin de moi, je ne sais comment ne veux pas la forcer, pas la blesser d’avantage, je n’aurais peut ĂȘtre pas dĂ» m’appelle petit ange encore
Je me sens soudainement cette cette n'a rien de je n'ai rien de ne mĂ©rite pas ce titre, cette n’ai rien fait de n’ai rien fait du c’est ce que je fais le ne cause de tord Ă  ne critique ne blesse pasJe ne me mets personne Ă  ne suis pas en fin de de les vies de de point fixe, pas d' pourtant, aujourd' la la la me sens reliĂ©e. Tenue par ce cette dans ces son son son passĂ© qu'elle vient de suis ans
Son sort Ă©tait suis au bord des bord de la estomac est atrocité Mais qui aurait osĂ© ?Toucher Ă  une sa puretĂ© voler son tendres douceurs de son mĂȘme si quelques dĂ©ceptions venaient entacher son jeune ce que quelques erreurs, dans la vie d’une enfant sage?Elle est ici au demi-vie vie maudite lui vie davantage emplie de petites morts que de je la sorciĂšre qui se tient aurait devenir un Obscurus, s’ tient-elle bon depuis tant d'annĂ©es?C'est inhumain?Son sort la une sorte de miraculĂ©e?Gabrielle, tu n’es pas lĂ  pour a mal, elle ose le de temps t'es tu tues/tuĂ©e avant de faire de idiotie. Tu as mal, tu n’es pas le mal ! La nuance est tellement nĂ©cessite d’ĂȘtre n'es pas devenue rien ne semble t' douleur, je l'ai connu parles de celles...Celle qui nous fait mal
Celle qui nous change
.Comment une douleur pourrait nous faire changer sans avoir mal ?Comment ne pas changer quand on a mal ?C’est sont toutes deux aussi mort ne m'attire pas, la vie non plus
 Un seul monde m’attirait aussi, celui des rĂȘves, il abolissait tout, lois, temps, espace, moins c'est ce que je croyais, j' je sais. Aucun issue de cette brĂ»le tant que le sang relativise sa moment de bonheur est un don du ciel Ă  cĂŽtĂ© de chaque souffrance a eu ce second dĂ©part, cette seconde chance, ce renĂ©e de mes cendres? Pas complĂštement. Chaque chose en son jour viendra, la rĂ©surrection sera attendant, cette fille t' ne peux pasla sauver pour ml' tu peux la ramener d'une petite par lĂ  qu'il faut ne suis pas fĂ©ru de contact charnel, mais je sais ne pas en ĂȘtre avare quand il y en a me semble que je doit lui tendre, lui bouĂ©e, qui l’aide Ă  flotter le temps de resaler. Une Ă©paule sur laquelle s’appuyer le temps de remonter en main pour maintenir la sienne le temps de prendre une De renouveau. D'envie. De soutien. De volontĂ©. De force. De suis disposĂ©e Ă  tout lui moins Ă  peut tout moment qu'elle ne cherche pas Ă  m'utiliser. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Sam 11 Mar - 1225 J'ai oubliĂ©, me suis temps l'instant et les secondes qui ne cherche plus rien d'autre que cette ne veux pas m'achevez, qu'il me laisse ne supporte plus d'ĂȘtre ainsi je ne rĂ©flĂ©chis plus, n'en ais plus de tout analyser, je suis bien trop n'ai pas envie de me un mur de Ă  s' veux simplement cette lĂ©gĂšre brise contre mon juste ĂȘtre lĂ , ici et n'ai plus Ă  chercher autre montrer, que je ne suis pas encore je peux continuer Ă  me battre, un seul tout mes dĂ©mons avant de cet ultime champs de guerre Ă  assez ne suis pas faites pour ĂȘtre soldat, je ne suis pas nĂ©e pour tenir une arme, mais pourtant c'est au fond de moi que ce cache le poignard. J'ai tant voulu le dĂ©truire, me dĂ©truire pour Ă©vacuer le poison de mon sang, mais je n'y suis pas parvenue, je n'en Ă©tais pas capable, bien trop fable pour faire ce genre de manipulation, j'ai eu peur du feu, peur de me brĂ»ler. Alors j'ai simplement attendu, que le verdict tombe, que ma mort approche, mais l'agonie est lente et au lieux de me donner l'envie de vouloir mettre moi mĂȘme un terme Ă  mon existence, elle m'offre une cruelle illusion appelĂ©e espoir. Je ne sais pas, ne sais plus, si je dois y croire ou bien fuir ce mot qui me semble Ă  la fois bienveillant et menaçant pour ma qualitĂ© de spectre. Si seulement rien de tout cela n'Ă©tait arrivĂ©, si je n'Ă©tais qu'une enfant de banalitĂ©. Mais le cruel destin en a choisi autrement, alors je me tais, je me plie, exauçant la moindre de ses exigence puisque je n'ai pas le choix, comme une esclave j'obĂ©is bien qu'entre mes dents les haine est bien prĂ©sente envers ce maĂźtre veux fermer les yeux, me recroqueviller et m'endormir, peut ĂȘtre Ă  jamais, peut-ĂȘtre pour une nuit, je ne veux pas savoir. Chaque membre me fait mal mais je m'applique Ă  souffrir en silence, mĂȘme si les autres le remarquent, je n'ai pas le choix. Doigts qui passent sur mon visage, mes cernes, mes lĂšvres. Mains qui retombent au sol sans comprendre ce que le corps reflet de l'Ăąme Ă  pu devenir. À l'heure oĂč le soleil semble briller si intensĂ©ment, lĂ  sur l'herbe du vert printemps l'Ăąme dĂ©chirĂ©e reste mais pas seule. Enfant accompagnĂ©e, par ce que les yeux voient comme un ange, alors le contact d'une main pour ne rien lĂącher, la surprise, brin d’espoir, nouveaux regard. Lentement, petit Ă  petit, une confiance nouvelle qui naĂźt envers l'ange pour l'enfant des brise qui vient faire voler les mĂšches et je me sens si faible, j'ai tant besoin de cette impression, comme un dĂ©sir de me sentir Ă  l’abri, protĂ©ger de ce danger incessant qui semble planer sur moi. Regard suppliant, regard d'enfant quand je me rapproche pour la serrer dans mes bras, juste quelques instant de contact, le temps d'une larme qui tombe, avant de retrouver la distance, mais les doigts pourtant toujours entremĂȘlĂ©s. Alors je souris, non visiblement mais bien intĂ©rieurement. L'autre Ă  mon Ăąge pourtant je la vois plus grande, pas adulte car je ne leur accorde pas ma confiance, pas grande sƓur, pour moi elle ne sont pas forcĂ©ment gentille, peut ĂȘtre simplement comme une amie ? Je ne suis pas spĂ©cialiste de ce terme, gĂ©nĂ©ralement les relations que j'ai avec autrui ne sont que rarement positive mais bien d'animositĂ©. Pourtant alors que je ne l'a connais qu'Ă  peine, je ne peux m’empĂȘcher d'avoir cette impression ce sentiment que le petit ange est belle et bien d'empathie et non un ĂȘtre cruel prĂšs Ă  retourner les apparence et me plonger un poignard dans le dos. Je serre un peu plus les doigts de l'ange et tourne la tĂȘte vers elle. J'ai envie de parler, lui dire quelque chose, simplement faire couler les mots hors de ma gorge et les laisser se rĂ©pandre autour de moi, pour rentrĂ©e vidĂ©e au chĂąteau et peut ĂȘtre mĂȘme rĂ©ussir Ă  m'endormir. Mais les phrase restent bloquĂ©e et j'enrage de ne plus ĂȘtre capable de faire sortir les mots de mes lĂšvres, je ne suis pas douĂ©e pour communiquer mais j'avais pensĂ©, simplement espĂ©rer que cela puisse ĂȘtre diffĂ©rent, que je pourrais lui confier, mais maintenant que la premiĂšre vague est sortie plus rien ne veux s'Ă©chapper. Cruelle tant te raconter petite ange, te partager comme je l'ai fait, la douleur, les malheurs, les pleurs. Mais qu'en ferais tu ? Cela ne t’empĂȘcherait-il pas de dormir ? Serais-tu vraiment apte Ă  m'aider ? Je ne veux pas te causer de soucis, je n'ai mĂȘme pas envie que tu te retrouve mĂȘlĂ©e Ă  tout ça, pourtant j'ai cet irrĂ©pressible besoin, cette envie de te confier un partie de ma vie, pas spĂ©cialement le passĂ© mais que dirais-tu du prĂ©sent ? C'est plutĂŽt un beau cadeau non ? On peut en faire pratiquement ce qu'ont en veux, lui offrir la forme dĂ©sirĂ©e et quand viendrons les jours sombres et qu'il sera passĂ© alors les souvenirs Ă©mergerons et apporteront un peu de sĂ©rĂ©nitĂ©. Qu'en penses-tu ? Veux tu faire partie de mon prĂ©sent ?- Comment t'appelles-tu ?Honte Ă  moi de ne pas simple nom de l' humaine de cette perdu au loin, pour une ne sais que faire, que peur qu'elle s'en aille, qu'elle me je ne veux pas que tu souhaite tu puisse faire partie de mon que tu seras d' sais que ce n'est pas une proposition en je te fais confiance, pour en faire de te montrerais que je peut ĂȘtre digne de ensemble nous repousserons la marĂ©e noire. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Lun 1 Mai - 1510 Alors qu’une main tendue. Sonne comme une s’empresse d’accepter et mĂȘme de prend mon bras, et mon torse tout rapprochement inattendu qui me pousse dans mes n’ai jamais connu telle refoule les pulsions premiĂšres qui me crient de Ă©lan d’affection vĂ©cu comme une refuse de cĂ©der Ă  cette souvenirs qu’ĂȘtre maintenue vient me n’est pas sens cette tonicitĂ©, loin d’une froideur pesante. Mais d’une prĂ©sence, d’une confiance projetĂ©e, accolade perds son regard le temps de cette embrassade. Puis le retrouve quelque chose dans ce regard, d’un peu fragile et de lĂ©ger comme un vient de naitre. Que je lui ai pacte est donc pris mes responsabilitĂ©s, de ne pas la dĂ©cevoir, ne jamais la laisser contrat signĂ© sans plume et sans encre ni papier. Loin des traĂźtres traitĂ©s nĂ©gociĂ©s, puis dans le nĂ©ant le silence d’un de ce pas le continuum dans lequel l'on se perd, l'on se vies bruyantes s’en sont dans le silence de ce matin lĂ , nous nous sommes un brin d’herbe ne gĂ©mit, pas une pierre ne grince, pas un souffle ne soupire Ă  mes sont lĂ  bien sĂ»r, musiciens du monde j’ai Ă©teint mon ouĂŻe, j’ai court-circuitĂ© le cĂąble qui nous seule vĂ©ritĂ© prĂ©sente Ă  mes yeux, la seule qui fait du bruit est l’enfant voix qui tintinnabule. Comme une clochette d'argent annonce un bon Comment t'appelles-tu ?Question Ă©trange. Ou ponctue les premiĂšres rencontres. Simple code Ă  respecter. Ou vĂ©ritable de curiositĂ©. D'envie. Donc de je m’appelle ? La question se pose si je n’étais plus simplement moi-mĂȘme. Comme si je n’existais plus indĂ©pendamment d’ demander, alors que tu m’as dĂ©jĂ  appelĂ©e?A ma naissance, j'ai reçu un prĂ©nom, une envie hĂ©ritĂ©e de mes gĂ©niteurs, que je n’ai pas m'appelle...Non je ne m'appelle pas. J'ai Ă©tĂ© nommĂ©, voilĂ  ce qu'il est juste de prĂ©nom ne me dĂ©plaĂźt pas, ne vous mĂ©prenez pas. Mais je ne comprends pas l’intĂ©rĂȘt portĂ©e Ă  cette information qui ne me dĂ©finit pas. Mais comme je ne suis plus lĂ  pour moi, je rĂ©ponds ce qu'elle veut J'ai reçu le prĂ©nom de crains de retourner la question. A l’entente de la souffrance passĂ©e que je vais ramener. Mais trop tard, une norme de rĂ©ciprocitĂ© est activĂ©e, piĂštre humaine que je suis, je peine Ă  y rĂ©sister. Un Ă©change de bon procĂ©dĂ©, une reconnaissance rĂ©ciproque activĂ©e. - Comment souhaites-tu que je t’appelle ? Je te laisse protĂ©ger ton passĂ©, ton identitĂ©. Tu existes pour moi en tant que ce que tu choisis d’ĂȘtre. Tes tortionnaires ne te dĂ©finissent pas. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Lun 1 Mai - 1922 Parfois la vie est une traĂźtresse, souvent elle nous blesse poignard dans le dos, perle qui coule et la au la lune rit de nos malheurmais aujourd'hui pasalors que tout laissait penser que c'Ă©tait bientĂŽt la fin que l'enfant offrait son derniĂšre soupire ses derniĂšres larmes d'un voile qui se dĂ©chireune apparition lumineuse sur la douce et fraĂźche rosĂ©eun pas lĂ©ger et pas d'ange comme une Ă©tincelle dans la nuit ta main, ma main pour un matin sourire plus brillant que l'astre timide ses yeux qui offrent l'envie de se battre celle de remonter la pente de retrouver cette envie de ses mots, sa voix qui rĂ©sonne comme une douce mĂ©lodie, symphonie du matin dans le ciel clair et sous le chant des oiseaux, Ă  elle seule elle vient construire un paradis qui Ă©loigne les maux, mes maux
 Une douleur si vive qui rĂšgne dans mes plaies Ă  vif aux cicatrices que l'on espĂšre mais qui restent absente. Et elle. Je peux presque voir ses ailes qui nimbĂ©e d'une merveilleuse Ă©claircies comme l'on en trouve qu'aux petits matin d'hivers restent sagement dans son dos, j'aurais presque peur, oui, effrayĂ©e qu'elles ne s’animent et fasse s'envoler la jolie fille. Mais tout cela n'est pas plausible, ma tĂȘte rĂ©sonne tendis que je me demande comment j'ai pu penser ĂȘtre abandonnĂ©e par elle alors qu'elle m'offre un bout de paradis. OĂč pourrait-elle donc s'envoler si ce n'est ici ? Je ne sais pas alors je me dis qu'il n'y a pas d'autre dans un tourbillon de sĂ©rĂ©nitĂ© qui m'emporte au loin je ne cherche pas Ă  rĂ©sister, je n'en ai plus envie, simplement portĂ©e Ă  Ă©couter l'Ă©cho de son nom dans le parc qui ne m'a jamais paru aussi accueillant. Gabrielle
 Gabrielle
 J'avais raison, c'est bel et bien un ange qui se tient Ă  mes cĂŽtĂ©s, un ange qui va m'aider Ă  me battre ou du moins penser mes plaies, oui je ne suis pas sĂ»re qu'elle puisse m'aider, cette bataille contre les dĂ©mons de mes cauchemars est la mienne et personne ne peux faire le travaille Ă  ma place, au fond quand bien mĂȘme elle pourrait je ne serais pas d'accord, j'ai trop peur qu'il ne lui arrive du mal, qu'elle ne se fasse blesser par ma faute. Il n'y a pas que moi qui ait pu souffrir, elle n'ont plus n'a pas du avoir la vie toute blanche sinon elle ne serait jamais devenue l'ange que je vois en elle aujourd'hui
 Chaque mot comme une pommade, un baume qui soulage les blessures et rend la douleur supportable, je ne sais pas si elle voit, si elle se rend compte du soulagement qu'elle me prodigue, certes il serait dommage qu'elle n'en ait pas conscience mais cela ne m'Ă©tonnerait pas vraiment, un ange ne se prĂ©sente pas comme tel, c'est d'ailleurs bien pour ça qu'elle a tentĂ© de nier, elle me rend heureuse sans le savoir comme si ce n'Ă©tait pas dĂ©jĂ  assez merveilleux comme ça qu'elle le fasse tout simplement. La phrase prend une tournure d’interrogation et je plonge mon regard dans le sien dĂ©terminĂ©e Ă  ne jamais lĂącher cette petite bĂ©nĂ©diction du ciel qui est venue se poser prĂšs de moi. On pourrait penser ses mots pareils au mien mais la nuance est importante, comme si elle ne s'arrĂȘtait pas au simple fait d'avoir un nom mais bien Ă  celui que j'aimerais recevoir de sa une conversation mise dans le dĂ©sordre oĂč l'on commence par se livrer avoir d'offrir son identitĂ©, la formule me plaĂźt, je ne vois pas pourquoi il devrait y avoir un quelconque ordre de discussion aprĂšs tout
 Un ange, oui cela te va Ă  merveille
 Tu resteras mon petit ange
 Rester sur mes positions, c'est peut-ĂȘtre un peu idiot mais je trouve que ça lui va trĂšs bien, l'ange Gabrielle, que vient elle donc m'annoncer ? Une clef pour la libertĂ© ? La plus part des gens de ce monde me nome Ellana et je n'en suis pas dĂ©rangĂ©e j'aimerais juste que jamais tu n'utilises mon nom de famille
 Peut-ĂȘtre que cela peut paraĂźtre stupide mais les entendre Ă  travers moi me glace d'horreur. Yeux qui s’abaissent puis bien vite se relĂšvent, ne pas la quitter, ne pas fuir ses beaux yeux, rester avec elle, encore, juste un peu
 J'aimerais Ă  nouveau entendre le son de sa voix mais elle semble se taire, puis le moment en tout cas, mon regard se perd dans l'infini du paysage qui me semble soudain plus lumineux que d'habitude, est-ce donc sa prĂ©sence qui rend le tout plus magique, plus merveilleux ? Qu'a t-elle donc fait Ă  mes yeux ? Ses doigts dans les miens entrelacĂ©s comme si jamais ils ne pouvaient rĂ©ellement se quitter, je te connais depuis quelque temps seulement, pouvant compter en minutes les vĂ©ritables moment que nous avons partagĂ©s et pourtant tu es l'une des personne qui j'ai de plus chĂšre, merci d'ĂȘtre lĂ  petit ange, merci de me rendre un peu de joie, un simple sourire sur cette terre glacĂ©e pour simplement rĂ©chauffĂ© mon cƓur, mon Ăąme aussi gelĂ©e. Non, il n'y a rien de plus magique que ce sentiment de vie que tu m'offres en cet regard emmĂȘlĂ©s,pour continuer d'avancer le monde peut bien tomber je continuerais d'exister tant qu'elle reste Ă  mes cĂŽtĂ©set continue Ă  me protĂ©ger je crois en elle comme je n'ai jamais cru parce qu'elle est lĂ  et vivante avec pourtant une telle irrĂ©alitĂ©comme si j'allais finir par me rĂ©veiller et dĂ©couvrir que j'ai tout rĂȘvermais non, elle est bien lĂ  et tout est trop rĂ©el pour n'ĂȘtre qu'illusionalors je me raccroche Ă  cet espoiret fais un pas de plus vert cette lumiĂšre au fond du couloir. GalatĂ©a PeverellSerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGalatĂ©a Peverell, le Mer 28 Juin - 2101 HRP Nous vous invitons Ă  rĂ©pondre Ă  la suite des posts pour Ă©crire la rĂ©action de votre personnage s'il tombe sur l'un des tracts. Un sort conditionnel a Ă©tĂ© lancĂ© sur les prospectus par MorrĂŹgan ressemble Ă  un journal lambda jusqu’à ce qu’un sorcier/moldu en rapport avec la magie ou autre le toucheRP uniqueSe dĂ©roule au petit matinEncore une nuit. Encore l’ennui. Encore les frasques de l’insomnie. Demain elle irait voir l’infirmiĂšre pour lui demander des somnifĂšres, mais ce soir elle prĂ©fĂ©rait mettre son trouble Ă  contribution. Ce soir, elle avait une mission. La premiĂšre. Alors, forcĂ©ment, Ester avait envie de bien faire. Elle avait d’hors et dĂ©jĂ  prouvĂ© qu’elle savait ĂȘtre au mauvais endroit au mauvais moment, il fallait maintenant prouver qu’elle Ă©tait capable de plus. De mieux ! Plus encore parce qu’elle comptait les rejoindre. Son insomnie, Ester dĂ©cidait donc de l’utiliser pour arriver Ă  ses fins. Pour la bonne cause. Avec l’espoir de sauver quelques Ăąmes. La derniĂšre annĂ©e se leva donc, s’habilla de noir, masqua son visage. Et la voilĂ  partie, prospectus dans un sac agrandit magiquement. Ce soir elle comptait bien s’amuser. Ce soir elle ferait de la magie. Demain elle constaterait de l’effet qu’aura eu son Ɠuvre sur les autres. Dans le parc, les prospectus en forme d’oiseaux ne manquait pas. Certaine d'ĂȘtre toute seule et d'en avoir presque terminĂ©, Ester se laissa aller Ă  fredonner une chanson."Au clair de la Luuune,Mes amis vos pluuuumes,Pour Ă©crire un espoir est mooort,je n'ai plus le la foooorce,Pour ressuscitĂ©".L' membre du derniers jours ont Ă©tĂ© une grande Ă©preuve. La prise en otage de certain d'entre vous, l'attaque au sein mĂȘme de l'Ă©cole de magie la plus rĂ©putĂ©e au monde, et la disparition d'un directeur qui ne vous protĂšge plus par son absence. Ce message est pour qui doutent, qui ont peur, qui sont qui se rebellent, qui n'en peuvent plus de ces vous demandons de vous relever de ces Ă©preuves. Cette expĂ©rience face aux attentats ne vous ont pas rendu plus faible. Seulement, pour certain, plus vulnĂ©rables encore par la fatigue et l'habitude. Nous vous demandons de ne pas cĂ©der Ă  toute avance des mages-noirs autant dans la vie que dans vos esprits, dans vos cƓurs comme dans vos corps. Certains ont Ă©tĂ© blessĂ©s, certains sont indemnes. Mais votre rĂ©sistance font de vous des combattants contre l'injustice, le doute et la peur. Certain d'entre vous ont-il dĂ©jĂ  reçus des cours sur les Patronus, ou en ont peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  enseigner ce thĂšme un formidable bouclier, dĂ©fenseur contre la peur. Et bien, cher membre du personnel, nous vous demandons de lever ces boucliers face Ă  la peur d'un attentat nouveau. Nous vous demandons de rĂ©sister aux Mangemorts, vĂ©ritables DĂ©traqueurs de notre sociĂ©tĂ©. Mais n'oubliez pas, membre du personnel, que les Mangemorts sont de piĂštre DĂ©traqueurs. Il est plus facile de se battre contre un homme, une femme, un adolescent emplit de haine et chercheur d'un faux pouvoir que de se battre contre la peur elle mĂȘme et son baiser de mort. La peur de la faiblesse ont fait d'eux des illuminĂ©s capable de tuer leurs familles, et de se briser eux-mĂȘmes. Cher l'humanitĂ© n'est pas une faiblesse. C'est une force qui se nourrit de ce que nous avons de plus commun. De plus ancien. Chaque pas vers la solidaritĂ©, vers le courage et vers la tolĂ©rance vont vous rapprocher d'une magie ancienne, plus combative et plus forte encore. Les meilleurs boucliers ne se forment pas avec plusieurs baguettes ? Les Patronus ne viennent pas en aide grĂące Ă  vos meilleurs souvenir ? Ceux-ci ne sont pas emprunt d'amour ? D'amitiĂ©s ? De compassion ? D'empathie ? membre du personnel. Nous ne vous demandons pas de vous battre sous un mĂȘme Ă©tendard. Nous ne vous demandons pas de vous battre sous les feux du PhĂ©nix. Nous vous demandons de vous battre et de rĂ©sister pour vous, et avec vos propres armes. Vous qui formez l'individualitĂ© dans la sociĂ©tĂ©. Vous, qui, par vos actions individuelles, sauvez l'HumanitĂ© et votre intĂ©gritĂ©, telle une fourmiliĂšre. Si chacun d'entre vous se bat pour lui
 Alors c'est toute la sociĂ©tĂ© qui se rassemblera sous une seule et mĂȘme force, une seule et mĂȘme puissance Votre renoncement Ă  la peur, au doute, afin de participer au combat contre les tĂ©nĂšbres qui vont si souvent vous priver de quelque chose, de quelqu'un, et mĂȘme parfois de votre propre vie. Que vos baguettes se lĂšvent. Que les Patronus se rassemblent. Luttons tous contre l'obscuritĂ© pour ĂȘtre encore libre de nos propres choix, et nos propres vies. N'oubliez pas, si vos baguettes vous ont choisies, ce n'est pas pour ĂȘtre esclave des tĂ©nĂšbres, mais pour ĂȘtre manipulĂ©s par vous et par vous seuls. Pour vos propres capacitĂ©s, vos propres pensĂ©s. Brandissez lĂ , faite lui confiance. Vous vous protĂ©gerez du PhĂ©nix. Codage de Louna ©Edit Lizzie Bonjour Rachel. ConformĂ©ment au RĂšglement RPG, en zone RPG, votre post doit contenir un minimum de 600 caractĂšres, citations et formulaires exclus. Celui-ci en fait 286. Merci de bien vouloir Ă©diter votre message pour le complĂ©ter et de faire plus attention Ă  l’avenir. Cordialement. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Ven 30 Juin - 156 Hop lĂ ! MĂȘme si je tarde Ă  rĂ©pondre, ce rp pv se curieux cette façon qu’elle a d’employer la nĂ©gation. Son appellation commune ne la rĂ©jouit pas, elle ne l’apprĂ©cie pas, mais elle ne la dĂ©range pas non plus. Je me pose alors mille questions, sur ce qui peut la dĂ©ranger, quoi de plus qu’un nom ? Moi je le trouve plutĂŽt enjouĂ©. HĂ© Lana ! Comme une amie que l’on interpelle depuis l’autre cĂŽtĂ© de la cour. L’impatience est si grande de la retrouver, que ce cri fend la foule, car il nous tarde de nous retrouver. Et Lana. Quelle est sa moitiĂ© ? L’autre partie, l’ĂȘtre auquel elle est juxtaposĂ©e. Avec qui une paire indissociable est formĂ©e. Ellana. Elle ne le sait peut-ĂȘtre pas, mais elle a deux ailes, elle aussi. En tout cas, moi je les vois. Mais elle semble abĂźmĂ©es. DĂ©chirĂ©es. En lambeaux. TailladĂ©es au couteau. Des lames lui ont volĂ© sa libertĂ©. L'ont clouĂ©e au sol. Sans chaĂźne la retiennent prisonniĂšre. Mais je vais l'aider, Ă  regarnir ses ailes de plumes plus Ă©clatantes que jamais. Pour que dans les cieux, les deux cavaliĂšres, pas de l'Apocalypse, de la Voie LactĂ©e chevauchent en toute tranquillitĂ©. Je la sens. Avec mes yeux tout simplement, je la vois. Je ne peux dĂ©tacher mes yeux de son visage esseulĂ©. Sa peau me semble s'ĂȘtre opacifiĂ©e. Pour qu'elle ne laisse rien paraĂźtre. Une carapace. Pour garder les blessures Ă  la surface. Pour ne pas se laisser transpercer. Je la sens tactilement. Nos mains entremĂȘlĂ©es. Sensation que je n’ai pas l’habitude d’éprouver. Je n’aime pas ĂȘtre touchĂ©e. Partager les choses par ce biais. Mais je la sens autrement. Je la sens Ă©tonnamment dans mon cƓur, dans lequel elle vient de se nicher. Doucement, durant les minutes Ă©coulĂ©es, elle a entrebĂąillĂ© cette petite porte, que je ne pensais pas si facile Ă  pousser. Elle s’est faufilĂ©e dans un silence entre deux battements. Et lĂ  voilĂ  installĂ©e. Dans un fauteuil solidement ancrĂ© dans le plancher de cette chaumiĂšre. Qui ne renferme que trop de chaises. Que trop peu de dossiers occupĂ©s. LĂ  voilĂ  calĂ©e prĂšs de l'Ăątre d'oĂč elle ne pourrait ĂȘtre dĂ©loger sans grandes est lĂ . Solidement accrochĂ©e sous ma peau. MĂȘme si je lui lĂąchais les mains maintenant, nous resterions Ă©troitement liĂ©es. Mais je ne suis pas tout Ă  fait prĂȘte Ă  la laisser aller. Je suis ici pour la relever. Commençons par quitter ce sol gelĂ©. Lentement, en s'appuyant d'abord sur elle pour me redresser, puis en la tirant vers le haut, en faisant dĂ©buter son ascension, j'entreprends de la ramasser. De la cueillir dĂ©licatement au milieu de la rosĂ©e dĂ©sormais estompĂ©e. Les deux silhouettes recroquevillĂ©es sont dĂ©sormais debout, Ă  la merci des vents, et de leurs vies. Mais jamais elles ne retomberont aussi bas que Ă©dition par Gabrielle Phoenix le Dim 21 Jan - 1852, Ă©ditĂ© 1 fois Re Dans le jardin, sur la belle pelouseContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Pourquoimon herbe ne pousse-t-elle pas ? Beaucoup d'eau, beaucoup de rochers, etc. il y a plusieurs raisons. Attendez un bon mois, réduisez l'eau, Comment faire quand le gazon ne pousse pas ?

on nous demande souvent si le gazon peut ĂȘtre installĂ© en hiver. La rĂ©ponse Ă  cette question dĂ©pend Ă  la fois de la rĂ©gion du pays dans lequel vous vous trouvez et du type de gazon que vous installez. le gazon de saison fraĂźche fĂ©tuque haute, Bluegrass du Kentucky, fĂ©tuque Fine peut ĂȘtre installĂ© toute l’annĂ©e dans l’ensemble des États-Unis. Ils sont plus habituĂ©s au temps frais et peuvent tolĂ©rer d’ĂȘtre plantĂ©s en plein hiver., S’il est installĂ© au milieu de l’hiver par des tempĂ©ratures glaciales, le gazon pourrait reposer en dormance sur le sol et reprendre sa croissance une fois que le temps se rĂ©chauffera en Mars. Cette brĂšve dormance hivernale dans les herbes de saison fraĂźche est normale dans la partie nord du pays. saison chaude l’herbe Ă  gazon Zoysia, Bermudagrass, mille-pattes, peut ĂȘtre plantĂ©e toute l’annĂ©e dans la partie sud du comtĂ©, mais ne devrait ĂȘtre plantĂ©e pendant la saison de croissance que dans les rĂ©gions du pays soumises Ă  un gel Ă  long terme., La raison en est que de longues pĂ©riodes de temps sous le point de congĂ©lation peuvent tuer les herbes de saison chaude fraĂźchement Ă©tablies car elles n’ont pas de systĂšme racinaire dĂ©veloppĂ©. Dans le Maryland, cela signifie que Zoyia et les Bermudes devraient ĂȘtre installĂ©s entre avril et fin septembre L’hiver est en fait un bon moment pour installer sod! le Gazon va durer jusqu’à deux semaines lorsque la tempĂ©rature est en dessous de 40 degrĂ©s! Cela signifie que vous avez plus de temps pour terminer votre projet. Moins d’eau!, Vous n’avez gĂ©nĂ©ralement besoin d’arroser le gazon qu’une fois aprĂšs l’installation s’il est installĂ© en hiver. Les tempĂ©ratures plus fraĂźches et les prĂ©cipitations plus frĂ©quentes garderont le sol humide pour la nouvelle herbe. Il va stabiliser le sol. Le gazon fait un meilleur travail pour prĂ©venir le ruissellement par rapport Ă  la paille. Devrait ĂȘtre quelque chose de diffĂ©rent lors de l’installation de gazon en hiver? Il n’y a que deux diffĂ©rences lors de l’installation du gazon par temps froid en hiver Le gazon ne doit ĂȘtre arrosĂ© qu’une seule fois aprĂšs l’installation., Le temps frais garantira gĂ©nĂ©ralement que le sol reste suffisamment humide aprĂšs cela. Si le temps se rĂ©chauffe soudainement aprĂšs l’installation du gazon, il peut ĂȘtre judicieux de vĂ©rifier que le gazon reste humide chaque jour. Vous n’avez pas besoin d’utiliser un engrais de dĂ©marrage si vous installez dormant de l’herbe. L’herbe ne pousse pas activement et n’utilisera donc pas l’engrais. Il est prĂ©fĂ©rable d’attendre que le temps se rĂ©chauffe, puis d’appliquer un engrais de dĂ©marrage. le gazon peut-il ĂȘtre installĂ© sur un sol gelĂ©?, Oui, le gazon peut ĂȘtre installĂ© en toute sĂ©curitĂ© sur un sol gelĂ© tant que le sol a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© correctement avant la congĂ©lation rototillĂ© et ratissĂ© lisse. Quelques autres choses Ă  penser
 gardez ces autres points Ă  l’esprit lors de l’installation du gazon en hiver Le gazon laissĂ© dehors pendant la nuit pourrait geler par temps froid! Cela ne nuit pas Ă  la plante, mais pourrait le rendre difficile Ă  dĂ©rouler. Il est prĂ©fĂ©rable d’installer le jour mĂȘme oĂč vous le recevez, ou au moins bĂącher le gazon inutilisĂ© pour empĂȘcher le vent froid de le geler. Vous devez arroser le gazon au moins une fois aprĂšs l’installation., Assurez-vous que vous avez accĂšs Ă  l’eau et que le systĂšme n’est pas hivernĂ© ou gelĂ©! besoin de plus d’informations? Nous adorons parler de gazon et gazon. Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir nos coordonnĂ©es!

Legazon laissĂ© dehors pendant la nuit pourrait geler par temps froid! Cela ne nuit pas Ă  la plante, mais pourrait le rendre difficile Ă  dĂ©rouler. Il est prĂ©fĂ©rable d’installer le jour mĂȘme oĂč vous le recevez, ou au moins bĂącher le gazon
Promo ! 1 749,00€ Produit ROBOT DE TONTE Marque Husqvarna ModĂšle 315 Surface 1500 mÂČ Usage Maison et Jardin Poids kg Taille 63 X 51 X 25 Rupture de stock Description Informations complĂ©mentaires DĂ©tails Description L’Automower 315 est le robot de tonte idĂ©al pour les jardins de petite taille jusqu’à 1500 m2. Il tond de jour comme de nuit, qu’il fasse beau ou qu’il pleuve. Encore plus performant il tond sur des pentes jusqu’ Ă  40 %, trĂšs silencieux 60 DbA. Encore plus intelligent il est Ă©quipĂ© de la minuterie adaptative, de la dĂ©tection automatique des passages Ă©troits. ConnectivitĂ© Bluetooth grĂące Ă  l’Automower Connect Lite permet de contrĂŽler et paramĂ©trer son robot dans un pĂ©rimĂštre de 10m. Nombreux accessoires compatibles personnalisation coque interchangeable ou sticker personnalisable, abri de protection, Automower Connect version complĂšte offrant le suivi et l’assistance GPS Informations complĂ©mentaires Poids 9,2 kg Dimensions 63 × 51 × 25 cm Marque Husqvarna ModĂšle 315 Surface Entre 0 et 1500mÂČ Usage Maisons et jardins DĂ©tailsCĂąble guide Le cĂąble guide aide la tondeuse robot Ă  retrouver son chemin vers la station de charge plus rapidement. Il Ă©vitera Ă©galement au robot de passer plusieurs fois au mĂȘme endroit afin de pas crĂ©er de traces disgracieuses au sol. , ce qui rĂ©duit les pĂ©riodes de recherche en particulier pour les pelouses de formes complexes. RĂ©glage facile et simple de la hauteur de coupe Le rĂ©glage de la hauteur de coupe peut ĂȘtre effectuĂ© trĂšs facilement en faisant tourner simplement la molette situĂ©e sur le dessus de la machine FiabilitĂ© En matiĂšre de tonte automatique, la fiabilitĂ© est primordiale. Husqvarna a poursuivi le dĂ©veloppement de son concept de tondeuse pendant 20 ans, afin d’atteindre un maximum de fiabilitĂ© et de qualitĂ©, et les meilleurs rĂ©sultats de tonte avec un minimum d’assistance. Excellents rĂ©sultats de coupe GrĂące au schĂ©ma de tonte alĂ©atoire du Husqvarna Automower, le gazon est parfaitement tondu pour obtenir un merveilleux aspect, similaire Ă  un tapis. Les lames affĂ»tĂ©es comme des rasoirs coupent l’herbe dĂ©licatement de tous les cĂŽtĂ©s, pour qu’elle pousse plus densĂ©ment. L’apparition de mousse est fortement empĂȘchĂ©e Le jour, la nuit, et mĂȘme le week-end Programmez les heures de tonte en fonction de votre activitĂ©, le jour, la nuit ou le week-end et laissez votre robot prendre soin de vos espaces verts. MĂȘme par temps de pluie, votre herbe va ĂȘtre tondue silencieusement -seulement 58 dbA – sans gĂȘner vos visiteurs. 100 % autonome, il retrouvera sa station de charge tout seul lorsqu’il en aura besoin. SystĂšme de coupe unique L’Husqvarna Automower ne coupe qu’un petit peu Ă  la fois, mais frĂ©quemment, ce qui garantit un gazon beau et sain. Elle est Ă©quipĂ©e de lames affĂ»tĂ©es comme des rasoirs, fabriquĂ©es en robuste acier au carbone et montĂ©es sur un solide systĂšme de disque de tonte. Ceci garantit un fonctionnement efficient et une trĂšs faible consommation d’énergie Aucune Ă©mission polluante Puisqu’elle est Ă©lectrique, l’Automower ne produit aucune Ă©mission nocive Consommation d’énergie minime La gestion efficace de l’énergie assure une consommation d’énergie rĂ©duite, permettant Ă  l’Automower de travailler pour une fraction du coĂ»t d’une tondeuse conventionnelle Capteurs d’inclinaison Si l’Automower est soulevĂ©e du sol ou retournĂ©e, le disque de coupe s’arrĂȘte automatiquement et les lames se rĂ©tarctent. En outre, les lames tournent loin du bord externe de la machine. Si l’Automower rencontre un obstacle elle s’arrĂȘtera et se rĂ©orientera sans rien endommager A l’épreuve des conditions mĂ©tĂ©orologiques. L’Automower ne craint pas la pluie et peut fonctionner 24h / 24. Le robot tondeuse ne laisse aucune trace sur son passage, grĂące Ă  son dĂ©placement alĂ©atoire Vous aimerez peut-ĂȘtre aussi

GU1SYa.
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